Ence sens, HandĂ©o a rĂ©alisĂ© un Ă©tat des lieux pour mieux comprendre les freins et ressources des personnes en situation de handicap souhaitant s'investir dans la vie politique. DĂ©couvrez l'infographie de cette recherche qui retrace les grands axes du rapport qui sera publiĂ© le 07 dĂ©cembre. Etudes appliquĂ©es et collaboratives. Si ces personnes cĂ©lĂšbres prĂ©sentant un handicap partagent une chose en commun, en dehors de leur rĂ©ussite professionnelle, c’est leur capacitĂ© Ă  constamment se dĂ©passer. La plupart d’entre elles n’ont pas eu des vies faciles et c’est exactement pour cela qu’elles reprĂ©sentent un exemple et une inspiration pour le reste de la sociĂ©tĂ©. 1. Frida Kahlo Frida souffre de la polio depuis son enfance et, selon certaines sources, est aussi atteinte de Spina Bifida, provoquant une dysmĂ©trie de sa jambe droite. De plus, ses troubles spinaux ont Ă©tĂ© aggravĂ©s par un accident pendant son adolescence, lui laissant des sĂ©quelles physiques Ă  vie. Frida a passĂ© la plupart de sa vie au lit souffrant de douleurs aigĂŒes. MalgrĂ© cela, elle a rĂ©ussi Ă  devenir une des artistes les plus cĂ©lĂšbres au monde, et une icĂŽne du vingtiĂšme siĂšcle. 2. John Nash Un autre exemple de cĂ©lĂ©britĂ© avec un handicap ayant percĂ© est John Nash, un mathĂ©maticien AmĂ©ricain dont la vie, marquĂ©e par une schizophrĂ©nie paranoĂŻaque aigĂŒe, est dĂ©sormais connue grĂące au film Un Homme d’Exception ». Conscient de sa maladie, Nash a rĂ©ussi Ă  la surmonter et Ă  dĂ©velopper une carriĂšre acadĂ©mique exceptionnelle couronnĂ©e d’un Prix Nobel d’Économie en 1994. 3. Stephen Hawking Physicien thĂ©oricien, astrophysicien, cosmologiste et Ă©minence scientifique, Stephen Hawking a Ă©tĂ© diagnostiquĂ© SLA SclĂ©rose LatĂ©rale Amyotrophique ou maladie de Charcot Ă  l’ñge de 21 ans on ne lui donnait plus que 2 ans Ă  vivre. Il est aujourd’hui ĂągĂ© de 74 ans. Il est paralysĂ© de la tĂȘte aux pieds depuis plus de trente ans et utilise un synthĂ©tiseur vocal pour pouvoir communiquer et un fauteuil roulant qu’il commande par de lĂ©gers mouvements de la tĂȘte et des yeux. 4. Nick Vujicic Nick Vujicic est une autre cĂ©lĂ©britĂ© connue mondialement prĂ©sentant un handicap Il est le fondateur de Life Without Limbs – une organisation pour les personnes souffrant de handicaps physiques. Vujicic est nĂ© en 1982 sans aucun membre. Il raconte que quand il Ă©tait enfant, il a souffert de brimades et de discriminations, et a tentĂ© de se suicider mais, avec le temps, il a appris Ă  reconnaĂźtre son potentiel. Il anime aujourd’hui des confĂ©rences motivationnelles dans le monde entier, a Ă©crit plusieurs livres et participe souvent Ă  des Ă©missions de radio et de tĂ©lĂ©vision. Il devint trĂšs cĂ©lĂšbre aprĂšs avoir jouĂ© dans le court-mĂ©trage The Butterfly Circus ». 5. Andrea Boccelli TĂ©nor, musicien, Ă©crivain et producteur de musique d’origine Italienne, Andrea Bocelli a vendu plus de 75 millions d’albums. Il est nĂ© avec un glaucome congĂ©nital qui l’a rendu partiellement aveugle, ce qui ne l’a pas empĂȘchĂ© de suivre des leçons de piano jusqu’à l’ñge de six ans. Cependant, Ă  l’ñge de 12 ans, il reçut un coup pendant un match de foot qui le rendit totalement aveugle. GrĂące Ă  son envie perpĂ©tuelle de s’amĂ©liorer, il dĂ©cida de se concentrer totalement sur la musique et surtout sur le chant. Il a aussi Ă©tudiĂ© le Droit. Boccelli a reçu de nombreux prix internationaux et a mĂȘme vu une plage de l’Adriatique nommĂ©e en son nom. 6. Michael J. Fox Une des personnes les plus cĂ©lĂšbres souffrant d’un trouble bien connu. L’acteur principal de Retour vers le Futur » fut diagnostiquĂ© de la maladie de Parkinson en 1991 lorsqu’il n’avait que 29 ans et que sa carriĂšre Ă©tait florissante. On lui a conseillĂ© de se retirer de la scĂšne, mais il n’a jamais cessĂ© d’ĂȘtre acteur. Bien qu’il ait d’abord rencontrĂ© des difficultĂ©s Ă  accepter sa maladie il devint dĂ©pressif et alcoolique, lors de la derniĂšre dĂ©cennie il n’a cessĂ© de travailler et sa fondation a dĂ©jĂ  levĂ© 233 millions $ en faveur de la recherche sur Parkinson. AprĂšs plus de 25 ans et une maladie Ă  un stade trĂšs avancĂ©, Michael J. Fox garde intact cet Ă©tat d’esprit de dĂ©passement de soi. 7. Alex Zanardi AprĂšs plusieurs annĂ©es de Formule 1 en compĂ©tition, Alex Zanardi subit un accident en 2001 qui le laissa amputĂ© des deux jambes. Trois ans aprĂšs, il retourna sur les pistes au volant d’une BMW adaptĂ©e par ses propres soins. Il remporta quatre Championnats de World Touring Car WTCC. Cependant, en 2007, il dĂ©cida de concentrer tous ses efforts sportifs sur le cyclisme adaptĂ©. Le tricycle qu’il conduit a aussi Ă©tĂ© conçu par ses propres soins et, Ă  ce jour, il a remportĂ© trois mĂ©dailles d’or aux Jeux Paralympiques. 8. Aaron Fotheringham En plus d’ĂȘtre l’une des cĂ©lĂ©britĂ©s handicapĂ©es les plus inspirantes, Aaron Fotheringham est aussi un des skateurs les plus connus du monde. Sa spĂ©cialitĂ©? Le skate en fauteuil roulant. Pendant son enfance, Aaron a subi plusieurs opĂ©rations de la hanche sans succĂšs, l’obligeant Ă  utiliser un fauteuil roulant de maniĂšre permanente. MalgrĂ© cela, il continua de pratiquer un sport avec passion qui s’adapta Ă  son handicap. En 2005, Aaron Fotheringham rĂ©ussit un super saut Ă  180°, et en 2006 il fut le premier homme de l’histoire Ă  faire un saut pĂ©rilleux en fauteuil roulant. Depuis, ses rĂ©ussites et ses dĂ©fis reprĂ©sentent un exemple pour des centaines de personnes. Voici quelques-unes des personnalitĂ©s les plus connues au niveau international, avec leurs histoires de dĂ©passement de leur handicap les plus cĂ©lĂšbres. Chaque jour, il y a de nombreuses histoires similaires autour de nous dont nous n’avons mĂȘme pas conscience. Si vous souhaitez rester informĂ©s de toute notre actualitĂ©, produits, Ă©vĂšnements, conseils, astuces ... vous pouvez vous inscrire Ă  notre Newsletter pour recevoir toutes les infos dans votre boĂźte mail. UneĂ©pargne adaptĂ©e. L’option Épargne Handicap est adossĂ©e Ă  un contrat d’assurance vie monosupport ou multisupports. Afin de bĂ©nĂ©ficier de tous les avantages de cette option ainsi que de ceux de l’assurance vie classique, le contrat doit avoir une durĂ©e effective d’au moins 6 ans. De plus, le contrat d’épargne handicap
06 juin 2016 La dĂ©finition du handicap mental source UNAPEI L’expression handicap mental » qualifie Ă  la fois une dĂ©ficience intellectuelle et les consĂ©quences qu’elle entraĂźne au quotidien. Le handicap mental se traduit par des difficultĂ©s plus ou moins importantes de rĂ©flexion, de conceptualisation, de communication, de dĂ©cision
 Ces difficultĂ©s doivent ĂȘtre compensĂ©es par un accompagnement humain, permanent et Ă©volutif, adaptĂ© Ă  l’état et Ă  la situation de la personne. C’est Ă  la solidaritĂ© collective qu’il appartient de reconnaĂźtre et de garantir cette compensation. La personne handicapĂ©e, Ă  la fois ordinaire et singuliĂšre Une personne handicapĂ©e mentale est un individu Ă  part entiĂšre, une personne Ă  la fois ordinaire et singuliĂšre. Elle est ordinaire parce qu’elle connait les mĂȘmes besoins que tout le monde, parce qu’elle dispose des mĂȘmes droits que tous et qu’elle accomplit les mĂȘmes devoirs. Elle est singuliĂšre parce qu’elle est confrontĂ©e Ă  plus de difficultĂ©s que les autres personnes du fait de son handicap. DiffĂ©rence entre handicap mental » et psychique » Le handicap mental est la consĂ©quence d’une dĂ©ficience intellectuelle. La personne en situation de handicap mental Ă©prouve des difficultĂ©s plus ou moins importantes de rĂ©flexion, de conceptualisation, de communication et de dĂ©cision. Elle ne peut pas ĂȘtre soignĂ©e mais son handicap peut ĂȘtre compensĂ© par un environnement amĂ©nagĂ© et un accompagnement humain adaptĂ©s Ă  son Ă©tat et Ă  sa situation. Le handicap psychique est, quant Ă  lui, la consĂ©quence d’une maladie mentale. Comme le dĂ©finit l’UNAFAM, la personne malade mentale est un individu qui souffre de troubles d’origines diverses qui entachent son mode de comportement d’une façon momentanĂ©e ou durable et inĂ©galement grave ». Le handicap psychique n’affecte pas directement les capacitĂ©s intellectuelles mais plutĂŽt leur mise en Ɠuvre. Il est toujours associĂ© Ă  des soins et ses manifestations sont variables dans le temps. Quelques chiffres La France compte aujourd’hui 3,5 millions de personnes handicapĂ©es. Parmi elles, 2 millions sont porteuses d’un handicap sĂ©vĂšre. 700 000 d’entre elles se trouvent en situation de handicap mental, ce qui reprĂ©sente 20 % des personnes handicapĂ©es. Chaque annĂ©e, entre 6 000 et 8 000 enfants naissent avec un handicap mental.
Lehandicap, est mot qui parfois peut faire peur voire impressionner. L'autre est diminuĂ© physiquement ou mentalement. Nous n'avons pas, pour la majoritĂ© d'entre nous, l'habitude de cĂŽtoyer des personnes atteintes de handicap. Le Reiki Usui travaille sur le physique, le mental, l'Ă©motionnel et sur l'Ă©nergie et peut ainsi ĂȘtre une aide pour les personnes handicapĂ©es.
AprĂšs avoir vu souffrir son fils du regard des autres, une maman a dĂ©livrĂ© un discours touchant qui fait, depuis, le tour du Gagnon est maman de six enfants, dont quatre adoptĂ©s. Parmi eux, Joel, son fils de neuf ans. Le jeune garçon souffre d’une dĂ©formation du crĂąne et du visage et il lui manque une oreille. Un handicap qui n’est pas toujours simple Ă  vivre pour l’enfant comme pour la maman, comme en tĂ©moigne son message, diffusĂ© sur Facebook il y a une semaine. Un discours poignant et bouleversant qui, elle l’espĂšre, permettra de faire Ă©voluer les comportements Aujourd’hui, je souffre. Nous avons Ă©tĂ© Ă  l’église car notre aĂźnĂ© voulait parler de son expĂ©rience en colo. J’ai commencĂ© par mener mes trois benjamins dans la salle oĂč se rĂ©unissent les jeunes. En entrant dans la piĂšce, les quatre tables pleines d’enfants sont tout Ă  coup devenues silencieuses et tous les enfants regardaient ou pointaient du doigt mon fils Joel. Joel est nĂ© avec une dĂ©formation cranio-faciale. Il lui manque une oreille et quelques os du visage. Je sais qu’il ne ressemble pas aux autres. Et aujourd’hui, ça me fait mal au cƓur. Je suis restĂ©e prĂšs de la porte et ai regardĂ© chaque enfant, avec leurs yeux grands ouverts et leurs bouches bĂ©antes. Je me suis approchĂ©e en pensant leur adresser un discours sur les diffĂ©rences puis je me suis arrĂȘtĂ©e. Je me suis arrĂȘtĂ©e et j’ai regardĂ© vers le fond de la salle oĂč mon fils s’était rĂ©fugiĂ© pour se cacher. Il avait cachĂ© son visage dans ses bras. Mon cƓur s’est serrĂ© et la salle est restĂ©e silencieuse tandis que je m’approchais de Joel. J’ai touchĂ© son Ă©paule et il a levĂ© son visage rouge de honte et ses yeux pleins de larmes vers moi. Je me suis agenouillĂ©e et lui ai demandĂ© s’il voulait quitter la salle ? Oui », m’a-t-il murmurĂ©. Puis il s’est levĂ© et a quittĂ© la salle en courant. Je l’ai pris dans mes bras durant la messe et il a Ă©crit Joel aime maman » au creux de ma main. Les larmes ont commencĂ© Ă  monter. Mon petit garçon mĂ©rite bien plus que des regards insistants et des pointages du doigt. Et j’ai alors pensĂ© Ă  ce que je n’ai pas fait dans cette piĂšce aujourd’hui. Par le passĂ©, j’ai toujours pris le rĂŽle de professeur pour Ă©duquer les enfants. Ce genre de situations m’était dĂ©jĂ  arrivĂ©e et j’avais alors l’habitude de parler des diffĂ©rences aux enfants. Mais aujourd’hui, je ne l’ai pas fait. Aujourd’hui, je n’ai pas cherchĂ© Ă  enseigner quoique ce soit Ă  l’enfant d’un autre car j’ai dĂ» m’occuper de mon fils au cƓur brisĂ©. Donc je demande ceci aux parents enseignez Ă  vos enfants. Apprenez-leur que beaucoup de personnes ont un physique diffĂ©rent. Montrez-leur des photos de personnes au physique diffĂ©rent. Expliquez-leur qu’il ne faut pas dĂ©visager quelqu’un qui a un physique diffĂ©rent, qu'il n’est pas tolĂ©rĂ© de pointer du doigt. Dites-leur que mon enfant est le mĂȘme que vous Ă  l’intĂ©rieur. Il aime jouer au camion, Ă  Minecraft et se rouler dans la boue. Il aime le ketchup mais pas les surtout, il n’aime pas qu’on le regarde ou qu’on le pointe du doigt parce qu’il est diffĂ©rent. Il n’a pas besoin qu’on lui montre qu’il est diffĂ©rent. Il le sait dĂ©jĂ . Je ne suis pas en colĂšre. Je ne pense pas qu’il s’agissait lĂ  d’enfants mĂ©chants ou mal intentionnĂ©s. Je pense que personne ne leur avait appris comment rĂ©agir ou ne pas rĂ©agir dans cette situation. Ce post est donc lĂ  pour vous demander de prendre un moment avec vos enfants ce soir pour leur expliquer comment agir avec quelqu’un de diffĂ©rent. Montrez-leur des photos de gens qui n’ont pas la mĂȘme couleur de peau qu’eux, qui ont des yeux diffĂ©rents, des capacitĂ©s de langage diffĂ©rentes, des cannes pour marcher, des chaises roulantes pour se dĂ©placer
 Montrez-leur des enfants sans cheveux, sans oreilles, sans bras. Prenez un moment et montrez-leur tous types de diffĂ©rences. Apprenez-leur enfin qu’une belle personne se dĂ©finit avec le cƓur et pas avec les yeux. "

Untrouble psychique, qui peut ĂȘtre Ă©galement dĂ©signĂ© sous les termes de trouble psychiatrique ou encore de trouble mental, dĂ©signe un ensemble d’affections et troubles d’origines trĂšs diffĂ©rentes entraĂźnant des difficultĂ©s dans la vie d’un individu, des souffrances et des troubles du comportement. Les troubles psychiques touchent toutes les populations, sans distinction de

BTS ESFLe BTS ESF – Economie sociale et familiale s’effectue en deux ans aprĂšs un bac de prĂ©fĂ©rence. C’est un diplĂŽme de niveau bac + 2 qui se prĂ©pare en formation initiale mais aussi en alternance dans des Ă©tablissements publics et privĂ©s. C’est un diplĂŽme d’Etat de niveau III dĂ©livrĂ© par le ministĂšre de l’Enseignement supĂ©rieur et de la Recherche. AccueilBTS ESFEducateur spĂ©cialisĂ©MĂ©moire Educateur spĂ©cialisĂ©Devenir parents d'un enfant handicapĂ© De l'illusion de l'enfant idĂ©al vers un travail de dĂ©sillusion. À travers ce mĂ©moire, j'ai tentĂ© d'apporter un Ă©clairage sur l'adaptation des parents au handicap de leur enfant. Il s'agit pour l'Ă©ducateur d'aider les parents Ă  apprĂ©hender un enfant rĂ©el avec des besoins spĂ©cifiques. Dans un processus de dĂ©sillusion de l'enfant idĂ©al ceux-ci doivent pouvoir bĂ©nĂ©ficier d'une aide, d'un soutien tout en Ă©tant considĂ©rĂ©s comme des partenaires Ă  part entiĂšre dans la prise en charge de leur enfant. M'intĂ©resser Ă  ce parcours que traversent les parents lors de l'annonce du handicap m'a permis de dĂ©gager des techniques, des outils afin de les accompagner au mieux. Un travail basĂ© sur la relation d'aide et la connaissance du processus d'adaptation au handicap de l'enfant permet cet accompagnement efficient des parents. Ma rĂ©flexion m'a Ă©galement amenĂ©e Ă  resituer ce travail dans le cadre d'une Ă©quipe pluridisciplinaire qui s'appuie sur un projet personnalisĂ©. Allier pratique et thĂ©orie m'a permis d'avoir un nouveau regard sur la prise en charge des enfants en SESSAD. J'ai ainsi pu questionner la pratique de l'Ă©ducateur, son rĂŽle dans l'accompagnement de l'enfant et de sa famille. Licence Chacun des Ă©lĂ©ments constituant le site sont protĂ©gĂ©s par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou reprĂ©senter mĂȘme partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des Ă©lĂ©ments. En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation de Accepter le terme et la condition Connectez-vous pour tĂ©lĂ©charger ConnexionBTS ESFAbonnementRechercheDerniers Docs BTS ESFLes plus vus - BTS ESFLes plus tĂ©lĂ©chargĂ©s - BTS ESF Avet R., 2009: Avoir un handicap mental et devenir parent + Site Statistics. References: 61,832,559. Abstracts: 31,674,388. PMIDs: 31,092,568. DOIs: 28,749,758 + Search Articles + PDF Full Text Service. How our service works. Request PDF Full Text + Follow Us. Follow on Facebook. Follow on Twitter. Follow on LinkedIn + Top 15. 1. The Integrated Project Planning
Enfant gravement malade, parent en fin de vie ou en perte d’autonomie, 
 Tout salariĂ© a droit, pour faire face Ă  une situation familiale difficile, Ă  un congĂ© spĂ©cifique. Si les conditions sont remplies, vous ne pouvez ni refuser, ni reporter ce apprenez qu’un de vos salariĂ©s vit une situation difficile en raison de l’état de santĂ© d’un de ses proches. Vous sentez qu’il a du mal Ă  se concentrer et Ă  assumer correctement sa charge de travail. Afin de l’aider Ă  reprendre pied, diffĂ©rents congĂ©s existent, qui lui permettront de venir en aide Ă  la personne de sa famille qui en a besoin. Leur point commun permettre au salariĂ© de s’absenter pour une pĂ©riode plus ou moins longue. Ces congĂ©s ne sont pas rĂ©munĂ©rĂ©s par l’employeur, les conventions collectives nationales applicables dans le secteur du BTP ne prĂ©voyant pas le maintien de la rĂ©munĂ©ration pendant ces absences. Gardez bien Ă  l’esprit que ces diffĂ©rents congĂ©s sont un droit pour le salariĂ©, c’est-Ă -dire que vous ne pouvez ni les reporter, ni les refuser. Le congĂ© de prĂ©sence parentaleTout salariĂ© qui doit s’occuper d’un enfant Ă  charge de moins de 20 ans, gravement malade, handicapĂ© ou accidentĂ© et dont l’état de santĂ© nĂ©cessite la prĂ©sence d’une personne Ă  ses cĂŽtĂ©s, peut bĂ©nĂ©ficier d’un congĂ© de prĂ©sence durĂ©e maximale est de 310 jours ouvrĂ©s soit 14 mois par enfant et par maladie, accident ou salariĂ© utilise ce crĂ©dit de jours d’absences » en fonction de ses besoins, sur une pĂ©riode de 3 ans maximum. Il peut prendre son congĂ© de maniĂšre continue ou fractionnĂ©e, sans qu’une durĂ©e minimum ne soit imposĂ©e. En revanche, aucun jour ne peut ĂȘtre fractionnĂ© en demi-journĂ©e par exemple. Les conditions. Aucune condition d’anciennetĂ© n’est procĂ©dure. Le salariĂ© doit vous faire sa demande de congĂ© de prĂ©sence parentale par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception LRAR au moins 15 jours avant le dĂ©but du congĂ©. Il doit y joindre un certificat mĂ©dical attestant de la gravitĂ© de la maladie, de l’accident ou du handicap et de la nĂ©cessitĂ© d’une prĂ©sence permanente auprĂšs de l’enfant ; fixant la durĂ©e initiale du traitement qui sera revue tous les 6 mois. Durant ce congĂ©, chaque fois que le salariĂ© souhaite prendre des jours d’absence, il doit vous en informer 48 heures Ă  l’ situation du salariĂ©. Ce congĂ© n’est pas rĂ©munĂ©rĂ© mais peut ĂȘtre indemnisĂ© par la caisse d’allocations familiales sous la forme d’une allocation journaliĂšre de prĂ©sence parentale AJPP. Ce congĂ© n’est pas assimilĂ© Ă  du travail effectif pour les congĂ©s payĂ©s, mais est pris en compte pour moitiĂ© dans le calcul des avantages liĂ©s Ă  l’anciennetĂ© et en intĂ©gralitĂ© pour les droits au retour de son congĂ©, et notamment si le salariĂ© s’est absentĂ© pour une longue durĂ©e, il retrouve son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rĂ©munĂ©ration au moins congĂ© de solidaritĂ© familialeLe congĂ© de solidaritĂ© familiale anciennement appelĂ© congĂ© d’accompagnement de fin de vie » s’adresse au salariĂ© dont un ascendant, un descendant ou une personne partageant son domicile souffre d’une pathologie mettant en jeu son pronostic vital. Il est d’une durĂ©e de maximale de 3 mois, renouvelable une fois. Il prend fin Ă  l’expiration de cette pĂ©riode ; ou dans les 3 jours qui suivent le dĂ©cĂšs de la personne ; ou Ă  une date antĂ©rieure, en respectant un dĂ©lai de prĂ©venance de 3 jours calendaires y compris dimanches et jours fĂ©riĂ©s. Notez-le en cas de dĂ©cĂšs de la personne, le salariĂ© bĂ©nĂ©ficiera des autorisations d’absences pour Ă©vĂ©nements conditions. Aucune condition d’anciennetĂ© n’est procĂ©dure. Le salariĂ© doit vous adresser sa demande par LRAR au moins 15 jours avant le dĂ©but du congĂ©, accompagnĂ©e d’un certificat mĂ©dical attestant que le pronostic vital de la personne est en congĂ© peut dĂ©marrer immĂ©diatement si le mĂ©decin constate l’urgence salariĂ© doit aussi vous informer de la date prĂ©visible de son retour avec un prĂ©avis de 3 jours francs. En cas de renouvellement, le salariĂ© doit vous en informer 15 jours avant le terme prĂ©vu. Notez-le Le congĂ© de solidaritĂ© familiale peut aussi ĂȘtre pris Ă  temps partiel, mais il faut pour cela que vous ayez donnĂ© votre situation du salariĂ©. Ce congĂ© n’est ni rĂ©munĂ©rĂ©, ni indemnisĂ© par la CAF. Le salariĂ© ne peut exercer aucune activitĂ© congĂ© n’est pas assimilĂ© Ă  du travail effectif pour les congĂ©s payĂ©s, mais est pris en compte en intĂ©gralitĂ© dans le calcul des avantages liĂ©s Ă  l’anciennetĂ© et au retour de son congĂ©, le salariĂ© retrouve son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rĂ©munĂ©ration au moins congĂ© de soutien familialLe congĂ© de soutien familial s’adresse au salariĂ© qui souhaite suspendre son contrat de travail afin de s’occuper d’un membre de sa famille, handicapĂ© ou ĂągĂ©, prĂ©sentant une perte d’autonomie est d’une durĂ©e de 3 mois, renouvelable dans la limite d’1 an sur l’ensemble de la carriĂšre du salariĂ©, c’est-Ă -dire toutes entreprises conditions. Ce congĂ© est ouvert Ă  tout salariĂ© justifiant d’une anciennetĂ© d’au moins 2 ans dans l’entreprise et dont le parent est le conjoint, le concubin ou la personne avec laquelle le salariĂ© a conclu un PACS ; un ascendant, un descendant, un enfant Ă  charge ; un collatĂ©ral jusqu’au 4e degrĂ© ex. frĂšre, sƓur, oncle, tante, cousin germain, cousine germaine, neveu, niĂšce ; un ascendant, un descendant ou un collatĂ©ral jusqu’au 4e degrĂ© du conjoint, concubin ou de la personne avec qui il est pacsĂ© ». Cette personne doit rĂ©sider chez elle ou chez le salariĂ©, c’est-Ă -dire ne pas ĂȘtre en maison de repos, de retraite, Ă  l’hĂŽpital, procĂ©dure. Le salariĂ© doit vous adresser sa demande par LRAR 2 mois avant le dĂ©but du congĂ©, que ce soit pour un premier congĂ© ou pour un renouvellement non successif ; 1 mois avant le terme prĂ©vu en cas de renouvellement successif. Notez-le Ces dĂ©lais sont ramenĂ©s Ă  15 jours en cas d’urgence dĂ©gradation soudaine de l’état de santĂ© de la personne ou cessation brutale d’hĂ©bergement en Ă©tablissement spĂ©cialisĂ©.Il doit joindre Ă  la demande une dĂ©claration sur l’honneur de son lien familial avec la personne aidĂ©e ; une dĂ©claration sur l’honneur attestant qu’il n’a jamais eu recours Ă  un congĂ© de soutien familial ou, s’il a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un tel congĂ©, la durĂ©e de celui-ci ; une copie de la dĂ©cision justifiant du taux d’incapacitĂ© au moins Ă©gal Ă  80 % lorsque la personne aidĂ©e est handicapĂ©e ; une copie de la dĂ©cision d’attribution de l’allocation personnalisĂ©e d’autonomie APA lorsque la personne aidĂ©e souffre d’une perte d’autonomie. Le salariĂ© peut mettre fin de façon anticipĂ©e Ă  son congĂ© en cas de dĂ©cĂšs de la personne aidĂ©e ; admission dans un Ă©tablissement ou recours Ă  un service d’aide Ă  domicile ; diminution importante des ressources du salariĂ© ; congĂ© de soutien familial pris par un autre membre de la famille. Il doit, dans ce cas, vous en informer par LRAR au moins 1 mois Ă  l’avance, sauf en cas de dĂ©cĂšs dĂ©lai de 15 jours.La situation du salariĂ©. Ce congĂ© n’est ni rĂ©munĂ©rĂ©, ni indemnisĂ© par la CAF. Cependant, le salariĂ© peut ĂȘtre employĂ© par la personne aidĂ©e si celle-ci bĂ©nĂ©ficie de l’APA ou de la prestation de compensation du handicap PCH.Ce congĂ© n’est pas assimilĂ© Ă  du travail effectif pour les congĂ©s payĂ©s, mais est pris en compte en intĂ©gralitĂ© dans le calcul des avantages liĂ©s Ă  l’anciennetĂ© et pour les droits au son retour de congĂ©, le salariĂ© retrouve son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rĂ©munĂ©ration au moins le dĂ©part du salariĂ©, comme Ă  son retour de congĂ©, vous devez le recevoir en entretien pour discuter de son orientation professionnelle. Si la situation se dĂ©tĂ©riore et que le pronostic vital de la personne aidĂ©e est en jeu, le salariĂ© peut demander Ă  bĂ©nĂ©ficier, Ă  la suite de ce congĂ©, du congĂ© de solidaritĂ© familiale voir ci-dessus.Le congĂ© pour maladie ou accident d’un enfantTout salariĂ© peut bĂ©nĂ©ficier d’un congĂ© en cas de maladie ou d’accident d’un enfant de moins de 16 ans. Il est d’une durĂ©ede 3 jours par an ; 5 jours par an si l’enfant est ĂągĂ© de moins d’un an ; 5 jours par an si le salariĂ© a au moins 3 enfants de moins de 16 ans Ă  charge. Ce congĂ© peut ĂȘtre pris en une seule fois ou ĂȘtre fractionnĂ© en journĂ©es ou demi-journĂ©es. La situation du salariĂ©. Ce congĂ© n’est pas rĂ©munĂ©rĂ©, ne nĂ©cessite aucune condition d’anciennetĂ© dans l’entreprise. Il n’est pas assimilĂ© Ă  du travail effectif pour le calcul des congĂ©s payĂ©s, mais il est pris en compte pour moitiĂ© dans le calcul des avantages liĂ©s Ă  l’anciennetĂ© et en intĂ©gralitĂ© pour les droits au congĂ© est attribuĂ© Ă  chaque salariĂ©, c’est-Ă -dire que si les deux parents de l’enfant travaillent, ils y ont droit tous les Sonnerat Pour plus de prĂ©cisions sur ces congĂ©s spĂ©cifiques, les Editions Tissot vous proposent un extrait de leur ouvrage Social BĂątiment ».Article publiĂ© le 12 mai 2009
Papad’un enfant handicapĂ© sans garderie, Laurent nous a Ă©crit via le bouton orange Alertez-nous, pour tĂ©moigner du quotidien compliquĂ© de sa famille. AprĂšs quelques mois trĂšs tendus, sa ODILE, SOLIDAIRE ET COMBATIVE Blog d'informations sur le handicap, la maladie, la perte d'autonomie et les droits des personnes concernĂ©es, ĂągĂ©es ou handicapĂ©es EtrehandicapĂ© mental et devenir parent: Auteurs : Marie-Anne Gaudin, Auteur Type de document : ImprimĂ© Editeur : Caen : UniversitĂ© de Caen, 1999: Collection : MĂ©moire de DSTS: Format : 1 vol. (178 p. + ann.) / 30 cm: Note gĂ©nĂ©rale : DSTS = DiplĂŽme supĂ©rieur en travail social : Langues: Français: Mention de responsabilitĂ© : Marie-Anne Gaudin: Exemplaires (1) Cote A Toulouse et en Haute-Garonne, la MDPH 31 accueille, accompagne et conseille l’ensemble des personnes handicapĂ©es, les adultes comme les enfants, quel que soit leur handicap. Sa crĂ©ation a Ă©tĂ© permise par la loi du 11 fĂ©vrier 2005. Cette loi a Ă©tĂ© majeure pour les personnes en situation de handicap. Elle a notamment permis de donner une dĂ©finition globale au terme handicap ». DiffĂ©rents handicaps existent et correspondent Ă  cette dĂ©finition. La loi du 11 fĂ©vrier 2005 La loi du 11 fĂ©vrier est la loi pour l’égalitĂ© des droits, des chances, la participation et la citoyennetĂ© des personnes handicapĂ©es. Une loi particuliĂšrement importante dans l’histoire du handicap en France Pour la premiĂšre fois, elle dĂ©finit dans le droit français la notion de handicap ». Elle pose les bases de l’accessibilitĂ© et du droit Ă  la compensation. Toute personne handicapĂ©e a droit Ă  la solidaritĂ© de l’ensemble de la collectivitĂ© nationale, qui lui garantit, en vertu de cette obligation, l’accĂšs aux droits fondamentaux reconnus Ă  tous citoyens ainsi que le plein exercice de la citoyennetĂ©. Article L. 114-1 du Code de l’Action Sociale et des Familles Par ailleurs, elle a permis des Ă©volutions fondamentales pour l’accompagnement des personnes en situation de handicap, quel que soit leur Ăąge, avec la mise en place des maisons dĂ©partementales des personnes handicapĂ©es afin de centraliser l’accueil, l’orientation et l’accompagnement ; du droit Ă  la compensation ; de la prestation de compensation du handicap qui constitue alors une nouvelle aide ; de nouvelles rĂ©ponses pour rĂ©pondre aux besoins en matiĂšre de scolaritĂ©, d’emploi, de citoyennetĂ© ou de participation Ă  la vie sociale. Les rĂ©fĂ©rences lĂ©gales Le droit Ă  la compensation au service du projet de vie » Ce droit constitue un des principes fondamentaux de la loi. La personne handicapĂ©e a droit Ă  la compensation des consĂ©quences de son handicap quels que soient l’origine et la nature de sa dĂ©ficience, son Ăąge ou son mode de vie. Article L. 114-1-1 du Code de l’Action Sociale et des Familles. Cette compensation consiste Ă  proposer des rĂ©ponses aux diffĂ©rents besoins de la personne. Ces besoins varient en fonction de chaque individu et de son projet de vie ». Ce projet de vie correspond aux besoins ressentis et aux attentes de la personne en fonction de ses difficultĂ©s. Les rĂ©ponses possibles pour rĂ©pondre aux besoins spĂ©cifiques de chaque personne sont de nature diverse avec Des rĂ©ponses dites de droit commun » il s’agit d’appliquer des droits communs aux personnes en situation de handicap et aux personnes n’ayant pas de handicap. Par exemple des adaptations pĂ©dagogiques pour faciliter la scolaritĂ©. Des rĂ©ponses dites de droits spĂ©cifiques », c’est-Ă -dire des droits uniquement destinĂ©s aux personnes en situation de handicap. Parce qu’une mĂȘme pathologie peut avoir des effets diffĂ©rents d’un individu Ă  un autre, chaque situation de handicap est diffĂ©rente et nĂ©cessite une rĂ©ponse personnalisĂ©e. Qu’est ce que le handicap ? La loi du 11 fĂ©vrier 2005 a permis de donner une dĂ©finition Ă  la notion de handicap », inspirĂ©e de la classification internationale du handicap. Constitue un handicap toute limitation d’activitĂ© ou restriction de participation Ă  la vie en sociĂ©tĂ© subie dans son environnement par une personne en raison d’une altĂ©ration substantielle, durable ou dĂ©finitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santĂ© invalidant. Article L. 114 du Code de l’Action Sociale et des Familles De nombreux types de handicap diffĂ©rents La loi du 11 fĂ©vrier 2005 fait Ă©tat de diffĂ©rents types de handicap. Le handicap moteur Le handicap moteur ou dĂ©ficience motrice recouvre l’ensemble des troubles troubles de la dextĂ©ritĂ©, paralysie
 pouvant entraĂźner une atteinte partielle ou totale de la motricitĂ©, notamment des membres supĂ©rieurs et/ou infĂ©rieurs difficultĂ©s pour se dĂ©placer, conserver ou changer une position, prendre et manipuler, effectuer certains gestes. Il peut survenir Ă  la suite d’un accident, d’une maladie ou de complications gĂ©nĂ©tiques. 1,5% de la population française adulte est atteinte de troubles moteurs isolĂ©s, soit environ 850 000 personnes. Si l’on considĂšre le trouble moteur associĂ© Ă  d’autres dĂ©ficiences, cette estimation atteint 4%. Le handicap visuel Le handicap visuel ou dĂ©ficience visuelle est multiforme et constitue un handicap dit sensoriel » il affecte un sens. Il concerne les personnes aveugles mais aussi des personnes malvoyantes. On peut distinguer les personnes handicapĂ©es visuelles en 4 groupes en fonction de la sĂ©vĂ©ritĂ© de leur dĂ©ficience visuelle les aveugles vision nulle ; les malvoyants profonds vision rĂ©siduelle limitĂ©e Ă  la distinction de silhouettes ; les malvoyants moyens incapacitĂ© visuelle sĂ©vĂšre en vision de loin incapacitĂ© totale ou beaucoup de difficultĂ©s Ă  reconnaĂźtre un visage Ă  quatre mĂštres ou en vision de prĂšs incapacitĂ© totale ou beaucoup de difficultĂ©s Ă  lire et Ă©crire ; les malvoyants lĂ©gers pas d’incapacitĂ©s visuelles sĂ©vĂšres en vision de loin ou de prĂšs. DiffĂ©rentes causes peuvent ĂȘtre Ă  l’origine d’une dĂ©ficience visuelle, comme par exemple des maladies comme la cataracte ou le glaucome ou des causes hĂ©rĂ©ditaires. On estime le nombre de malvoyants en France Ă  1,7 millions, dont plus de 300 000 malvoyants profonds Ă  aveugles. Le handicap auditif La dĂ©ficience auditive implique une altĂ©ration de la capacitĂ© auditive, pouvant aller jusqu’à la surditĂ©. C’est aussi un handicap sensoriel. Selon les cas, ce handicap s’accompagne ou non, d’une difficultĂ© Ă  s’exprimer ou oraliser ». Les personnes peuvent ĂȘtre sourdes de naissance ou devenues sourdes. Il existe diffĂ©rents types de surditĂ©s surditĂ© lĂ©gĂšre, moyenne, sĂ©vĂšre et profonde. Plus de 4 millions de personnes sont atteintes de handicap auditif en France, dont prĂšs de 300 000 sont malentendantes profondes Ă  sourdes. Le handicap mental Le handicap mental ou dĂ©ficience intellectuelle se caractĂ©rise par une insuffisance des facultĂ©s et du niveau global d’intelligence, notamment au niveau des fonctions cognitives, de la maĂźtrise du langage, de la motricitĂ© et des performances sociales. Ce handicap peut ainsi, Ă  des degrĂ©s divers, affecter les capacitĂ©s de conceptualisation, de rĂ©flexion, d’attention, de communication, d’autonomie, de prise de dĂ©cision, de la mĂ©morisation des connaissances, la stabilitĂ© Ă©motionnelle et le comportement etc. Les causes du handicap mental sont diverses et survenir Ă  la conception de l’enfant, pendant la grossesse, Ă  la naissance comme aprĂšs la naissance. La trisomie 21 est la forme la plus connue de handicap mental. Elle a pour origine une anomalie chromosomique. Elle concerne 50 000 Ă  60 000 personnes en France soit 10 Ă  12% des personnes handicapĂ©es mentales françaises et 1 000 nouveaux nĂ©s chaque annĂ©e. Le handicap psychique Le handicap psychique englobe diffĂ©rentes pathologies touchant le psychisme. Il est la consĂ©quence ou la sĂ©quelle d’une maladie mentale. A titre d’exemple, les nĂ©vroses, psychoses, dĂ©pressions sont des handicaps psychiques. IndĂ©pendant du dĂ©veloppement intellectuel de la personne, il est gĂ©nĂ©ralement chronique et ne permet pas de mener une vie ordinaire, sans amĂ©nagement particulier. Il peut notamment impacter les facultĂ©s d’intĂ©gration sociale, l’autonomie, ou les capacitĂ©s relationnelles et d’attention. Le polyhandicap Le polyhandicap est un handicap grave Ă  expressions multiples avec dĂ©ficience motrice et dĂ©ficience mentale sĂ©vĂšre ou profonde, entraĂźnant une restriction extrĂȘme de l’autonomie et des possibilitĂ©s de perception, d’expression et de relation ». Pour la personne polyhandicapĂ©e les handicaps ne s’additionnent pas, ils se multiplient. Le polyhandicap entraĂźne une dĂ©pendance importante. Il nĂ©cessite une aide humaine et des soins permanents avec une prise en charge individualisĂ©e. Les causes du polyhandicap sont diverses. Elles sont principalement prĂ©natales malformations, AVC prĂ©nataux
. Elles peuvent aussi ĂȘtre pĂ©rinatales dont une partie liĂ©e Ă  des souffrances fƓtales ou de grandes prĂ©maturitĂ©s ou postnatales traumatismes, arrĂȘts cardiaques. 30% d’entre elles de causes inconnues. Les donnĂ©es disponibles en France permettent d’évaluer la prĂ©valence du polyhandicap Ă  environ 1 naissance pour 1000, soit environ 800 nouveaux cas d’enfants polyhandicapĂ©s par an. Les maladies ou troubles de santĂ© invalidants Certaines maladies entraĂźnent des dĂ©ficiences et contraintes importantes dans la vie quotidienne. Elles constituent souvent un handicap non visible. Ces maladies peuvent atteindre des organes et fonctions organiques le cƓur, les poumons, les reins, des dĂ©fenses immunitaires
. Ces maladies peuvent ĂȘtre momentanĂ©es, permanentes ou Ă©volutives. Exemple sclĂ©rose en plaques, diabĂšte, mucoviscidose, insuffisances cardiaque, rĂ©nale, immunitaire
, cancers, certaines maladies rhumatoĂŻdes
 Cerema- Handicaps et usages - octobre 2013 3/16 Fiche n° 01 – Handicaps mentaux, cognitifs et psychiques Les personnes ayant un handicap mental cognitif ou psychique reprĂ©sentent une fraction invisible mais consĂ©quente de la population et leurs difficultĂ©s sont proches de celles de nombreuses personnes non considĂ©rĂ©es comme handicapĂ©es. Le proche aidant d’une personne en perte d’autonomie est parfois obligĂ© de diminuer ou d’arrĂȘter son activitĂ© professionnelle. Il peut, sous conditions, bĂ©nĂ©ficier de l'Allocation journaliĂšre du proche aidant AJPA ou encore, se faire rĂ©munĂ©rer s’il opte pour un statut de salariĂ©. Plusieurs possibilitĂ©s sont envisageables, selon si le proche aidĂ© bĂ©nĂ©ficie ou non de l’Allocation personnalisĂ©e d’autonomie APA pour les personnes ĂągĂ©es ou de la prestation de compensation du handicap PCH. Sommaire L'Allocation journaliĂšre du proche aidant AJPA Une allocation journaliĂšre du proche aidant AJPA peut ĂȘtre allouĂ©e Ă  l’aidant familial qui doit cesser ou rĂ©duire son activitĂ© professionnelle pour prendre soin d’un proche en situation de handicap ou de perte d’autonomie. VersĂ©e par la CAF ou la MSA sur demande, son montant s’élĂšve depuis le 1er janvier 2022 Ă  58,59 € par jour, et 29,30 € par demi-journĂ©e. Le droit Ă  l’AJPA est limitĂ© dans le temps le nombre d’allocations journaliĂšres servi ne peut en effet dĂ©passer 22 au titre d’un mois civil et 66 au total pour l’ensemble de la carriĂšre de l’aidant. APA et rĂ©munĂ©ration de l’aidant familial La personne aidĂ©e qui bĂ©nĂ©ficie de l’APA peut, sous certaines conditions, rĂ©munĂ©rer un aidant familial avec cette aide financiĂšre. L’APA est une prestation destinĂ©e Ă  financer un emploi avec un contrat de travail en emploi direct ou via une association et par paiement CESU. C’est pourquoi, le conjoint, le concubin et le partenaire de PACS ne peuvent ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ©s par le proche aidĂ©, car ils sont tenus au devoir de secours entre conjoints. En revanche, l’obligĂ© alimentaire, l’enfant ou le petit-enfant peut ĂȘtre salariĂ© de son parent. Il se retrouve alors dans une situation de subordination, ce qui ne lui permettra pas d’ĂȘtre nommĂ© tuteur ou curateur de son parent en cas de besoin. Dans le cadre de l’APA, la personne aidĂ©e doit justifier auprĂšs du conseil dĂ©partemental de l’utilisation conforme des sommes versĂ©es par rapport au plan d’aide dont elle bĂ©nĂ©ficie nombre d’heures, type d’aide
. En effet, Le calcul de l'APA Ă  domicile dĂ©pend de l'Ă©valuation des dĂ©penses dont a besoin le proche en perte d’autonomie. Ces dĂ©penses sont dĂ©terminĂ©es par une Ă©quipe mĂ©dico-sociale. PCH et rĂ©munĂ©ration de l’aidant familial La personne aidĂ©e qui bĂ©nĂ©ficie de la PCH peut, sous certaines conditions, salarier ou dĂ©dommager l’aidant familial. Qui paye l’aidant familial ? Les sommes versĂ©es dans le cadre de la PCH peuvent servir Ă  rĂ©munĂ©rer un proche aidant exceptĂ© lorsqu’il s’agit du Conjoint, concubin ou partenaire de PACS D’un des deux parents D’un des enfants D’une personne Ă  la retraite D’une personne exerçant une activitĂ© professionnelle Ă  temps plein Il existe une exception Ă  ces exclusions lorsque l’état de santĂ© de la personne dĂ©pendante le nĂ©cessite, c’est-Ă -dire lorsqu’elle a besoin d’une aide totale pour effectuer les actes de la vie quotidienne et d’une prĂ©sence constante ou quasi constante. Dans ce cas trĂšs prĂ©cis, la personne aidĂ©e peut salarier tout membre de sa famille. DĂ©dommagement de l’aidant familial Lorsque les conditions pour salarier un proche aidant ne sont pas rĂ©unies, l’aide financiĂšre de la PCH peut en partie le dĂ©dommager. Le montant de cette indemnitĂ© est de 4,38 € net de l'heure ou 6,57 € si l'aidant rĂ©duit ou abandonne son activitĂ© professionnelle. À NOTER L’indemnitĂ© versĂ©e Ă  l’aidant familial qui s’occupe d’un enfant handicapĂ© est exclue des ressources prises en compte pour le calcul du RSA. Toutefois, cette indemnitĂ© compte lorsque l’aidant familial s’occupe d’un adulte handicapĂ©. La personne aidĂ©e ne bĂ©nĂ©ficie pas de l’APA ou de la PCH Si elle ne bĂ©nĂ©ficie pas de l’APA ou de la PCH, mais qu’elle possĂšde les ressources financiĂšres suffisantes, une personne en perte d’autonomie peut employer un proche aidant dans le cadre des services Ă  la personne en tant qu’aide Ă  domicile. Le proche aidĂ© devient alors particulier employeur et le proche aidant un salariĂ©. Le particulier employeur peut opter pour le ChĂšque emploi service universel CESU ou le contrat de travail classique pour rĂ©tribuer l’aidant. L’aidant bĂ©nĂ©ficie alors des droits liĂ©s Ă  son contrat de travail sĂ©curitĂ© sociale, assurance retraite, congĂ©s payĂ©s, droits au chĂŽmage
 Combien est rĂ©munĂ©rĂ© un aidant familial salariĂ© ? Lorsqu’un proche aidant devient salariĂ©, le montant de son salaire est calculĂ© sur la base du tarif horaire de 14,33 € brut de l'heure en 2022. Obligations du particulier employeur Le particulier-employeur qui embauche un proche aidant est tenu de plusieurs obligations, Ă  savoir DĂ©clarer l’embauche de son salariĂ© Ă  l’URSSAF Assumer les obligations prĂ©vues par le code du travail contrat de travail, bulletin de paie, formation continue, congĂ©s
 Payer les cotisations sociales et les salaires Imposition de l’aidant familial Lorsque la personne dĂ©pendante fait appel Ă  un aidant familial qui n'est pas salariĂ© pour cette activitĂ©, les sommes perçues sont exonĂ©rĂ©es d'impĂŽt sur le revenu. A l’inverse, lorsque la personne dĂ©pendante emploie un ou plusieurs salariĂ©s, les sommes perçues par ces derniers sont imposables Ă  l'impĂŽt sur le revenu. Subvention du proche aidant Il n’existe pas de subventions pour les proches aidants. Agirpour l'autisme. 17 mai 2019. Epargne, Vos droits. Les contrats de Rente survie et d’épargne handicap ont Ă©tĂ© conçus pour protĂ©ger les personnes handicapĂ©s. Ils garantissent le versement d’un capital ou d’une rente viagĂšre Ă  une personne atteinte d’une infirmitĂ©, mentale ou physique afin de lui permettre de subvenir Ă  ces
Quand j’ai annoncĂ© Ă  mon mĂ©decin que je voulais devenir maman, il m’a rĂ©pondu que j’avais dĂ©jĂ  assez de difficultĂ©s comme ça », soupire Magali, non voyante et mĂšre d’une petite fille de 9 ans, qui n’a pas tenu compte des remarques pas toujours tendres » du milieu mĂ©dical. Carine, qui Ă©lĂšve trois enfants ĂągĂ©s de 15 mois Ă  17 ans, n’a, elle non plus, jamais considĂ©rĂ© son handicap – une infirmitĂ© motrice cĂ©rĂ©brale, l’obligeant Ă  se dĂ©placer en fauteuil roulant – comme un obstacle. Bien sĂ»r, j’ai Ă©tĂ© obligĂ©e d’accoucher par cĂ©sarienne et d’utiliser un matĂ©riel de puĂ©riculture adaptĂ©, raconte-t-elle. Pour le change, par exemple, j’utilise un bureau, bien plus pratique pour moi qu’une table Ă  langer. »Pour compenser le fait de ne pas voir, Magali a quant Ă  elle Ă©normĂ©ment parlĂ© Ă  sa fille, dĂšs ses premiers jours. Pour l’habiller, elle prĂ©parait des panoplies complĂštes de vĂȘtements, qu’elle lavait dans le mĂȘme filet Ă  linge pour ne pas les dĂ©pareiller. Aujourd’hui, elle veut davantage choisir ce qu’elle porte et j’essaie de lui faire confiance, sourit celle qui rĂȘve de travailler dans une crĂšche. Mais aucun employeur n’ose me faire confiance car cela n’a encore jamais existĂ© ! » On construit avec chaque famille »Ces deux mĂšres aimeraient aujourd’hui mettre Ă  profit leur expĂ©rience pour conseiller et surtout rassurer d’autres familles 1. Car la parentalitĂ© des personnes en situation de handicap reste un sujet tabou. Plus encore en matiĂšre de handicap intellectuel. On commence Ă  peine Ă  travailler la question de leur sexualitĂ©, observe Olivier Raballand, coprĂ©sident de l’association Grandir d’un monde Ă  l’autre, prĂšs de Nantes. Celle de la parentalitĂ© est encore une Ă©tape supĂ©rieure Ă  franchir
 » Coauteur du documentaire Aux yeux du monde, pour lequel il a suivi pendant dix ans plusieurs couples en situation de handicap, dont certains sont devenus parents, il souhaite montrer que cela existe, mĂȘme si c’est compliquĂ© » 2.→ ENTRETIEN. Le handicap n’est pas un frein Ă  la parentalitĂ© »En France, de rares services d’accompagnement et de soutien Ă  cette parentalitĂ© existent. La Loire-Atlantique en possĂšde quatre, dont celui de l’Association jeunesse et avenir qui intervient Ă  Saint-Nazaire. Créé en 2004, il accompagne une vingtaine de parents en situation de handicap psychique ou intellectuel. On n’arrive pas avec un catalogue de recettes, prĂ©vient BenoĂźt Lacourt, son directeur. On construit avec chaque famille des solutions adaptĂ©es Ă  leurs besoins et leurs difficultĂ©s. »Il peut s’agir de visites au domicile, de temps partagĂ© entre travailleurs sociaux et parents lors des moments compliquĂ©s le repas, le coucher
. En faisant avec eux, on les aide Ă  s’approprier d’autres façons de faire. On peut aussi les accompagner dans des lieux oĂč ils ne se sentent pas Ă  l’aise, comme chez les professionnels de santĂ© ou Ă  l’école
 » Groupes de parole, structures relais pour accueillir les enfants et week-ends partagĂ©s avec des Ă©ducateurs complĂštent ce dispositif. Il ne faut ni exagĂ©rer ni minimiser les difficultĂ©s, rĂ©sume BenoĂźt Lacourt. Ce qui est sĂ»r, c’est qu’il n’y a pas une parentalitĂ© propre au handicap. »Une Ă©tude scientifique conduite par Bertrand Coppin, Ă©ducateur spĂ©cialisĂ© devenu directeur gĂ©nĂ©ral de l’Institut rĂ©gional du travail social de Lille Hauts-de-France, bouscule bien des prĂ©jugĂ©s. MenĂ©e en 2004 auprĂšs de 700 parents en situation de handicap intellectuel, elle montre que 83 % des enfants nĂ©s dans ces familles n’ont aucun handicap avĂ©rĂ©. Sur les interactions entre parents et enfants jeux, surveillance de la santĂ©, de l’alimentation, les rĂ©sultats diffĂšrent peu d’une famille classique ». Seule l’aide aux devoirs assurĂ©e par seulement 26 % des mĂšres apparaĂźt problĂ©matique. On soupçonne d’emblĂ©e ces parents d’ĂȘtre incapables de s’occuper de leur enfant » En revanche, le taux d’enfants placĂ©s issus de ces familles 33 % s’avĂšre nettement supĂ©rieur Ă  celui des familles ordinaires 0,16 %. On soupçonne d’emblĂ©e ces parents d’ĂȘtre incapables de s’occuper de leur enfant, commente Bertrand Coppin. Parfois, c’est vrai. Mais chaque dĂ©cision doit faire l’objet d’une vraie enquĂȘte et pas d’un jugement de valeur. » À l’en croire, bien des placements seraient Ă©vitĂ©s si on renforçait l’accompagnement Ă  la parentalitĂ©. Dominique peut tĂ©moigner de la violence de certaines situations 3. Sa fille adoptive, souffrant de troubles psychiques et d’une dĂ©ficience intellectuelle, a donnĂ© naissance Ă  une petite fille il y a trois ans. À la maternitĂ©, elle Ă©tait suivie de prĂšs et on lui disait qu’elle se dĂ©brouillait trĂšs bien, raconte-t‑elle. Sauf qu’au bout de dix jours, les services sociaux ont placĂ© sa fille en pouponniĂšre sans explications. Elle a seulement pu lui dire au revoir dans le couloir
 » Depuis, la petite vit en famille d’accueil et voit ses parents et grands-parents rĂ©guliĂšrement. Ma fille serait trop fatiguĂ©e de l’avoir Ă  temps plein, reconnaĂźt sa mĂšre. Mais on aurait pu faire les choses autrement, sans une telle inhumanité  »MĂȘme dans d’autres champs du handicap, les parents ont l’impression de devoir sans cesse prouver qu’ils sont Ă  la hauteur de la tĂąche. Comme en tĂ©moigne Magali avec l’école de sa fille. La directrice voulait qu’elle reste Ă  l’étude pour y faire ses devoirs, pensant que je n’étais pas capable de l’aider, raconte-t‑elle. Heureusement, les maĂźtresses ont jouĂ© le jeu et m’envoient les devoirs en avance pour que je puisse les traduire en braille
 ȃlevĂ© par une mĂšre en fauteuil roulant, RĂ©my, 27 ans, assure que le handicap n’a en rien pesĂ© sur son enfance. Bien sĂ»r, on Ă©tait inquiet quand elle avait des soucis de santĂ©, confie-t‑il. Mais ma mĂšre a tout fait pour ĂȘtre prĂ©sente pour nous et l’a sans doute Ă©tĂ© davantage que les parents de mes copains. Surtout, elle nous a ouverts au monde. Elle a fait de nous des personnes plutĂŽt sociables et empathiques
 »-Ce que dit la loiLa France n’a jamais autorisĂ© la stĂ©rilisation contrainte des personnes en situation de handicap mental. Ce qui n’a pas empĂȘchĂ© des dĂ©rives, constatĂ©es dans les annĂ©es 1990, au sein des familles ou des rapport d’information du SĂ©nat de 2019 sur les violences faites aux femmes handicapĂ©es rappelle qu’une loi de 2001 interdit la stĂ©rilisation, sauf en cas de contre-indication mĂ©dicale absolue » des mĂ©thodes Convention internationale des droits des personnes handicapĂ©es ratifiĂ©e par la France en 2010 affirme que ces personnes ont le droit de se marier, de fonder une famille et d’avoir des enfants.
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