Voustrouverez ci-dessous la(les) réponse(s) exacte(s) à ASTEROIDE ENTRANT EN CONTACT AVEC UNE PLANETE que vous pouvez filtrer par nombre de lettres. Si les
Dans un peu moins d'un an, un vaisseau de la Nasa s'écrasera volontairement à la surface d'un astéroïde. Le but ? Dévier sa trajectoire. Qualifiée de "défense planétaire", cette mission doit permettre à l'humanité d'être parée en cas de menace d'impact à l'avenir. Le scénario fait penser à celui du film "Armageddon", dans lequel Bruce Willis et Ben Affleck sauvent la planète d'un énorme astéroïde fonçant vers la Terre. Mais c'est une expérience bien réelle que l'agence spatiale américaine mène ici. Bien qu'aucun gros astéroïde connu ne soit actuellement sur une trajectoire de collision, il s'agit de se préparer à cette éventualité. Techniques envisagées pour protéger la Terre d'une collision avec un astéroïde. "Nous ne voulons pas nous retrouver dans une position où un astéroïde se dirigerait vers la Terre, et où nous devrions tester cette technique" pour la première fois, a expliqué jeudi lors d'une conférence de presse Lindley Johnson, du département de Défense planétaire de la Nasa. La mission, baptisée DART fléchette en anglais et acronyme de Double Asteroid Redirection Test, décollera depuis la Californie à bord d'une fusée Falcon 9 de SpaceX le 23 novembre à 22H20 locales. Dix mois plus tard, le vaisseau frappera sa cible, alors située à onze millions de kilomètres de la Terre - en fait le moment où sa distance sera la plus proche de la Terre. "Un petit coup" En réalité, la cible est double d'abord un gros astéroïde, Didymos, qui mesure 780 mètres de diamètre, soit deux fois plus que la hauteur de la tour Eiffel. Et, en orbite autour de lui, une lune, Dimorphos, de 160 mètres de diamètre - plus haut que la statue de la Liberté. C'est sur cette lune que le vaisseau, environ cent fois plus petit qu'elle, viendra finir sa course, projeté à une vitesse de km/h. L'impact projettera des tonnes et des tonnes de matière. Mais "cela ne va pas détruire l'astéroïde, cela va juste lui donner un petit coup", a détaillé Nancy Chabot, du laboratoire de physique appliquée de l'université Johns Hopkins, qui conduit la mission en partenariat avec la Nasa. Ainsi, l'orbite du petit astéroïde autour du gros sera réduite de seulement "environ 1%", a-t-elle expliqué. Grâce aux observations réalisées par des télescopes sur la Terre depuis des décennies, on sait que Dimorphos fait actuellement le tour de Didymos en 11 heures et 55 minutes exactement. A l'aide de ces mêmes télescopes, cette période sera de nouveau mesurée après la collision. Elle sera alors peut-être "de 11 heures et 45 minutes, ou quelque chose comme ça", a dit la chercheuse. De combien exactement ? Les scientifiques ne le savent pas, et c'est justement ce qu'ils veulent découvrir. De nombreux facteurs entrent en jeu, dont l'angle d'impact, l'aspect de la surface de l'astéroïde, sa composition ou encore sa masse exacte, inconnus jusqu'ici. De cette façon, "si un jour un astéroïde est découvert sur une trajectoire de collision avec la Terre ... nous aurons une idée de la force dont nous aurons besoin pour que cet astéroïde manque la Terre", a expliqué Andy Cheng, de l'université Johns Hopkins. L'orbite autour du Soleil de Didymos, le gros astéroïde, sera également légèrement modifiée, du fait de la relation gravitationnelle avec sa lune, a précisé M. Cheng. Mais ce changement est "trop petit pour être mesuré. Donc c'est une expérience très sûre", a-t-il affirmé. Boîte à outils Un petit satellite fera également le voyage. Il sera lâché par le vaisseau principal dix jours avant l'impact, et utilisera son système de propulsion pour dévier légèrement sa propre trajectoire. Trois minutes après la collision, il survolera Dimorphos, afin d'observer l'effet du choc, et possiblement le cratère à la surface. Le coût total de la mission est de 330 millions de dollars. Si le test est concluant, "nous pensons que cette technique pourra faire partie d'une boîte à outils, que nous commençons à remplir, de manière à dévier un astéroïde", a expliqué Lindley Johnson. Il a par exemple cité des méthodes qui pourraient utiliser la force gravitationnelle d'un vaisseau volant proche d'un astéroïde durant une longue période, ou bien l'utilisation de laser. Mais il a rappelé que la clé était d'abord d'identifier les menaces potentielles. "La stratégie est de trouver ces objets non seulement des années, mais des décennies avant tout danger de collision avec la Terre", a-t-il souligné. Environ astéroïdes proches de la planète bleue sont connus à l'heure actuelle. L'astéroïde Bennu, qui mesure 500 mètres de diamètre, est l'un des deux astéroïdes identifiés de notre système solaire posant le plus de risque pour la Terre, selon la Nasa. Mais d'ici 2300, le risque d'une collision n'est que de 0,057%.
NUITDES ETOILES AU EURO SPACE CENTER ACTUALITES, Aout, Euro Space Center, Transinne NUIT DES ETOILES - 12 AOÛT 2021 Chaque année à la même époque, la Terre traverse un nuage de poussières constitué de débris de la comète
Et si le destin de l'homme était semblable à celui des dinosaures ? Si un jour, en se réveillant, on apprenait qu'un astéroïde se rapproche dangereusement de la Terre, que pourrait-on faire pour sauver le monde ? C'est justement la question que se pose la fondation B612, qui milite auprès de la NASA pour l'instauration d'un système de déviation des astéroïdes. Edward Lu et Stanley Love, deux astronautes membres de cette fondation, détiennent peut-être la solution. En effet, ils ont imaginé un vaisseau tracteur », qui viendrait se placer à proximité de l'astéroïde et l'écarterait de sa trajectoire périlleuse, sans se poser ni entrer en contact avec lui, mais en utilisant simplement la gravité comme câble d'artiste d'un moteur nucléoélectriqueSon principe repose sur l'ionisation d'un gaz et son éjection à grande vitesse Crédits NASA Cela vous intéressera aussiSeulement deux solutions pour sauver le monde…D'après les calculs de Clark Chapman, chercheur et spécialiste des astéroïdes, la collision d'un objet de 200 mètres de diamètre avec la Terre pourrait engendrer des dommages colossaux, et mettre en danger la vie sur à la menace d'un astéroïde venant percuter la Terre, deux solutions se présenteraient à nous Le détruire avant qu'il n'entre dans l'atmosphère ;Infléchir sa trajectoire afin de l'éloigner de la première alternative ne semble guère réaliste avec les moyens actuels. En effet, alors que de nos jours envoyer 10 tonnes de charge utile en orbite est déjà un exploit voir notre article sur le dernier vol d'Ariane 5 ECA , pour détruire un astéroïde de plusieurs millions de tonnes, il faudrait pouvoir faire décoller un vaisseau lesté par une charge explosive considérable. D'autre part il faudrait que, suite à l'explosion, les fragments d'astéroïde soient suffisamment petits pour être détruits à la traversée de l'atmosphère, ce qui impliquerait une connaissance complète de la composition et des caractéristiques physiques de la cible. Autant dire qu'en cas de danger imminent, nous n'aurions probablement pas le temps de mener une telle étude préliminaire... Plus qu'une seule solution pour sauver le monde…En l'état des technologies actuelles, la seule solution envisageable reste donc de dévier la course de l' première possibilité serait de poser directement un vaisseau sur l'astéroïde, puis d'allumer les moteurs et de fournir une poussée suffisante pour modifier sa trajectoire. Seulement, comme le précisent Edward Lu et Stanley Love, l'impulsion nécessaire pour le rendez-vous et la déviation de l'astéroïde dépasserait largement celles des fusées chimiques traditionnelles. De plus, un système d'ancrage serait nécessaire pour fixer le vaisseau à l'astéroïde, et le problème de la composition géologique exacte du lieu de l'atterrissage se poserait à nouveau. Sans oublier que, la plupart des astéroïdes tournant sur eux-mêmes, le vecteur de la poussée fournie par le vaisseau devrait être réévalué en deux astronautes de la fondation B612 proposent quant à eux une solution originale, qui consisterait à utiliser un remorqueur gravitationnel », qui n'entrerait pas en contact avec l'astéroïde mais se placerait en vol stationnaire au dessus de lui, tout en utilisant la force gravitationnelle pour le treuiller et dévier sa remorqueur gravitationnel le salut ?Les deux astronautes qui ont imaginé ce projet sont membres de la fondation B612, qui fait du lobbying auprès de la NASA pour mettre en place un dispositif de déviation des astéroïdes. Ils souhaiteraient tester l'efficacité de leur premier remorqueur gravitationnel » sur l'astéroïde Apophis de 320 mètres de diamètre qui, en 2029, passera à 30 000 kilomètres de la planète bleue. Nous suggérons d'utiliser un vaisseau qui planerait simplement à proximité de l'astéroïde. Ce vaisseau spatial le remorquerait sans ancrage, en utilisant la gravité comme un câble de treuillage.» Cette méthode ne serait pas sensible aux propriétés physiques de la surface, ni à la structure interne et à la rotation de l'astéroïde. Le vaisseau aurait seulement besoin de rester en vol stationnaire, dans la direction du remorquage, tandis que l'astéroïde tournerait en dessous de lui. »Les deux astronautes pensent que le vaisseau pourrait trouver une position stable en attitude NDLR direction des axes d'un engin spatial par rapport à un trièdre de référence, à la manière d'un pendule, en tournant ses parties les plus lourdes vers l'astéroïde, et ses moteurs vers l' leurs calculs, un vaisseau de 20 tonnes placé pendant un an au dessus d'un astéroïde de 200 mètres de diamètre pourrait le dévier de sa course pour au moins 20 construire le premier remorqueur gravitationnel », Edward Lu suggère que la NASA relance son programme de moteurs nucléoélectriques, gelé depuis peu par l'agence spatiale américaine. D'après ses calculs, un moteur ionique de 100 kW serait approprié à une telle mission. Si le projet est ambitieux, la NASA n'a toujours pas fourni de réponse officielle aux récentes relances de la fondation B612. Pour l'heure, il s'agit donc d'un sujet à suivre...Intéressé par ce que vous venez de lire ?
LaNASA est formelle, un nouvel astéroïde va passer à proximité de notre planète le 5 mars prochain.Rassurez cependant car il ne devrait pas entrer en collision avec notre planète. Pas d
L'astronomie multimessager permet d'étudier des phénomènes astrophysiques, notamment en combinant l'observation de photons à diverses longueurs d'onde avec le spectre des particules chargées à haute énergie arrivant aux frontières de l'atmosphère terrestre. Certaines de ces particules chargées sont des protons et il est de plus en plus clairement établi que ces rayons cosmiques sont accélérés par des explosions de vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Un pulsar veuve noire » dévore sa compagne Lorsque l’on parle d’araignées, les veuves noires sont celles qui dévorent leurs compagnons après l’accouplement. Et des astronomes ont observé des comportements similaires dans le ciel. Lorsqu’un pulsar et une étoile de faible masse forment un système binaire. Face aux rayonnements émis par le pulsar, l’étoile n’a que peu de chances de survivre bien longtemps. en anglais © Nasa Goddard Comme on peut s'en rendre compte à la lecture du précédent article de Futura ci-dessous, cela fait un siècle que la noosphère a découvert l'existence des rayons cosmiques. Cela a permis de faire progresser notre connaissance des particules élémentaires et au passage de démontrer l'existence de l'antimatière avant que les particules exotiques, et à l'existence fugace mise en évidence dans les rayons cosmiques, ne soient fabriquées par des collisions de particules à des énergies de plus en plus des rayons cosmiques se poursuit, déjà parce que certaines des particules présentes ont été accélérées à des énergies impossibles à atteindre même avec de nos jours le LHC, mais aussi parce qu'elles nous renseignent sur des phénomènes astrophysiques. L'étude des neutrinos cosmiques, par exemple, peut nous aider à comprendre les noyaux actifs de galaxies, alimentés en énergie par des trous noirs supermassifs en rotation accrétant de la il y a un hic, comme l'expliquait déjà Futura. Les rayons cosmiques sont très majoritairement des particules chargées, ce qui veut dire que dans les champs magnétiques turbulents à l'intérieur des galaxies elles sont déviées par ces champs et s'y déplacent en effectuant un mouvement brownien et donc stochastique. En clair, la direction dont semble provenir sur la voûte céleste un proton très énergétique, créant une gerbe de particules secondaires en entrant en collision avec un noyau de la haute atmosphère, peut ne rien avoir à faire avec son lieu d'origine sur la même voûte les astrophysiciens sont malins et ils se sont dotés d'un outil et d'une stratégie leur permettant de remonter à l'origine de certains de ces protons à haute énergie dans la Voie lactée. Ils viennent de publier à ce sujet un article dont on peut trouver une version en accès libre sur arXiv. Les PeVatrons à l'origine de certains rayons cosmiques seraient bien des supernovae. Pour obtenir une traduction en français assez fidèle, cliquez sur le rectangle blanc en bas à droite. Les sous-titres en anglais devraient alors apparaître. Cliquez ensuite sur l'écrou à droite du rectangle, puis sur Sous-titres » et enfin sur Traduire automatiquement ». Choisissez Français ». © Nasa’s Goddard Space Flight CenterDes protons plus de 100 fois plus énergétiques qu'au LHCCet outil, c'est le télescope gamma dans l'espace de la Nasa baptisé Fermi, en l'honneur du célèbre physicien italien qui a proposé le premier des mécanismes d'accélération des rayons cosmiques, mécanismes que l'on trouve associés aux ondes de choc des explosions de supernovae dans le milieu y a quelques années, comme l'expliquait en détail l'article de Futura ci-dessous, les observations de Fermi concernant des restes de supernovae avaient déjà permis de conforter l'existence des mécanismes avancés pour les protons cosmiques, qui sont d'ailleurs la composante majeure des rayons cosmiques, même si on peut trouver des positrons et des les astrophysiciens expliquent donc qu'ils ont mis à contribution de façon similaire environ 12 ans de mesures du flux gamma par Fermi concernant un reste de supernova et que ces mesures confirmaient qu'au moins ce reste-là était bien un accélérateur de protons permettant de leur donner des énergies au moins égales au PeV, c'est-à-dire au moins 100 fois l'énergie d'un proton accéléré dans le reste de supernova, nommé est donc un authentique PeVatrons et il se trouve dans la constellation de Céphée, une constellation circumpolaire de l'hémisphère nord, à environ années-lumière du Système solaire. Il contient en son cœur un pulsar dénommé J2229+6114 dont on a toutes les raisons de penser que comme tous les autres pulsars, il est une étoile à neutrons laissée par l'explosion d'une étoile à l'origine du reste de supernova .Les chercheurs ont établi le spectre en énergie des photons gamma entre 100 GeV et 100 TeV en étudiant les données collectées par Fermi. Ce spectre n'est pas compatible avec celui de photons gamma qui seraient majoritairement produits par des électrons de hautes énergies entrant en collision avec des photons du rayonnement fossile en leur cédant une partie de son énergie selon un effet Compton inverse on sait que les pulsars sont des accélérateurs d'électrons et de positrons. S'il s'agissait d'électrons, cela entrerait en contradiction avec la forme du spectre dans le domaine radio et X associé à il y a quelques années, on aboutit donc à la conclusion que les photons gamma observés par Fermi proviennent de la désintégration de mésons π neutres, mésons π produits par des collisions faisant intervenir des protons à des énergies pouvant atteindre et dépasser le des rayons cosmiques Fermi confirme la piste des supernovaeArticle de Laurrent Sacco, publié le 18/02/2013On le suppose depuis des décennies au moins une partie des rayons cosmiques provient de mécanismes d'accélération des protons dans les restes de supernovae. Après des années d'observations dans le domaine des rayons gamma avec le télescope Fermi, les astrophysiciens viennent de confirmer l'existence de protons accélérés à de grandes vitesses dans deux restes de supernovae, IC 443 et 1912, le physicien autrichien Victor Franz Hess découvre l'existence des rayons cosmiques. À l'aide d'expériences réalisées en ballon, il constate que le taux d'ions présents dans l'atmosphère augmente avec l'altitude alors que l'on imaginait jusque-là l'inverse, puisque c'est la croûte terrestre qui abrite les éléments radioactifs. Ces mesures en altitude démontrent donc qu'il existe un rayonnement ionisant en provenance de l'espace et frappant les hautes couches de l' les décennies qui suivirent, l'étude des rayons cosmiques permit de découvrir de nouvelles particules élémentaires, comme les pions et les muons, avant que l'on ne construise après la seconde guerre mondiale des accélérateurs suffisamment puissants pour les produire directement en doit exister des accélérateurs à particules dans l'espaceLa question de l'origine de ces rayons s'est bien sûr posée et, dès 1949, le grand physicien Enrico Fermi a proposé des mécanismes d'accélération des particules chargées dans des nuages interstellaires magnétisés. Par la suite, on a généralement admis que les rayons cosmiques doivent probablement leur existence aux explosions de supernovae et que les mécanismes de Fermi, rassemblés sous le nom d'accélération de Fermi, doivent être à l'œuvre dans les restes de supernovae. En gros, des passages successifs des particules chargées à travers le front de l'onde de choc causée par l'explosion d'une supernova, en raison de mouvements browniens, peuvent parfois conduire à une nette accélération pour certaines d'entre ces hypothèses sont difficiles à tester. Les rayons cosmiques sont constitués à 90 % de protons, le reste étant des électrons et des noyaux. Ils subissent l'effet des champs magnétiques parfois turbulents lors de leurs déplacements dans la Voie lactée, ce qui a pour effet de rendre leurs trajectoires très complexes, un peu comme celle, là aussi, d'une particule suivant un mouvement brownien. Il est donc difficile d'associer une source précise sur la voûte céleste à des gerbes de particules secondaires, produites par des rayons cosmiques heurtant des noyaux de la haute restes de supernovae sous l'œil gamma de FermiUn article récemment publié sur arxiv par les membres de la collaboration Fermi, utilisant le télescope gamma portant le nom du grand physicien italien, vient pourtant d'apporter une contribution significative à l'élucidation de l'énigme de l'origine des rayons cosmiques. Pour cela, les chercheurs ont mis à profit le fait que les rayons gamma ne sont pas déviés par les champs magnétiques galactiques. En conséquence de quoi ils ont observé, sur une période de 4 ans, deux restes de supernovae, IC 443 et vidéo explique pourquoi les observations de Fermi aident à percer le mystère de l'origine des rayons cosmiques. Pour obtenir une traduction en français assez fidèle, cliquez sur le rectangle avec deux barres horizontales en bas à droite. Les sous-titres en anglais devraient alors apparaître, si ce n'est pas déjà le cas. En passant simplement la souris sur le rectangle, vous devriez voir l'expression Traduire les sous-titres ». Cliquez pour faire apparaître le menu du choix de la langue, choisissez français », puis cliquez sur OK ». © Nasa ExplorerLes ondes de choc associées aux explosions des deux supernovae ayant produit ces restes se propagent dans des nuages moléculaires froids. Il en résulte que des rayons gamma sont émis par ces nuages, visiblement bombardés par des particules énergétiques en provenance des restes de supernovae. Mais, problème, a priori, électrons et protons peuvent tous deux être responsables de ces émissions gamma. Si elles sont dues à des électrons accélérés alors il ne faut pas chercher dans les restes de supernova les accélérateurs naturels de protons, lesquels constituent 90 % des rayons cosmique comme on l'a test de la désintégration gamma des pionsIl y a toutefois un moyen de départager les hypothèses. Si les protons sont bien à l'origine des émissions gamma, une partie de leur spectre doit être légèrement différente de celui que causeraient des électrons. La raison en est que les protons suffisamment énergétiques, lors de chocs avec des noyaux, produisent des pions neutres qui se désintègrent en photons gamma, alors que des électrons très rapides émettent directement ces photons. Les mesures précises réalisées avec Fermi ont fini par montrer que la trace des pions produisant les émissions gamma était bel et bien là. Les protons accélérés à de très grandes vitesses dans les restes de supernovae sont bien responsables du rayonnement gamma thèse expliquant l'origine d'au moins une partie non négligeable des rayons cosmiques par des explosions de supernovae en sort donc très renforcée. L'énigme n'est malgré tout pas complètement résolue car il existe des rayons cosmiques à très hautes énergies qui ne peuvent pas s'expliquer en invoquant des restes de supernovae. On a tenté de faire intervenir des trous noirs supermassifs au cœur des galaxies, mais cette explication reste à ce jour par ce que vous venez de lire ?
Lastéroïde 2019 RG2 est passé aux alentours de 21h13 le même jour. Il se trouvait à environ 0,0035 unité astronomique de notre planète, soit un peu plus de 523 000 kilomètres. Il mesure
99942 Apophis, du nom du Dieu du Chaos » dans la mythologie égyptienne, est un astéroïde de 340 mètres de large, qui devrait frôler » la Terre d'ici le mois d'avril 2029. Apophis faisait déjà parler de lui il y a maintenant 15 ans, et à lire les médias ces dernières heures, ce n'est pas près de s'arrêter. En cause ? Une hypothétique collision avec la Terre, en 2029... Sauf que selon les calculs des scientifiques de la NASA, la probabilité de cette rencontre est nulle. Visuel de la NASA montrant la trajectoire de l'astéroïde Apophis, en 2036 © NASA Frôler » la terre à 31 000 km de distanceEn 2029, l'astéroïde Apophis devrait frôler » la Terre à quelques 31 000 km de distance, un événement rare qui, cette fois, a été remis en lumière par Elon Musk, au travers d'un tweet le 18 name! Wouldn't worry about this particular one, but a big rock will hit Earth eventually & we currently have no defense. Elon Musk elonmusk August 18, 2019 Voilà donc ce qui a suffi à relancer les rumeurs quant à une éventuelle collision avec la Terre. Avis aux superstitieux, le passage d'Apophis devrait avoir lieu un vendredi 13 avril. Pour autant, inutile d'invoquer la chance, puisque la probabilité d'une collision est nulle. Pour évaluer cela, les scientifiques ont utilisé l'échelle de Turin, outil de mesure permettant de définir le risque d'impact entre la Terre et un objet dit géocroiseur. Les rumeurs, elles, semblent provenir du fait que, lors de la découverte d'Apophis en 2004, les scientifiques de la NASA avaient déterminé que l'astéroïde avait 1% de chance d'entrer en collision avec la Terre niveau 4 de l'échelle de Turin, entraînant de possibles destructions. Or, leurs calculs ont désormais, ramené le risque d'impact au niveau zéro de l'échelle de Turin il est donc plus qu'improbable qu'Apophis n'entre en collision avec la les scientifiques de la NASA, c'est une chance plus qu'une inquiétudeAmarina Brozovic, scientifique spécialiste radar pour la NASA, est ravie de ce phénomène rare qui se produira dans dix ans. Un fait qu'elle semble d'ailleurs pressée d'analyser Nous observerons l'astéroïde avec des télescopes optiques et des radars ». Il reste ainsi plusieurs années aux équipes de la NASA pour mettre en place tous les moyens nécessaires à l'observation approfondie de l'astéroïde. Apophis est un phénomène rare, de par sa taille, conséquente, et sa proximité avec la Terre, qu'il va frôler », à seulement 31 000 km. Il sera d'ailleurs visible à l'œil nu. Pour les chercheurs de la NASA, notamment, Apophis va permettre d'étendre le champ des connaissances en astronomie mais aussi d'étudier, de manière plus précise, des moyens de prévention et de défense en cas de réelle menace d'impact avec un astéroïde, dans le chercheurs travaillent à la défense face aux astéroïdesLes moyens de défense face à de possibles astéroïdes dangereux sont d'ores et déjà le terrain de recherche de nombreux scientifiques parmi les stratégies actuellement étudiées, on trouve l'impact cinétique. Cette méthode consisterait à envoyer des engins spatiaux, à une vitesse très importante, afin de percuter l'astéroïde et dévier sa trajectoire. Aussi improbable puisse-t-il paraître, l'impact cinétique est, pour l'heure, la piste la plus sérieuse développée par les chercheurs elle constitue d'ailleurs le cœur de la mission DART, qui devrait être testée en 2022. L'utilisation d'une bombe nucléaire est aussi régulièrement évoquée, mais cette méthode manque encore de précision. En effet, faire exploser un astéroïde c'est aussi risquer de rater sa destruction et de le disloquer en une pluie de roches, qui seraient alors possiblement projetées sur la Terre. Aussi, selon les études en cours, il convient plutôt de faire exploser une bombe à plusieurs centaines de mètres de l'astéroïde, afin de dévier sa trajectoire. Néanmoins, la NASA a encore le temps de mettre au point ses stratégies et ses outils, car selon ses propos, et à moins qu'elle n'ait omis des éléments dans ses recherches aucun astéroïde connu ne pose de risque significatif d'impact avec la Terre pour les 100 prochaines années ». Ajoutons à cela que le plus grand risque d'impact dangereux actuellement connu aurait lieu en 2185 ! Source , NASA
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