Jene sais pas si c'est parce qu'Aznavour allait me parler des lilas et que le printemps arrive, mais j'ai décidé de l'écouter. Et une émotion aussi inattendue que gênante m'a tout à coup envahi. À la fin du morceau, j'étais bouleversé, et fâché de l'être. Qu'y avait-il donc de si émouvant dans cette Bohème qui ne m'appartenait pas, dans cette ville qui ne fut jamais la
Qui n’a pas lu ou entendu dire au moins une fois que les gros vers blancs qu’on trouve dans un tas de compost sont nuisibles car ce sont des larves de hanneton qui risquent d’attaquer les racines des plantes de nos jardins ? Et bien ne mettons pas tous les vers ou plutôt les larves dans le même composteur ou plutôt dans le même panier. Notre ami Gaulthier Duprez, Apprenti Maitre Composteur, nous éclaire sur la question… Un ver ou une larve ? Cétoine dorée – insecte adulte Alors qu’un ver restera un ver toute sa vie, la larve n’est qu’une étape dans la vie d’un insecte. Et notre gros ver blanc est en fait… une larve ! Plusieurs larves de coléoptères sont présentes dans les débris végétaux et dans certains composts, en particulier celles de la cétoine dorée. Cet insecte ressemble à un hanneton, mais il est de couleur vert métallisé. Les cétoines femelles pondent les œufs dans les tas de matières organiques en décomposition feuilles mortes amoncelées, bois pourri, tas de compost, paillis de feuilles et de bois broyé, et même dans le terreau des jardinières. Les larves issues des œufs vivent au minimum un an sous cette forme et se nourrissent uniquement de la matière organique morte en décomposition et donc pas des racines des plantes !!!. Leurs déjections fines contribuent à affiner le compost. En fin de vie larvaire, en automne, elles s’enferment dans un cocon fait de boulettes fécales sèches pour y passer l’hiver… au chaud et se métamorphoser en insectes qui émergent fin mai – courant juin. Les cétoines dorées font partie des insectes pollinisateurs. Elles se nourrissent du nectar des fleurs et apprécient également le pollen. Et comme leur corps est couvert de petits poils, elles transportent avec elles le pollen des fleurs visitées et facilitent ainsi la pollinisation. Elles contribuent donc à la reproduction des espèces, ainsi qu’à la fructification des plantes cultivées arbres fruitiers, légumes, etc. dans nos jardins et aux alentours. Comment différencier hanneton et cétoine ? S’il n’est pas évident de distinguer les larves de cétoine de celles de hanneton, on peut y voir quelques différences Les larves de cétoine sont blanc grisâtre, tandis que celles du hanneton sont blanc jaunâtre Les larves de cétoine ont de courtes pattes plus courtes que la largeur du corps, alors que les pattes des larves de hanneton sont plus longues plus longues que la largeur du corps L’extrémité de l’abdomen des larves de cétoine apparaît comme enflée, alors que celle du hanneton est plus fine La tête de la larve de cétoine est petite, celle du hanneton est plus grosse Une autre façon de les différencier, c’est l’endroit où on les a trouvées les larves de hannetons vivent sous la terre, là où les adultes on pondu leurs oeufs, au plus près des racines des plantes dont se nourrissent les larves. On les trouve en griffant ou en retournant le sol. A contrario, les larves de cétoine vivent dans la matière organique feuilles mortes, bois mort, compost… puisque c’est leur casse-croûte ! En conclusion, si vous en trouvez dans votre compost mûr ou dans les paillis, ne les écrabouillez pas ! Déposez-les dans le composteur ou sous les feuilles pour qu’elles finissent leur cycle ! Gaulthier Duprez est animateur territoire ZDZG – biodéchets pour la communauté urbaine du Grand Reims, et Apprenti Maitre Composteur formé par OrgaNeo – Eisenia – Ecole du Compost.
Cétait le temps sur les bords du lac de Gérardmer de l’éclosion de rallymen tels que Pilou Meny, Pierrot Golly, Christian Hot, Maurice Yung, Jean Yves Chipot avec pour copilotes Jeff Lieneré, Christian Martin, Gilles Chipot, Pascal Goury, Jean-Sébastien Hot C’était le temps de la course de côte du Phény, des slaloms au centre ville, sur la place du Tilleul ou de la gare
11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 0009 Sur un forum, comme il en existait avant que Face de Bouc draine les chalands, un brave continental notait Au cours d'un de mes séjours en Corse au début des années 60, j'ai vu, lors d'une excursion à Corte, une laiterie coopérative arborant le macaron caractéristique du Roquefort Société. Stupéfait qu'on puisse fabriquer du roquefort en Corse, j'ai interrogé notre guide local qui nous a affirmé que si, bien évidemment, on ne fabriquait » pas de roquefort dans l'ÃŽle de Beauté, une partie des laits collectés pour la fabrication des fromages locaux était néanmoins utilisée pour préparer et ensemencer des pains » de fromage qui étaient ensuite expédiés sur le continent pour affinage dans les caves appropriées afin de justifier de l'appellation de roquefort. » Oui il en fut ainsi, voir l’histoire plus loin. Mais aujourd’hui la Corse est dans une situation paradoxale. Elle a le lait de brebis le mieux payé des trois bassins traditionnels entre 1200 et 1250 euros les mille litres. Pourtant, la production ne cesse de baisser, alors que le succès des fromages corses ne se dément pas. Entre 2008 et 2012, nous avons perdu 1,6 million de litres », indique Antoine Ottavi, président de l’interprofession laitière ovine et caprine de Corse ILOCC. La collecte s’élevait l’an dernier à 6,5 millions de litres. Cependant, 30 % de la production quelque 3 millions de litres sont transformés directement à la ferme. Pour satisfaire la demande des industriels, il manque de 1,5 à 2 millions de litres qui sont importés de Sardaigne et du bassin de Roquefort. Nous craignons que la baisse de la collecte continue sur la même pente », dit Antoine Ottavi. En Corse, l’accès au foncier reste souvent précaire. Cela n’incite pas à réaliser des investissements productifs ni à l’amélioration de la productivité. L’accès aux financements est difficile. Le sous-équipement, notamment en bâtiments et équipements de traite, est important. Ce qui accroît la pénibilité du travail. De plus, la population des éleveurs est vieillissante la moitié a plus de 50 ans. Plusieurs actions ont été lancées pour stopper cette hémorragie. Mais, la tâche est difficile. Parmi la quinzaine d’entreprises, dont un seul groupe national Société des Caves, neuf ont créé un GIE pour s’approvisionner à l’extérieur. Ce sont des solutions à moyen terme, mais à long terme la situation est vraiment problématique, assure le président de l’ILOCC. Il est plus facile d’avoir une collecte propre que de s’approvisionner auprès des grands groupes ». Cette situation fragilise les petites laite- ries qui ne parviennent pas à atteindre une taille critique. Co-produit de la transformation fromagère, le brocciu 420 tonnes par an est la seule AOP fromagère de l’île de Beauté. Le plateau des fromages corses est pourtant d’une grande richesse. L’un des enjeux de la filière est de parvenir à identifier ses produits avec des signes officiels de qualité. Nous travaillons sur trois ou quatre projets d’AOP sartinese, bastelicacciu, venachese, niolo, avec le lait produit en Corse, et sur un projet d’IGP sur les pâtes pressées pour du lait transformé en Corse mais avec la possibilité de s’approvisionner à l’extérieur, explique Antoine Ottavi. Il y a un consensus de la filière autour de ces projets ». La dégradation de la collecte est d’autant plus dommageable que le potentiel de marché des fromages corses est loin d’être exploité. Environ 70 % des fromages sont écoulés sur le marché local et le reste sur le continent Rungis notamment et à l’export. » égouttage du caillé, fromagerie de la socité des caves de Roquefort à l'Ile Rousse 1955 La légende veut que l'origine de l'installation des industriels de Roquefort en Corse tienne à la rencontre fortuite, aux eaux de Vichy, d'un négociant aveyronnais, d'un Corse et d'un fromage de Niolo, blanc et gras, qui ne pouvait échapper à son sort d'être mangé ». Plus que cette rencontre factuelle, l'intérêt que les industriels du roquefort vont porter à la Corse tient à deux facteurs d'une part la nécessité d'étendre leur aire de collecte pour faire face à la demande croissante de fromage  une extension que facilite l'amélioration des transports maritimes Â, et d'autre part, le décalage des dates de lactation entre Corse et Rayon. En effet, en Corse les mises-bas ont lieu à l'automne pour les brebis, la traite a donc lieu de novembre à mai, alors que dans le Rayon elle est plus tardive, de février-mars à juillet. Des grandes maisons de Roquefort, c'est Louis Rigal qui, le premier, a entrepris la fabrication de roqueforts blancs en Corse. Il était à la recherche de lait et ne pouvait plus surenchérir sur ses concurrents pour leur voler » des producteurs dans le Rayon. Il se serait également aperçu à la lecture de sa correspondance commerciale que, de Paris et de la région du Nord, on lui demandait surtout des fromages frais n'ayant pas acquis ce piquant, ce relevé qu'ils prennent d'habitude à l'affinage ». Or, le désir de cette clientèle n'était facile à satisfaire que durant les premiers mois de traite de mars à août ; c'est alors qu'il se serait avisé que la Corse était un pays essentiellement adonné à la culture pastorale, que, grâce à l'influence du doux climat maritime, le pacage des bestiaux y était possible à un moment où les rigueurs hivernales obligent les fermiers de nos régions aveyronnaises à nourrir les troupeaux dans les bergeries ». La période de traite corse est d'autant plus intéressante qu'elle correspond au pic de consommation septembre à mai. Non seulement elle permet d'offrir des roqueforts primeurs aux consommateurs, mais aussi de réduire les frais de stockage en chambre froide. Dès 1894, Louis Rigal réalise des essais. Il éprouve un certain nombre de difficultés à discipliner les bergers, toujours errants à travers le maquis ». Mais il finit, en 1899, par installer une fromagerie et par faire des bénéfices. En 1901, il est à la tête de six laiteries réparties en Balagne, Casinca et dans la plaine d'Aléria. Le succès aidant, il est imité par d'autres industriels en 1901, la maison Maria Grimal et la Société des caves et des producteurs réunis de Roquefort créent également six laiteries. Ainsi dès 1905, près de 1 400 000 litres de lait sont collectés en Corse, soit environ 5 % de la production de pâtes de roquefort. Le nombre de laiteries progresse avec rapidité, surtout après la Première guerre mondiale, période pendant laquelle le lait tend à manquer sur le Rayon. » Il est clair que les industriels de Roquefort ne sont pas venus s'approprier des savoir-faire fromagers en Corse, mais chercher une matière première pour produire leur propre fromage et selon leur propre logique industrielle. D'ailleurs les laiteries de Roquefort sont dénommées succursales » et le lait corse n'est collecté qu'en fonction des besoins de Roquefort lorsque la campagne roquefortaine n'est pas commencée. Les maisons de négoce ne revendiquent pas non plus la provenance corse, même si les fromages blancs corses revêtent des qualités particulières et ont des destinations précises. » La suite ICI link À travers la chronique d'un siècle de relations entre les industriels aveyronnais du Roquefort et les producteurs corses, cet article se propose d'analyser les transmissions, les échanges ou les appropriations successives qui ont pu s'opérer entre les deux cultures laitières et fromagères. Cette chronique peut être analysée en trois temps. Celui de la rencontre à la fin du siècle dernier. Celui de l'hégémonie des industriels de Roquefort en Corse, période où la culture fromagère traditionnelle corse est bouleversée alors que celle de l'industrie du Roquefort est à son apogée. Celui, enfin, courant des années 1970 à nos jours, qui serait le temps du repli de la fabrication du roquefort et de la redécouverte du patrimoine régional corse, tant par les Corses que par les industriels de Roquefort. » Published by JACQUES BERTHOMEAU - dans Billet
KofiYAMGANE : « C’était mieux du temps des Blancs ». Ancien ministre de François MITTERRAND, Kofi YAMGANE affirme que pour les vieux Togolais, rien n’a avancé dans son
mercredi 26 mai 2010 "Kofi, c'était quand même mieux du temps des blancs" Un camerounais parle d'immigration Publié par ✈ à 1719 Aucun commentaire Enregistrer un commentaire
Bref c’était sa rentrée en CE2. Marius a retrouvé son meilleur pote, mais dans la cours de récré, pas dans la classe. Je crois que la maîtresse de l’année dernière n’a pas trop aimé l’effet bande et je comprends un peu. Il a quand même quelques potes dans sa classe. Et puis comme je lui ai expliqué, le super pote ce n’est
Terrible aveu de Kofi, ancien ministre togolais "C'était quand-même mieux du temps des Blancs." L'indépendance du Togo français est intervenue en 1960... Fort heureusement, la communauté togolaise de France, peu organisée, n'est pas la plus influente, la plus lobbyiste. Sinon voilà longtemps que François Hollande aurait fait acte de repentance pour dénigrer... les plus terribles "bienfaits" de la colonisation ! Merci à Henry V. "Kofi, c'était quand même mieux du temps des... par noop
Lacasse et l'importation de Noirs est effectuée par des Blancs. Donc le problème est entre Blancs. Cesse donc de répéter les mêmes trucs, ça ne te laisse pas le temps de réfléchir. Si on laisse répéter que Macron a été élu, on élude le coup d'État qui l'a mis au pouvoir (ou les deux ou trois coups d'État qui l'ont mis au pouvoir). Si on élude ça, comment espérer y
La balance des blancs est souvent considérée comme un réglage secondaire et, de ce fait, elle est négligée par de nombreux photographes débutants. Elle joue pourtant un rôle primordial sur le rendu des couleurs de vos photos. Voyons ensemble ce qu'est la balance des blancs et quelles sont les possibilités pour la régler. Température de couleur et balance des blancs Si vous n'avez jamais entendu parler de la balance des blancs, il est fort possible que certaines de vos photos présentent une dominante de couleur. En intérieur, vos photos ont peut-être une teinte jaunâtre ? Celles prises en extérieur, par temps couvert, ont peut-être une teinte bleue ? Pour comprendre ce phénomène, il faut savoir que chaque source de lumière a une couleur différente. Ainsi, une ampoule à incandescence va produire une lumière jaune orangée alors qu'un flash électronique va produire une lumière bleutée. En extérieur, la lumière change de couleur en fonction du moment de la journée et de la couverture nuageuse. En début et en fin de journée, lorsque le ciel est dégagé, la lumière a une teinte orangée, on parle de lumière chaude. En milieu de journée, lorsque le temps est couvert, pluvieux ou brumeux, la lumière a une teinte bleue, on parle de lumière froide. Pour quantifier ces changements de couleur, on utilise le terme de température de couleur. Chaque source lumineuse a donc une température de couleur différente, qui est mesurée en Kelvins K. Une lumière chaude a une température de couleur faible 3000 K, par exemple alors qu'une lumière froide a une température de couleur élevée 8000 K, par exemple. Quelques exemples de température de couleur en fonction de la source lumineuse Nous ne remarquons généralement pas ces différences de température, car notre cerveau compense automatiquement les variations de couleurs. Ainsi, quelle que soit la source de lumière nous percevons toujours un objet blanc comme étant blanc. L’appareil photo, lui, n’a pas la même facilité à s’adapter aux différences de température de couleur. Il fait donc appel au réglage de la balance des blancs pour que le blanc soit toujours vu en blanc, même si la lumière change de couleur. Lorsque l’appareil photo a des difficultés pour bien régler la balance des blancs, nos images présentent alors une dominante colorée. On va généralement chercher à neutraliser cette dominante si elle est trop prononcée. Régler la balance des blancs Si vous souhaitez obtenir une restitution fidèle des couleurs, vous devez vous assurer que le réglage de la balance des blancs a été fait correctement par l'appareil photo. Pour cela, vous disposez de quatre méthodes différentes. Le réglage automatique Par défaut, c’est le réglage automatique de la balance des blancs qui est activé sur la plupart des appareils photo. Il produit d'excellents résultats en lumière naturelle et il y a rarement des surprises. Certains ajustements sont parfois nécessaires, notamment si vous utilisez des filtres optiques qui n’ont pas une neutralité colorimétrique irréprochable. Mais, pour les situations classiques », vous rencontrerez peu de problèmes en lumière naturelle. À moins d'avoir besoin d'une très grande précision pour la balance des blancs, c'est ce réglage que vous choisirez en priorité. Si vous photographiez en lumière artificielle, vous rencontrerez davantage de difficultés. En effet, les appareils photo ont plus de mal à gérer la température de couleur produite par les éclairages artificiels. Pour obtenir des couleurs plus fidèles, vous devrez donc probablement utiliser l’un des réglages ci-dessous. Les préréglages Presque tous les appareils possèdent des préréglages adaptés à différents types de lumière. En fonction de votre modèle d'appareil photo, vous devriez retrouver tout ou partie des réglages ci-dessous Bougie en refroidissant les couleurs, ce mode corrige la teinte orangée produite par la lumière d'une bougie. Incandescent utile en intérieur pour supprimer la dominante jaune orangé causée par une ampoule à incandescence la bonne vieille ampoule à filament !. Sur certains modèles ce réglage est appelé tungstène. Fluorescent vous utiliserez ce mode si la scène est éclairée par un néon ou une ampoule basse consommation. Ensoleillé ce mode est idéal pour photographier en milieu de journée lorsque le ciel est dégagé. Flash ce mode permet de compenser la lumière froide émise lors de l'utilisation d'un flash. Nuageux ce mode corrige la dominante bleue présente sur les photos prises par temps couvert. Ombre la lumière étant plus froide à l'ombre qu'en plein soleil, ce mode permet de réchauffer les couleurs. La photo du début d'article, prise cette fois avec le préréglage "Incandescent". La dominante jaune orangé a disparu, le blanc apparait blanc. Le réglage manuel Vous obtiendrez généralement un résultat tout à fait correct en utilisant le mode automatique ou l'un des modes prédéfinis. Si vous n'êtes pas satisfaits, vous pouvez essayer le réglage manuel pour régler encore plus finement la balance des blancs lors de la prise de vue. Les appareils photo perfectionnés permettent de choisir une valeur pour la température de couleur. Vous devez juste savoir que pour refroidir les couleurs il faut utiliser une température de couleur faible 3000 ou 4000 K, par exemple. Inversement, pour réchauffer les couleurs il faut utiliser une température de couleur élevée 7000 ou 8000 K, par exemple. Cette option laisse beaucoup de liberté, mais il faut déjà avoir un minimum d’expérience pour l’utiliser. À réserver donc aux photographes confirmés et exigeants sur la couleur de leurs photos. Cela dit, rien ne vous empêche de faire des essais pour mieux comprendre le fonctionnement de la balance des blancs ! Certains appareils permettent également d’étalonner l’appareil photo en utilisant une référence ». Pour cela, il faut placer un objet neutre, gris ou blanc, sous la lumière qui sera utilisée pour prendre la photo. Vous pouvez vous procurer une charte de gris un carton ou un tissu coloré avec du gris neutre à 18% ou tout simplement utiliser une feuille de papier blanc. L’appareil va ensuite se servir de cet objet de référence pour définir une balance des blancs qui conviendra parfaitement à la scène que vous allez photographier. Cette méthode est extrêmement précise et permet d’éviter les mauvaises surprises. La méthode et le nom diffèrent sensiblement selon les modèles et les fabricants. Sur les modèles Nikon, on parle de "Préréglage manuel", sur les modèles Canon de Balance des blancs personnalisée ». Le plus simple est de consulter le manuel de votre appareil photo qui vous guidera pas à pas. Une charte de gris Le post-traitement Si vous ne vous étiez peut-être pas intéressé à la balance des blancs auparavant, sachez que vous pouvez corriger une dominante colorée au post-traitement. La latitude dont vous disposez dépend en grande partie du format d'enregistrement de vos photos. Si vous avez enregistré vos images au format JPEG, vous pouvez faire quelques ajustements dans un logiciel de retouche. Cependant, vous aurez peu de marge de manœuvre, car une retouche poussée va inévitablement dégrader la qualité de l'image. Si vous avez choisi le format RAW, vous pouvez régler la balance des blancs sans aucune perte de qualité. C'est l'un des nombreux avantages de ce format ! En photographiant en RAW, vous n'avez plus besoin de vous soucier de la balance des blancs lors de la prise de vue. Vous pouvez concentrer tous vos efforts sur d'autres paramètres comme la composition, le réglage de l’exposition ou la mise au point. Conclusion Vous connaissez à présent l’essentiel sur la température de couleur et le réglage de la balance des blancs. Si vos photos présentent une dominante de couleur non souhaitée, vous savez quoi faire pour reprendre la main sur les couleurs. Maintenant que vous avez ces éléments en tête, une question se pose faut-il systématiquement chercher à corriger une dominante de couleur ? La réponse est non, pas forcément ! En effet, une dominante de couleur peut permettre de restituer l’ambiance d’une scène. Imaginez que vous photographiez un superbe coucher de soleil. Tous les éléments de votre scène vont être baignés par des teintes chaudes. Si vous essayez de neutraliser ces couleurs, vous allez perdre toute l’ambiance ! La balance des blancs est aussi un formidable outil créatif selon ce que vous souhaitez exprimer, vous avez la possibilité de réchauffer ou de refroidir les couleurs. Le réglage de la balance des blancs n’est donc pas une science exacte et chaque situation mérite un traitement particulier.
Cétait l’un des événements marquants de l’année rap 2015 : les De La Soul ont bouclé en seulement quelques heures une campagne Kickstarter destinée à financer leur nouvel opus. Une prouesse remarquable qui témoigne de l’aura toujours intacte du groupe. Histoire de décortiquer la légende à l’occasion de ce nouveau projet, intitulé and the Anonymous Nobody
Kerjean va se pourrait que ce soit le monde ouvrier de 1850 à 1950, qui, trouvant le paternalisme patronal rassurant, ayant accès aux élections, ayant accès au syndicalisme, ayant acquis des avantages en soins, en congés et en salaires, cultiverait le plus la vision extrêmiste de l’esclavage ancien. Le véritable esclavage est en fait protéiforme. Il aura existé partout et sous mille et une formes, des plus amicales aux plus infernales Notons que dans l’époque récente, ce qu’on aura vu de pire condition humaine, se sera trouvé plutôt dans des camps du continent européen et qu’on y aura trouvé plutôt des BlancsParce que l’esclavage aura existé depuis les formes les plus dures aux formes les plus douces, il n’était pas bon, pour leur propre moral, que les ouvriers des temps modernes aient l’impression que leur cas se situe quelque part dans cette échelle de diverses versions d’esclavage ayant toujours été organisées à des fins militaires ou pécuniaires, plus rarement à des fins de peuplement, il faut les reconnaître toutes, il faut en admettre la diversité des cas, admettre que le racisme n’a pas été, loin de là , le moteur, que ces formes se sont donc pratiquées à l’intérieur même d’une race, que le nationalisme ne protège pas du tout de l’esclavage interne, que l’esclavage interne est bien souvent plus rentable même langue, même culture et qu’en servant un coup dans les tranchées de la Marne, un coup dans les mines de Lorraine, un coup chez Renault, il se pourrait bien qu’on soit en train de vivre une de ses versions, à peine toutes les formes d’esclavage, la race aura été considérée. Mais ce racisme aura alors été un racisme productiviste et positiviste répondant à la question Quelle est donc la race qui sera la plus productive dans mon entreprise ». Ce qui n’a rien à voir avec la question Quelle est donc la race à rayer de la Planète ? ».Et ce racisme productiviste positiviste existe toujours. Les vigiles des magasins sont des Noirs parce que ce sont eux qui sont les plus valables à cet endroit, à salaire égal. Et dans l’électronique, toujours à salaire égal, on préfèrera embaucher les races à doigts fins. Etant entendu que le mot race est de nos jours invalidé par les opposants du racisme mais qu’ils n’ont toujours pas proposé de mot qu’on examine l’esclavagisme selon l’angle productiviste et positiviste, on réalise qu’en tant que salarié payé autour du smic pour exécuter des boulots pénibles et dangereux, dans la stricte obéissance, on se trouve bel et bien à vivre une de ses qui ne manque pas de déplaire à notre alors que tout en ayant peut-être fait partie d’un des rouages d’une des formes d’esclavage, la roue de la vie tourne et on peut en y a donc à considérer l’exemple de Miguel Cervantes qui aura été pris dans un esclavagisme de rançon. Il y a aussi Benjamin Franklin et son non moins glorieux frère Andrew Johnson qui ont fait partie d’une sorte d’esclavagisme visant à exploiter la productivité des Blancs européens les plus pauvres en les rendant longtemps débiteurs d’un cher prix de traversée. Cela dit, on peut également considérer que c’est l’esclavagisme contre les Noirs qui, parce qu’il semblait plus méchamment raciste que d’autres et l’était peut-être vraiment, parce qu’il faisait en tous cas ressortir visuellement quelque chose de spécial, de trop contrasté, aura permis un sursaut de conscience et une remise en cause totale de l’exploitation de l’homme par l’homme. Ce phénomène de contraste racial trop fort, quand il se voit dans le domaine de l’exploitation, conduit plus facilement à des objections ou protestations. Désormais, un employeur Blanc qui maltraiterait un ouvrier Blanc aura moins de soucis que s’il maltraitait un ouvrier Noir.
Unpetit poème sans prétention, que j'ai "commis" récemment, un peu poussée par un vieil aminaute, breton qui écrit de temps à autres sur son blog : "la plume blogueuse", et au passage un petit coucou du Grisou. c'était le bon vieux temps dit-elle en rouspétant c'était le bon vieux temps dit-il en maugréant c'était le bon vieux temps
"On aurait pu espérer mieux", a lâché Laurent Blanc à l'issue de la rencontre contre la Norvège. Défait 2 à 1 suite à une erreur technique de Lassana Diarra, les Bleus ont montré "beaucoup de choses positives" selon le sélectionneur, même si "quand on prend deux buts, c'est difficile d'être satisfait", avoue-t-il. Que retenez-vous de ce match ?Je retiens beaucoup de choses, on va faire l'analyse, mais à chaud, je suis assez satisfait du jeu produit, la seule grosse déception est que le résultat est défavorable. Des joueurs ont bien joué, ont respecté ce qu'on avait mis en place. Il y a beaucoup de choses positives mais dans le sport, le résultat gomme tout ça. Mais il faudra s'en souvenir."C'est une défaite encourageante ?Il n'y a jamais de défaite encourageante. On se prépare pour gagner. Dans le contenu du match il y a des choses très intéressantes la possession de balle et les occasions qu'on s'est créé. Mais il y a le résultat, c'est décourageant. Je l'ai dit aux joueurs "vu votre production de ce soir, on aurait pu espérer mieux".L'équipe de France a eu les meilleures occasions...On méritait mieux. L'équipe de Norvège était plus expérimentée. Si il n'y a pas cette erreur technique à la fin du match, on finit sur un Norvège a-t-elle été chanceuse ?Non, la Norvège était en meilleure forme physique. On les a privés de beaucoup de ballons. Mais la Norvège peut être dangereuse sur coup de pied arrêté, c'est d'ailleurs le premier but qu'on prend. Il nous a manqué de la concentration dès qu'on a ouvert le score. On n'a pas pu tenir le score et gagner le d'avoir eu seulement six changements ?Oui j'aurais aimé avoir plus de changements. On avait demandé à en faire huit mais il n'y avait que 16 joueurs sur la feuille de match de la Norvège, c'est normal que les Norvégiens aient refusé...Vous avez testé deux systèmes...Dans les deux systèmes, on peut trouver des satisfactions. Le deuxième système 4-2-3-1 a plus favorisé l'équipe de Norvège. Le premier en 4-4-2 leur a posé plus de satisfait de votre défense ?Quand on prend deux buts, c'est difficile d'être satisfait mais dans l'axe central, on a bien maîtrisé les attaquants norvégiens. Mais après, il ne faut pas faire d'erreur technique, comme sur le deuxième but. Mais globalement il y a des enseignements positifs même sur le plan y avait des points à marquer qui a réussi ?Je ne donnerai pas de noms. Je crois qu'il y a des joueurs qui débutaient au niveau international, ils étaient timorés au début, mais ont offert leur qualités, avec un bon état d'esprit. Je suis globalement content de leurs prestations. Patientez, vous verrez bien qui sera là ou pas au mois de septembre. Mais certains, là ce soir, seront là en Espoirs ont perdu ne regrettez-vous pas d'avoir pris Sakho ?Non je n'ai aucun regret par rapport à ça, il frappe à la porte des bilan faites vous de ces trois premiers jours ?C'était trop court. Il fallait mettre système et philosophie en place. Ca fait beaucoup en peu de temps. On y est presque arrivé.
Cétait beaucoup mieux avant OLJ / Par Racha MOUNAGED, le 07 juillet 2021 à 00h00. « De notre temps, c’était plus simple! » se dit Marwa en épluchant. L’oignon, c’est un grain de
Etsi Réal Siellez nous parle de Georgius, c’est pour mettre en avant le fait que "la chanson, ce n’était pas mieux avant". Si certaines et certains peuvent reprocher des choses aux
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c était mieux du temps des blancs