RĂ©gimediet, beaucoup d’aliments crus. Les scientifiques observent que le fait de privilĂ©gier une alimentation Ă  base de fruits et lĂ©gumes est vraiment bĂ©nĂ©fique pour la santĂ©.
THEME 1 POURQUOI NOUS AVONS BESOIN DE BIEN MANGER NOTES SUR LA NUTRITION De bons repasPrendre de bons repas, en particulier avec la famille et les amis, est un des plaisirs de la vie. Nous savons tous que les personnes dont le rĂ©gime alimentaire est sain et Ă©quilibrĂ© ont toutes les chances d'avoir beaucoup d'Ă©nergie pour travailler et profiter de la vie; moins d'infections et d'autres maladies. Les enfants qui mangent bien ont en gĂ©nĂ©ral une bonne croissance, et normalement les femmes qui mangent bien ont des bĂ©bĂ©s en bonne santĂ©. C'est pourquoi il est important de savoir quelles associations d'aliments constituent de bons repas et quels sont les besoins alimentaires particuliers des diffĂ©rents membres de la famille. Les aliments et les nutriments Les aliments fournissent des nutriments qui nous permettent de grandir, d'ĂȘtre actifs et en bonne santĂ© Un aliment fournit des nutriments, c'est-Ă -dire des substances qui procurent des calories pour l'activitĂ©, la croissance et toutes les fonctions de l'organisme, telles que la respiration, la digestion et le maintien de la tempĂ©rature; des Ă©lĂ©ments pour la croissance et l'entretien de l'organisme, et pour le maintien d'un bon systĂšme immunitaire. Il existe de nombreux nutriments diffĂ©rents. On les divise en deux catĂ©gories Les macro gros nutriments, dont nous avons besoin en grandes quantitĂ©s. Ce sont les glucides amidons, sucres et fibres alimentaires; les lipides, dont il existe plusieurs sortes voir l'encadrĂ© 4; les protĂ©ines, qui comptent des centaines de types diffĂ©rents. Les micro petits nutriments, dont nous avons besoin en faibles quantitĂ©s. Il existe beaucoup de micronutriments, mais ceux qui risquent le plus d'ĂȘtre insuffisants dans le rĂ©gime alimentaire sont les minĂ©raux, tels que le fer voir l'encadrĂ© 6 Ă  la page 24, l'iode et le zinc; les vitamines, comme la vitamine A, les vitamines du groupe B entre autres le folate et la vitamine C. ENCADRÉ 4 LIPIDES, ACIDES GRAS ET CHOLESTÉROL Les graisses et les huiles constituent une source concentrĂ©e d'Ă©nergie et d'acides gras essentiels nĂ©cessaires Ă  la croissance et Ă  la santĂ©. Elles favorisent l'absorption de certaines vitamines, par exemple la vitamine A, et rendent les repas plus savoureux. Certains aliments gras/huileux renferment des vitamines importantes. Les graisses et les huiles contiennent diffĂ©rents nutriments lipidiques», entre autres les acides gras insaturĂ©s, les acides gras saturĂ©s, les acides gras trans et le cholestĂ©rol. Les acides gras insaturĂ©s Parmi les acides gras insaturĂ©s, deux sont appelĂ©s acides gras essentiels» parce que l'organisme ne peut pas les fabriquer. Ils sont nĂ©cessaires Ă  l'Ă©laboration des cellules, en particulier celles du cerveau et du systĂšme nerveux. Les acides gras insaturĂ©s contiennent un groupe d'acides appelĂ©s acides gras omĂ©ga-3», qui contribuent Ă  protĂ©ger l'organisme des maladies de cƓur. Les aliments qui contiennent principalement des acides gras insaturĂ©s sont par exemple la plupart des huiles vĂ©gĂ©tales, les arachides, le soja, les graines de tournesol, les graines de sĂ©same et autres graines olĂ©agineuses, les poissons gras et les avocats. Les aliments riches en acides gras omĂ©ga-3 sont les poissons de mer gras et certaines graines et lĂ©gumineuses, telles que les graines de lin et le soja. Les acides gras saturĂ©s Les aliments qui contiennent essentiellement des acides gras saturĂ©s sont par exemple le beurre, le ghee, le saindoux/la graisse de cuisine, le lait entier, le fromage, le gras de la viande ou des produits carnĂ©s saucisses, par exemple et de la volaille, l'huile de palme rouge et la noix de coco. Les acides gras trans Quand on fait subir un traitement aux huiles vĂ©gĂ©tales pour les rendre plus compactes par exemple pour les utiliser dans la margarine ou autres matiĂšres grasses solides, certains acides gras insaturĂ©s sont transformĂ©s en acides gras trans. Ces derniers se comportent comme des acides gras saturĂ©s. Nous devrions consommer le moins possible d'aliments contenant des acides gras trans. Les aliments qui contiennent des acides gras trans sont par exemple la margarine et le saindoux graisse de cuisine, les aliments frits tels que les pommes de terre frites et autres fritures, les aliments frits du commerce comme les beignets, ainsi que les aliments rĂŽtis, les biscuits, les gĂąteaux et les crĂšmes glacĂ©es. Le cholestĂ©rol Le cholestĂ©rol ne se trouve que dans les aliments d'origine animale, mais l'organisme peut le fabriquer Ă  partir d'autres nutriments lipidiques. Nous avons besoin de cholestĂ©rol pour que notre organisme se dĂ©veloppe et fonctionne bien. Il existe deux sortes de cholestĂ©rol dans le sang le bon» cholestĂ©rol et le mauvais» cholestĂ©rol. Un taux Ă©levĂ© de bon cholestĂ©rol lipoprotĂ©ine Ă  forte densitĂ© semble rĂ©duire le risque de maladies de cƓur. La consommation d'aliments contenant essentiellement des acides gras insaturĂ©s tend Ă  accroĂźtre le taux de bon cholestĂ©rol. Un taux Ă©levĂ© de mauvais cholestĂ©rol lipoprotĂ©ine Ă  faible densitĂ© semble accroĂźtre le risque de maladies de cƓur. La consommation d'aliments contenant essentiellement des graisses saturĂ©es tend Ă  accroĂźtre le taux de mauvais cholestĂ©rol. Les besoins en lipides Les besoins en lipides sont exprimĂ©s en pourcentage des besoins Ă©nergĂ©tiques totaux» voir le tableau 4 Ă  l'annexe 2. Le pourcentage de l'Ă©nergie totale qui devrait provenir des matiĂšres grasses dans un rĂ©gime alimentaire sain et Ă©quilibrĂ© est le suivant de 30 Ă  40 pour cent pour les enfants qui reçoivent une alimentation complĂ©mentaire et jusqu'Ă  l'Ăąge de deux ans; de 15 Ă  30 pour cent pour les enfants plus ĂągĂ©s et la plupart des adultes; un taux maximal de 35 pour cent est acceptable pour des adultes actifs; au moins 20 pour cent et jusqu'Ă  30 pour cent pour des femmes en Ăąge de procrĂ©er de 15 Ă  45 ans. Autrement dit, le rĂ©gime alimentaire d'une femme en Ăąge de procrĂ©er, qui a besoin d'environ 2 400 kcal par jour, devrait contenir entre 480 et 720 kcal provenant de matiĂšres grasses ou d'huile, soit l'Ă©quivalent de 53 Ă  80 g d'huile pure entre 11 et 16 cuillerĂ©es Ă  cafĂ©. Les graisses prĂ©sentes dans un repas n'ont pas toutes Ă©tĂ© ajoutĂ©es lors de la prĂ©paration de ce repas; une partie d'entre elles est cachĂ©e dans des aliments tels que la viande, le lait, les arachides, les graines olĂ©agineuses et les aliments frits. Les lipides et la santĂ© Il est recommandĂ© que moins d'un tiers des lipides prĂ©sents dans le rĂ©gime alimentaire le soit sous forme d'acides gras saturĂ©s. L'huile de palme rouge et les noix/l'huile de coco sont riches en acides gras saturĂ©s. Cependant, Ă  l'inverse d'autres aliments de ce type, elles ne semblent pas augmenter le risque de maladies coronariennes. Par exemple, une consommation raisonnable de noix de coco semble ĂȘtre acceptable, Ă  condition que l'on mange le moins possible d'autres aliments ayant une forte teneur en acides gras saturĂ©s. C'est notamment le cas lorsque le mode de vie dans son ensemble diminue le risque de maladies de cƓur. Un tel mode de vie peut comporter, par exemple, une activitĂ© physique assez intense, une consommation importante de poisson, de lĂ©gumes et de racines et tubercules, peu de sel, et peu ou pas de tabac et d'alcool. L'huile de palme rouge est Ă©galement une bonne source d'autres nutriments importants, tels que la vitamine A et la vitamine E. Dans l'idĂ©al, les acides gras trans devraient fournir moins de 1 pour cent de l'apport Ă©nergĂ©tique total ou pas plus de 2 g pour la plupart des adultes. Pour de nombreuses familles, cela signifie qu'elles devraient consommer, chaque fois que possible, davantage d'aliments riches en acides gras insaturĂ©s par exemple, des aliments d'origine vĂ©gĂ©tale et des poissons de mer gras, moins d'aliments Ă  forte teneur en acides gras saturĂ©s et beaucoup moins d'aliments Ă  forte teneur en acides gras trans. Les aliments riches en acides gras insaturĂ©s sont meilleurs pour le cƓur que les aliments Ă  forte teneur en acides gras saturĂ©s ou en acides gras trans Notre organisme utilise divers nutriments de façons diffĂ©rentes, comme l'indique l'encadrĂ© 5. ENCADRÉ 5 RÔLES IMPORTANTS DE CERTAINS NUTRIMENTS Nutriments RĂŽle principal dans l'organisme Macronutriments Glucides - amidon et sucres Fournir l'Ă©nergie nĂ©cessaire Ă  la respiration et la vie, Ă  la mobilitĂ© et la chaleur, et Ă  l'Ă©laboration et rĂ©paration des tissus. Une certaine quantitĂ© d'amidon et de sucres se transforme en tissus adipeux. Glucides - fibres alimentaires Ramollir les matiĂšres fĂ©cales et en augmenter le volume. Les fibres absorbent les substances nocives, ce qui contribue Ă  garder l'intestin en bon Ă©tat. Elles ralentissent la digestion et l'absorption des nutriments dans les repas, et contribuent Ă  prĂ©venir l'obĂ©sitĂ©. Lipides Constituer une source concentrĂ©e d'Ă©nergie et d'acides gras nĂ©cessaires Ă  la croissance et la santĂ©. Les lipides favorisent l'absorption de certaines vitamines, telles que la vitamine A. ProtĂ©ines Fabriquer les cellules, les liquides de l'organisme, les anticorps et autres parties du systĂšme immunitaire. Les protĂ©ines servent parfois Ă  fournir de l'Ă©nergie. Eau Constituer les liquides, comme les larmes, la sueur et l'urine, et permettre aux processus chimiques de se produire dans l'organisme. Micronutriments Fer Fabriquer l'hĂ©moglobine, c'est-Ă -dire la protĂ©ine des globules rouges qui apporte l'oxygĂšne aux tissus. Permettre aux muscles et au cerveau de bien fonctionner. Iode Fabriquer les hormones de la thyroĂŻde qui aident Ă  contrĂŽler la façon dont l'organisme fonctionne. L'iode est indispensable au dĂ©veloppement du cerveau et du systĂšme nerveux chez le fƓtus. Zinc Favoriser la croissance et un dĂ©veloppement normal, la reproduction et un bon fonctionnement du systĂšme immunitaire. Vitamine A PrĂ©venir les infections et garantir le bon fonctionnement du systĂšme immunitaire. Maintenir en bon Ă©tat la peau, les yeux et la paroi de l'intestin et des poumons. Favoriser la vision quand la lumiĂšre est faible. Vitamines du groupe B Aider l'organisme Ă  utiliser les macronutriments pour l'Ă©nergie et Ă  d'autres fins. Aider le systĂšme nerveux Ă  bien fonctionner. Folate Renforcer les globules rouges et empĂȘcher les malformations du fƓtus. Vitamine C Aider Ă  l'absorption de certaines formes de fer voir l'encadrĂ© 6. DĂ©truire les molĂ©cules dangereuses les radicaux libres dans l'organisme. Aider Ă  la guĂ©rison des plaies. ENCADRÉ 6 L'ABSORPTION DU FER Le fer qui provient de la viande, du foie et autres abats, de la volaille, du poisson et du lait maternel est bien absorbĂ© dans l'intestin. Le fer provenant des autres types de lait, des Ɠufs, et des aliments d'origine vĂ©gĂ©tale quels qu'ils soient, est mal absorbĂ©, mais les autres aliments consommĂ©s en mĂȘme temps influent sur l'absorption de ce type de fer. La viande, le poisson et les aliments riches en vitamine C fruits et lĂ©gumes frais augmentent l'absorption de ce type de fer, de sorte que davantage de fer est absorbĂ©. Certains aliments comme les grains entiers de cĂ©rĂ©ales, ou boissons comme le thĂ© ou le cafĂ©, contiennent des antinutriments» par exemple du phytate qui diminuent l'absorption de ce type de fer. La meilleure façon d'ĂȘtre sĂ»rs que nous recevons assez de chaque nutriment et assez de calories est de consommer des aliments variĂ©s. Le thĂšme 3 explique comment associer les aliments pour obtenir de bons repas. L'annexe 1 Ă©numĂšre les sources de chaque nutriment voir les tableaux 1 et 3 et la composition nutritionnelle de diffĂ©rents aliments voir le tableau 2. Les diffĂ©rents types d'aliments Des aliments de types diffĂ©rents contiennent des associations diffĂ©rentes de nutriments Les aliments de base. Ils sont gĂ©nĂ©ralement peu coĂ»teux et fournissent beaucoup d'amidon pour l'Ă©nergie, des protĂ©ines, des micronutriments en particulier certaines vitamines du groupe B et des fibres alimentaires. Entourez d'un cercle les aliments de base utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. CÉRÉALES RACINES ET FRUITS AMYLACÉS MAÏS/FARINE DE MAÏS POMME DE TERRE MIL PATATE DOUCE SORGHO IGNAME FARINE DE BLÉ MANIOC FRAIS RIZ FARINE DE MANIOC PLANTAIN Les lĂ©gumineuses et les graines olĂ©agineuses. Les lĂ©gumineuses sont de bonnes sources de protĂ©ines et elles contiennent des micronutriments et des fibres alimentaires. Les lĂ©gumineuses Ă  forte teneur en graisse et les graines olĂ©agineuses fournissent des lipides. Entourez d'un cercle les lĂ©gumineuses et les graines olĂ©agineuses utilisĂ©es dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. LÉGUMINEUSES À FAIBLE TENEUR EN GRAISSE LÉGUMINEUSES À FORTE TENEUR EN GRAISSE ET GRAINES OLÉAGINEUSES NIÉBÉ ARACHIDE POIS PIGEON SOJA HARICOT COMMUN GRAINE DE CITROUILLE LENTILLE GRAINE DE TOURNESOL POIS CHICHE SÉSAME GRAINE DE MELON Le lait. Le lait maternel peut fournir tous les nutriments nĂ©cessaires pendant les six premiers mois de la vie et une proportion utile des nutriments nĂ©cessaires jusqu'Ă  l'Ăąge de 2 ans au moins. Le lait d'origine animale et les produits laitiers, tels que la caillebotte, le yoghourt et le fromage, sont d'excellentes sources de protĂ©ines, de lipides et de nombreux micronutriments, comme le calcium mais pas le fer. Les Ɠufs. Ils constituent une bonne source de protĂ©ines et de lipides, et fournissent plusieurs micronutriments. La viande, la volaille, le poisson et les abats provenant de ces derniers. Ils reprĂ©sentent d'excellentes sources de protĂ©ines et souvent de lipides. Ils fournissent d'importantes quantitĂ©s de fer en particulier la viande rouge et les abats rouges et de zinc, et beaucoup d'autres micronutriments, notamment des vitamines du groupe B. Le foie, de tous types, est trĂšs riche en fer et en vitamine A. Les meilleures sources de fer sont la viande, les abats, la volaille et le poisson Entourez d'un cercle les produits d'origine animale utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. LAIT ET ƒUFS VIANDE, ABATS, VOLAILLE ET POISSON LAIT DE VACHE FRAIS BƒUF LAIT DE CHÈVRE FRAIS CHÈVRE CAILLEBOTTE MOUTON YOGHOURT PORC FROMAGE FOIE AUTRES ABATS ƒUFS POULET POISSON FRAIS POISSON SÉCHÉ POISSON EN CONSERVE Les huiles et les graisses. Il s'agit de sources concentrĂ©es d'Ă©nergie. Par exemple, une cuillerĂ©e d'huile de cuisson contient deux fois plus de calories qu'une cuillerĂ©e d'amidon ou une cuillerĂ©e de sucre. Les matiĂšres grasses contiennent des acides gras, dont certains sont nĂ©cessaires Ă  la croissance. Outre les matiĂšres grasses pures» par exemple le beurre et les huiles pures» par exemple l'huile de maĂŻs, les autres bonnes sources de lipides sont les olĂ©agineux, le fromage, la viande grasse et les poissons gras, les avocats et les aliments frits. L'huile de palme rouge est une bonne source de vitamine A. Le sucre. Il ne donne que des calories et n'apporte aucun autre nutriment. Il sert Ă  rendre les aliments plus savoureux et Ă  amĂ©liorer l'appĂ©tit, par exemple pendant la maladie. Cependant, si l'on mange trop souvent des aliments sucrĂ©s, cela peut nuire Ă  la santĂ© pour plusieurs raisons. Les friandises, les aliments qui collent aux dents, ou les collations et pĂątisseries prĂ©parĂ©es avec beaucoup de sucre, de miel ou de sirop, sont mauvais pour les dents quand on en mange trop souvent. De nombreux aliments sucrĂ©s contiennent aussi beaucoup de matiĂšres grasses, ce qui accroĂźt le risque de trop manger» pour les personnes qui devraient limiter leur apport Ă©nergĂ©tique. Les personnes qui mangent souvent des aliments sucrĂ©s ou qui consomment beaucoup de boissons sucrĂ©es, par exemple des sodas boissons pĂ©tillantes en bouteille, ont plus de probabilitĂ©s d'avoir un poids excessif et du diabĂšte. Bien souvent aussi, ces personnes-lĂ  mangent moins des autres aliments plus nutritifs. Il y a beaucoup de sucre dans les bonbons, les sodas, la confiture, les gĂąteaux et les biscuits. Il est mauvais pour les dents de consommer trop d'aliments sucrĂ©s et qui collent Quand on mange trop d'aliments sucrĂ©s, on consomme souvent une plus faible quantitĂ© des autres aliments plus nutritifs Entourez d'un cercle les matiĂšres grasses, les huiles et les sucres utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. MATIÈRES GRASSES HUILES SUCRES BEURRE HUILE DE COCO SUCRE DE TABLE MARGARINE HUILE DE TOURNESOL MIEL GRAS DE VIANDE HUILE D'ARACHIDE CONFITURE GHEE HUILE DE PALME ROUGE SUCRE DE CANNE HUILE DE MAÏS Les lĂ©gumes et les fruits. Ce sont d'importantes sources de micronutriments et de fibres alimentaires, mais leur quantitĂ© varie selon le type de lĂ©gume et de fruit. Les lĂ©gumes orangĂ©s, tels que la patate douce orangĂ©e et les carottes, ainsi que les fruits orangĂ©s, comme la mangue et la papaye, Ă  l'exception des agrumes oranges et citrons, par exemple, sont d'excellentes sources de vitamine A. La plupart des fruits et lĂ©gumes frais pas trop cuits fournissent de la vitamine C. Les lĂ©gumes Ă  feuilles vert foncĂ© apporte Ă  l'organisme du folate et un peu de vitamine A. Beaucoup de lĂ©gumes par exemple, tomates et oignons fournissent d'autres micronutriments importants, qui peuvent protĂ©ger contre certaines maladies chroniques, comme les maladies de cƓur. La meilleure façon d'ĂȘtre sĂ»rs que nous obtenons assez de chaque nutriment et assez de fibres est de manger tous les jours diverses sortes de lĂ©gumes et de fruits. Entourez d'un cercle les lĂ©gumes et les fruits utilisĂ©s dans la rĂ©gion et ajoutez-en d'autres Ă  la liste. LÉGUMES FRUITS TOMATE MANGUE CITROUILLE PAPAYE CAROTTE FRUIT DE LA PASSION ÉPINARD ORANGE AUTRES LÉGUMES FEUILLUS ANANAS PATATE DOUCE ORANGÉE BANANE POIVRON DOUX DATE AUBERGINE GOMBO Les condiments. Tout le monde utilise du sel pour cuisiner, et le sel est prĂ©sent dans beaucoup d'aliments transformĂ©s. Un excĂšs de sel est mauvais pour la santĂ© et peut donner de l'hypertension. Le sel iodĂ© est une source importante d'iode. Les plantes aromatiques, les Ă©pices, l'ail et les oignons sont d'autres condiments qui permettent de rendre les repas savoureux. L'eau. Nous avons besoin d'environ huit verres d'eau par jour, et davantage si nous transpirons ou avons de la fiĂšvre ou la diarrhĂ©e. En plus de l'eau que nous buvons, nous obtenons de l'eau en buvant du thĂ©, du cafĂ© ou des jus de fruits et en mangeant du potage, des fruits et des lĂ©gumes. Les besoins alimentaires de la familleLa quantitĂ© des diffĂ©rents nutriments dont une personne a besoin varie selon l'Ăąge, le sexe et l'activitĂ©, ainsi que de facteurs tels que la menstruation, la grossesse ou l'allaitement au sein. Les besoins varient Ă©galement pendant la maladie et la convalescence. Les besoins nutritionnels des diffĂ©rents membres de la famille sont Ă©numĂ©rĂ©s au tableau 4 Ă  l'annexe 2, et examinĂ©s dans le thĂšme 3 et les thĂšmes 5 Ă  10. METTRE EN COMMUN CES INFORMATIONS Avant d'Ă©changer ces informations avec les familles, il vous faudra peut-ĂȘtre 1 Chercher Ă  savoir quels sont les diffĂ©rents types d'aliments consommĂ©s dans la rĂ©gion et ce que les personnes savent dĂ©jĂ  au sujet des aliments et des nutriments. 2 Etablir des prioritĂ©s dĂ©cider quelles sont les informations les plus importantes Ă  Ă©changer avec les groupes ou les familles individuelles. 3 DĂ©cider qui atteindre par exemple, les parents et d'autres personnes chargĂ©es de soins; les enseignants; les enfants scolarisĂ©s plus ĂągĂ©s ou les jeunes; les responsables de groupements locaux. 4 Choisir les mĂ©thodes de communication par exemple, exposĂ©s avec illustrations, discussions, ou dĂ©monstrations de questions pour entamer une discussion Choisissez seulement une ou deux questions qui traitent des informations dont les familles ont le plus besoin Pourquoi avons-nous besoin de bien manger? Pouvez-vous Ă©numĂ©rer des minĂ©raux et des vitamines importants? Quels nutriments importants trouve-t-on dans les cĂ©rĂ©ales, les lĂ©gumineuses, le lait, la viande? Pourquoi est-il mauvais pour nous de consommer trop de sucre? Pourquoi les lipides prĂ©sents dans les aliments d'origine vĂ©gĂ©tale sont-ils gĂ©nĂ©ralement meilleurs pour la santĂ© que ceux de la margarine ou des aliments vendus dans la rue? Pourquoi avons-nous besoin de fer? Quels sont les aliments qui fournissent le plus de fer?
Ֆዶжևք áŒșŐŠŐ«ĐŒÖ…áŒżá‰ąÎŽĐžŃ€ŃÎžĐșÎż рÎčЎαх псխсĐșĐ°ÎžĐŸŃ€ŃŐĄĐŽÎčлД Đ”Î›ÎżĐœĐ”ŃĐœÎčኛ Ï‡ŐšĐœŐ§Đșοζխտ
΄цОջοĐșОшሱс чօփ ĐžŃŃ‚ĐŸÏˆĐ°ÎŸĐÖŐžÎŸ Ï…Ń€ Đ¶áˆĄŐ°Ö‡ÔŽĐ”á‹·Ö…Ń…Đžá‰šáŒˆÎș ŃˆŐžÖ‚áŒ«Đ°áˆ«Î±ÔœŃ‚ĐČĐ” Ö†ĐŸá‰€Đ°áŒƒ
ĐŁÎŽ ĐșŃ‚Ï‰Đșтቫγ áŠŁá‹•Đ°Ö‚Đ°ÖĐŸÎ˜ ΞбГлևչ Đșጅሌአኣጃ Ö…ĐŁáˆ‘ĐŸÏ†ĐžÎ¶ Ő·Ö…ÎłÎčζ ξтĐČαւДŐșΔч
Б сĐșŐ­á‰ŸŐžÎ€Ö‡ŐŽŃƒĐżŃĐžŐȘ Ń…Ö…ŐżŐĄĐżĐ”ĐŒ ĐŸŐŠŐžáˆ‘áŠ…ŐŸá‹šÖ„Đ• Δ Đ”Ô”Ő’Ő·á‰ŒŃ‚ĐžŃˆĐ° Đ°Ï‚Î”ĐČ á‰†ŃƒÎČΞŐČĐŸ
Rééquilibragealimentaire vĂ©gĂ©tarien. Le rĂ©gime vĂ©gĂ©tarien est probablement le plus « simple » et pratique pour faire un rééquilibrage alimentaire, puisqu’il est essentiellement constituĂ© d’aliments frais, pleins de nutriments et de vitamines ou de sucre naturels. L’alimentation vĂ©gane peut l’ĂȘtre aussi. De plus, l’Organisation mondiale de la santĂ© a publiĂ© un
Pour vivre et se dĂ©velopper, un animal doit s'alimenter. Le rĂ©gime alimentaire d'un animal correspond Ă  l'ensemble des aliments qu'il prĂ©lĂšve dans son milieu. Le plus souvent, les animaux appartenant Ă  une mĂȘme espĂšce ont le mĂȘme rĂ©gime alimentaire, mais en fonction des espĂšces, les rĂ©gimes rencontrĂ©s sont trĂšs divers. Comment connaĂźtre le rĂ©gime alimentaire d'une espĂšce ? Comment classer les diffĂ©rents rĂ©gimes ?I. Les mĂ©thodes utilisĂ©es pour connaĂźtre le rĂ©gime alimentaire des animaux1. L'observation directe des animaux Dans la nature, on peut observer des animaux en train de manger. On peut ainsi constater qu'un Ă©cureuil mange des noisettes ou qu'un hibou mange de petits oiseaux ou de petits mammifĂšres. Quant aux animaux domestiques ou d'Ă©levage, il est trĂšs facile de connaĂźtre leurs aliments prĂ©fĂ©rĂ©s ainsi que les quantitĂ©s de nourriture qu'ils ingĂšrent. On remarque ainsi qu'un cheval mange du foin et de l'avoine et qu'il raffole des carottes qu'on lui L'observation des traces d'un repas Il est possible de trouver des restes de repas noisettes perforĂ©es, cĂŽnes de pin rongĂ©s, proies en partie consommĂ©es, jeunes rameaux coupĂ©s, etc. Chaque espĂšce possĂšde une technique particuliĂšre pour consommer sa nourriture l'Ă©cureuil ronge les pommes de pin et laisse quelques fragments d'Ă©cailles alors que le mulot n'en laisse L'examen du contenu du tube digestif Certaines parties du tube digestif notamment l'estomac contiennent des aliments entiers aprĂšs la mort de l'animal. L'estomac d'un capelan poisson proche de la morue peut ainsi contenir des crevettes presque intactes. Le gĂ©sier d'un oiseau contient souvent des graines entiĂšres ou en partie fragmentĂ©es et mĂȘlĂ©es Ă  de petits L'analyse des excrĂ©ments Les excrĂ©ments ou crottes des animaux renferment parfois des fragments d'aliments non digĂ©rĂ©s et reconnaissables. Les excrĂ©ments de renard contiennent souvent des enveloppes de fruits, des graines et parfois des Ă©lytres d' L'analyse d'une pelote de rĂ©gurgitation de rapace Une pelote de rĂ©gurgitation est rejetĂ©e naturellement par la bouche du rapace quelques heures aprĂšs son repas. Elle contient les parties non digĂ©rĂ©es des proies des poils, des os, etc.. La reconnaissance des os extraits d'une pelote permet d'identifier et de compter les proies qui ont Ă©tĂ© Les diffĂ©rents types de rĂ©gimes alimentairesLes animaux se nourrissent toujours de matiĂšre minĂ©rale eau et sels minĂ©raux et de matiĂšre provenant d'autres ĂȘtres vivants, les animaux et les vĂ©gĂ©taux. Le rĂ©gime alimentaire d'une espĂšce peut donc ĂȘtre constituĂ© d'animaux ou de vĂ©gĂ©taux, exclusivement, ou encore du mĂ©lange des deux. C'est sur la base de cette diffĂ©rence d'origine des aliments que l'on a Ă©tabli une classification des rĂ©gimes Le rĂ©gime vĂ©gĂ©tarien‱ Certains animaux ont un rĂ©gime alimentaire vĂ©gĂ©tarien ce sont des phytophages. Ils se nourrissent surtout de vĂ©gĂ©taux ou de substances produites par les vĂ©gĂ©taux comme la sĂšve, le nectar, etc.. Exemples le phasme, le puceron, le mulot, le cerf, le lapin, le criquet, etc.‱ Le rĂ©gime alimentaire vĂ©gĂ©tarien est parfois trĂšs spĂ©cialisĂ© ; les animaux ne mangent qu'un seul type d'aliment les herbivores ne consomment que de l'herbe la vache ; les granivores ne mangent que des graines le bec croisĂ© ; les frugivores ne consomment que des fruits le singe ; les nectarivores ne se nourrissent que de nectar, liquide sucrĂ© sĂ©crĂ©tĂ© par les fleurs le colibri.2. Le rĂ©gime carnivore‱ D'autres animaux ont un rĂ©gime alimentaire carnivore ce sont les zoophages. Ils se nourrissent surtout d'aliments d'origine animale. Exemples la chouette effraie, le lĂ©opard, la couleuvre, l'Ă©pervier, le hĂ©ron, la seiche, la mante religieuse, la coccinelle, l'Ă©toile de mer, etc.‱ Le rĂ©gime alimentaire carnivore est parfois trĂšs spĂ©cialisĂ© les insectivores ne consomment que des insectes l'hirondelle ; les piscivores ne mangent que des poissons le balbuzard pĂȘcheur ; les charognards mangeurs de cadavres abandonnĂ©s le vautour.3. Le rĂ©gime omnivore‱ D'autres animaux ont un rĂ©gime alimentaire omnivore. Ils se nourrissent Ă  la fois d'aliments d'origine animale et d'aliments d'origine vĂ©gĂ©tale. Exemples l'ours, le renard, l'homme, le merle, etc.‱ Le rĂ©gime alimentaire omnivore est parfois trĂšs spĂ©cialisĂ© les planctophages ne consomment que du plancton animal et vĂ©gĂ©tal la baleine.III. Les variations des rĂ©gimes alimentaires1. Les variations des rĂ©gimes alimentaires au cours de la vie d'un animal Les jeunes mammifĂšres se nourrissent du lait maternel au dĂ©but de leur vie, puis ils adoptent progressivement le rĂ©gime alimentaire des adultes de leur Les variations des rĂ©gimes alimentaires en fonction des saisons Certains animaux le renard, l'ours, etc. ont un rĂ©gime alimentaire qui varie avec les saisons. En effet, la quantitĂ© de nourriture disponible varie les insectes, abondants en Ă©tĂ©, sont absents en hiver ; les fruits sont plus nombreux en Ă©tĂ©. Le renard va ainsi adapter son rĂ©gime alimentaire.
Lescompléments alimentaires sont des denrées alimentaires dont le but est de compléter le régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou d'autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combinés, commercialisés sous forme de doses, à savoir les formes de présentation telles que les gélules, les pastilles, les
Quelles sont les consĂ©quences de l’inflation sur la consommation de fruits et lĂ©gumes chez les Français ?Sous l'effet de l’inflation, le pouvoir d’achat de prĂšs de 77 % de Français a diminuĂ©. Ce phĂ©nomĂšne rĂ©sulte principalement de la hausse du prix des courses, qu’il s’agisse de nourriture, de produits d’entretien, d’hygiĂšne, etc. Face Ă  cette situation, de nombreux mĂ©nages ont dĂ©cidĂ© de rĂ©duire leurs dĂ©penses. Cette mesure implique de se tourner vers des alternatives moins chĂšres ou de rĂ©duire la frĂ©quence d’achat de certains produits. Des concessions se font particuliĂšrement au niveau de l’alimentation. PrĂšs de 87 % des Français, soit 9 personnes sur 10, estiment que cette dĂ©cision a des consĂ©quences nĂ©gatives sur la qualitĂ© de leur alimentation. Elle impacte Ă©galement la santĂ© de leurs enfants. La viande et les poissons figurent parmi les principaux aliments auxquels la plupart des mĂ©nages ont renoncĂ©. Par ailleurs, prĂšs de 38 % des Français ont Ă©galement fait des concessions sur leur consommation de fruits et lĂ©gumes. Seuls 41 % en consomment tous les jours, le reste n’en consommant que quelques fois par semaine une Ă  quatre fois, voire jamais. Selon L’Observatoire de Nouvelles Consommations – EnquĂȘte d’opinion auprĂšs des Français et l’alimentation de qualitĂ© » – Ipsos – mai 2022, 7 Français sur 10 ne consomment pas de fruits et lĂ©gumes, car ils sont trop chers. Pour 51 % de la population, il s’agit tout simplement d’aliments qu’ils n’ont plus les moyens de s’offrir et dont ils se passent sont les objectifs des paniers de fruits et lĂ©gumes votre santĂ©, consommez 5 fruits et lĂ©gumes par jour. Cette phrase est sans doute connue de tous, mais souvent difficile Ă  appliquer, faute de moyens. Face Ă  la rĂ©duction du pouvoir d’achat de nombreux mĂ©nages français, propose le panier de fruits et lĂ©gumes variĂ©s pour la semaine Ă  moins de 10 €. Cette initiative lancĂ©e le 29 mai a pour objectif de dĂ©fendre l’accĂšs Ă  une alimentation saine et Ă©quilibrĂ©e. Le panier comprend une sĂ©lection de fruits et lĂ©gumes pouvant combler les besoins d’une personne. Il s’agit Ă©galement d’une opportunitĂ© de consommer des produits de qualitĂ©. En effet, 85 % des Français estiment que manger des aliments de qualitĂ© coĂ»te trop cher. Le budget moyen allouĂ© pour l’achat de fruits et lĂ©gumes est d’ailleurs estimĂ© Ă  29,5 € par mĂ©nage. Cela signifie qu’une proportion de la population, soit 24 %, bĂ©nĂ©ficie d’un budget de moins de 10 €, d’oĂč l’idĂ©e de mettre en place un panier quoi est constituĂ© le panier de fruits et lĂ©gumes rĂ©pondre aux besoins des consommateurs, les paniers de fruits et lĂ©gumes sont constituĂ©s d’une sĂ©lection de produits frais. Leur contenu change tous les 15 jours et varie au fil des saisons. Le panier Ă  moins de 10 € est valable pour une sĂ©lection de produits. Il comporte un minimum de 35 portions de fruits et lĂ©gumes, soit l’équivalent des 5 fruits et lĂ©gumes par jour recommandĂ©s par PNNS. Le panier inclut ainsi une variĂ©tĂ© de produits destinĂ©s Ă  la consommation hebdomadaire d’une personne. Parmi la sĂ©lection proposĂ©e, il est possible de citer des tomates cerise, des carottes, des oignons jaunes, des radis ronds, des pommes jaunes, de la laitue iceberg, des pommes de terre, des pommes bicolores, des fraises gariguettes. À titre d’exemple, un panier peut ĂȘtre constituĂ© de2 concombres;1,5 kg de pommes de terre;200 g de tomates cerises;Une barquette de 6 pommes d’origine France;Une barquette de 250 g de fraises;1 kg de est Ă  noter que les produits sont vendus hors sont proposĂ©s les paniers de fruits et lĂ©gumes majoritĂ© des Français font leurs courses en grande surface. PrĂšs de 73 % d’entre eux achĂštent d’ailleurs leurs fruits et lĂ©gumes auprĂšs de la grande distribution hypermarchĂ©, supermarchĂ©, etc.. Les paniers sont donc proposĂ©s auprĂšs de tous les hypermarchĂ©s et des supermarchĂ©s de l’enseigne en France mĂ©tropolitaine hors DOM-TOM. Dans l’objectif de faciliter l’accĂšs Ă  ces produits, ils sont Ă©galement disponibles en drive et en service de livraison. En effet, le drive rĂ©duit le temps consacrĂ© aux achats, sachant qu’il suffit de rĂ©cupĂ©rer directement les courses. Ce service permet d’ailleurs de rĂ©cupĂ©rer les achats en fonction de la disponibilitĂ© du consommateur sous 24 Ă  72 heures.Quelles sont les attentes des consommateurs vis-Ă -vis de la grande distribution?PrĂšs de 94 % des Français estiment que la grande distribution joue un rĂŽle dans l’accĂšs Ă  des produits de qualitĂ©. Les consommateurs attendent donc certains engagements de la part des enseignes, notamment en matiĂšre de produits alimentaires. En effet, 87 % des consommateurs s’attendent Ă  pouvoir s’y procurer des fruits et lĂ©gumes de saison. Cette mĂȘme proportion souhaite se voir proposer des produits issus d’une agriculture responsable, respectueuse de l’environnement. Par ailleurs, 81 % des consommateurs veulent pouvoir acheter des fruits et lĂ©gumes produits localement. Les Français estiment Ă©galement que le panier dĂ©jĂ  constituĂ© est une option intĂ©ressante, Ă  condition de bĂ©nĂ©ficier de produits variĂ©s, sans plus avoir Ă  choisir. Le panier doit ainsi ĂȘtre composĂ© de maniĂšre Ă  correspondre Ă  la ration adaptĂ©e Ă  un certain nombre de paniers de fruits et lĂ©gumes facilitent votre vie et vous permettent de manger variĂ© et Ă©quilibrĂ© et surtout de saison a un prix lire Ă©galementCinq fruits et lĂ©gumes par jour pour lutter... contre la dĂ©pressionL'astuce parfaite d'un caissier pour faciliter les courses d'une maman dĂ©bordĂ©e
Lesfruits dans le rĂ©gime alimentaire de Penelope marail (Aves, Cracidae) en forĂȘt guyanaise : frugivorie stricte et sĂ©lective ? Revue D Ecologie La Terre Et La Vie, 1992. Christian Erard. Download Download PDF. Full PDF Package Download Full PDF Package. This Paper. A short summary of this paper. 1 Full PDF related to this paper . Read Paper
Le diabĂšte est une condition qui rĂ©sulte en des niveaux de glucose dans le sang trĂšs Ă©levĂ©. Vu que le glucose est fourni Ă  l'organisme Ă  travers l'alimentation, le rĂ©gime alimentation du diabĂ©tique est fondamental et doit toujours ĂȘtre accompagnĂ© d'un traitement et suivi mĂ©dical adaptĂ©s. Dans le cas du diabĂšte, certain aliments ne sont pas indiquĂ© ou alors en petites quantitĂ©s. L'objectif est de maintenir des niveaux de sucres stables, ce qui nous amĂšne Ă  connaĂźtre la composition des aliments afin d'Ă©viter ce qui ne sont indiquĂ© Ă  cette condition. Sur toutCOMMENT nous vous rĂ©vĂ©lons quels sont les Aliments interdits pour le diabĂšte. Index Les types de diabĂšte et leurs caractĂ©ristiques Le sucre et les sucreries Le sodium les fritures Les farines raffinĂ©es Les graisses Les produits laitiers entiers Les fruits interdits aux diabĂ©tiques Les types de diabĂšte et leurs caractĂ©ristiques Il existe 3 types de diabĂšte, bien que les deux principaux soient les diabĂštes de type 1 et de type 2. Il existe aussi le diabĂšte gestationnel, que se produit de maniĂšre occasionnelle chez les femmes enceintes. Dans ce dernier cas, il faut surveiller son alimentation de maniĂšre trĂšs stricte car le diabĂšte n'affecte pas seulement la mĂšre, mais aussi le diabĂšte de type 1, aussi connu comme insulino-dĂ©pendant se caractĂ©rise par un organisme incapable de produire de l'insuline. Le diabĂšte de type 2, au contraire de celui de type 1, est connu comme non insulino-dĂ©pendant et c'est le plus commun des 3. Dans ce cas, le corps ne produit pas assez d'insuline ou ne l'administre pas diabĂšte de type 1 consiste en un traitement constant d'injections d'insuline, en plus de rĂ©aliser de l’exercice rĂ©guliĂšrement et d'adopter un rĂ©gime alimentaire sain. Le mĂ©decin contrĂŽlera rĂ©guliĂšrement le cholestĂ©rol et la pression artĂ©rielle par des diabĂšte de type 2 nĂ©cessite un traitement similaire, bien que les injections d'insuline ne soient pas nĂ©cessaires et sont remplacer par un simple traitement pharmaceutique. L'alimentation reste un point essentiel vu que les diabĂ©tiques de type 2 souffrent souvent en plus de que l’objectif dans le traitement du diabĂšte, est de maintenir les niveaux de glucose Ă  des niveaux adĂ©quats, il parait Ă©vident qu'il faille Ă©viter les aliments contenant beaucoup de sucre, mais pas seulement. En effet certains aliments contiennent des substances qui sont contre-indiquĂ©es dans le traitement du diabĂšte, et il existe de nombreux aliments qui contiennent du sucre sans que vous vous en doutiez. Nous allons donc Ă  continuation vous indiquer ces aliments Ă  Ă©viter en cas de diabĂšte. Le sucre et les sucreries Le sucre est impĂ©rativement interdits aux diabĂ©tiques. Lorsque nous parlons de sucre mnous ne parlons pas seulement de sucre blanc de table, mais de tout type de sucre roux, non raffinĂ© et des Ă©dulcorants artificiel. Les aliments contenant beaucoup de sucre sont Ă©galement interdits. En cas de diabĂštes, vous devez donc supprimer Sucre blancSucre rouxÉdulcorantsChocolatPĂątisseriesViennoiseries, surtout industriellesConfituresBiscuitsSiropsMielSnacks sucrĂ©s industriels barre chocolatĂ©s par exTout aliment riches en sucreTous ces aliments feront monter en flĂšche vos niveaux de glucose dans le sang. Il possĂšdent en plus peu de valeurs nutritionnelles et favorisent le surpoids, ce qui favorise le diabĂšte. Le sodium les personnes qui souffrent de diabĂštes ont tendances Ă  souffrir de maladies cardiovasculaires. Les aliments riches en sodium font augmenter la pression sanguine et provoque de l'hypertension. C'est pour cela qu'il faut que vous Ă©vitiez cet Ă©lĂ©ment et les aliments qui en contiennent dans votre rĂ©gime alimentaire. Les aliments riches en sodium Ă  proscrire sont les suivantLe selLes assaisonnements pour saladesla plupart des saucesPainPizzaCharcuteriebeurreChips et snacks salĂ©sMayonnaiseFruit secsN'importe quel aliment avec du sel ajoutĂ© les fritures Tous les aliments frits ne sont pas recommandĂ©s dans un rĂ©gime alimentaire pour diabĂ©tiques, car la friture se convertit en sucre dans le sang. Ils apportent en plus des graisses que ne sont pas saines pour l'organisme, mĂȘme pour les personnes diabĂ©tiques. Les aliments frits favorise le mauvais cholestĂ©rol et favorise la montĂ© des taux de sucre, ce qui les rends contre-indique en cas de diabĂšte. Les farines raffinĂ©es Les farines raffinĂ©es favorisent le diabĂšte et produisent des dĂ©sĂ©quilibres mĂ©taboliques important, tout en favorisant le surpoids. En Ă©tant digĂ©rĂ©s par le mĂ©tabolismes elles sont transformĂ©s en sucres, augmentant drastiquement les niveaux de glucose. Il faut les Ă©viter Ă  tout prix, et favoriser les aliments Ă  base de farines pain blancLes pizza, pour la pĂąteles pĂątesBiscuits et viennoiseriesle rizL'exception Ă  cette liste et si l'aliment en question est intĂ©gral, c'est-Ă -dire qu'il est fabriquĂ© Ă  base de farines complĂštes et non raffinĂ©es. Les graisses Les graisses augmentent le cholestĂ©rol et favorisent les risques de souffrir de maladies cardiovasculaires. Nous ne parlons pas des graisses saines et nĂ©cessaires au bon fonctionnement de notre organismes, les fameuses graisses polyinsaturĂ©es ou mono-insaturĂ©es, comme l'huile d'olive, mais des graisses trans qui favorisent le mauvais cholĂ©sterol et sont tout simplement mauvaises pour la santĂ©. Dans ce groupe vous devez proscrire Aliments transformĂ©esJaune d’ƓufAliments surgelĂ©s et plats prĂ©parĂ©sCharcuteries, patĂ©sMargarinesBeurreLes viandes non blanches et maigres, comme la viande rouge, le porc, le poulet avec la peau. Les produits laitiers entiers Les produits laitiers non Ă©crĂ©mĂ©es contiennent de plus grandes quantitĂ©s de sucres et de graisses et doivent ĂȘtre Ă©vitĂ©s. Il s'agit non seulement des aliments eux-mĂȘme mais aussi des plats en contenant en grande quantitĂ©, comme une pĂąte carbonara si elle est faites avec de la crĂšme ou des salades avec beaucoup de fromageVous devez donc Ă©viterLe lait entierLa crĂšme sous toutes ses formes fraĂźche, liquide, chantilly, etcLe beurreLe fromage, mĂȘme fraisLe yaourt Les fruits interdits aux diabĂ©tiques Pour une personne ne souffrant d'aucun problĂšme de santĂ©, tous le fruits peuvent ĂȘtre mangĂ©s dans un rĂ©gime Ă©quilibrĂ© car ce sont des aliments nutritifs et peu caloriques. Mais pour une personne diabĂ©tique, cela est plus compliquĂ©, car certains fruits sont trĂšs riches en fructose, un type de sucre mĂ©tabolisĂ© de la mĂȘme maniĂšre que le glucose. ces fruit ne sont cependant pas complĂštement pas dĂ©conseillĂ©s en cas de diabĂšte, il faut seulement en limiter la consommation Il y a donc certain fruit Ă  Ă©viter si vous souffrez de diabĂšte Fruits secsRaisinBananeChĂ©mirole Cet article est purement informatif, toutCOMMENT n'a pas les capacitĂ©s de prescrire de traitement mĂ©dical ni rĂ©aliser de diagnostics. Nous vous invitons Ă  vous rendre chez le mĂ©decin si vous prĂ©sentez des gĂšnes ou un mal-ĂȘtre. Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables Ă  Aliments interdits pour le diabĂšte, nous vous recommandons de consulter la catĂ©gorie Maladies et effets secondaires.
Lesfruits dont la teneur en sucre naturelle est faible peuvent faire partie du rĂ©gime antifongique. La stĂ©via constitue le choix optimal pour ceux qui suivent un rĂ©gime de candidose. La stĂ©via est non seulement un agent antifongique, anti-inflammatoire et antibiotique, mais elle permet aussi d’équilibrer le pancrĂ©as, un organe souvent touchĂ© quand on a la Attention, Ă  ne pas confondre ! Pour les sujets ou articles dits homonymes, voir RĂ©gime. Sur les rĂ©gimes alimentairesLes carnivores mangent de la viande Les charognards se nourrissent de cadavres Les hĂ©matophages se nourrissent de sang Les herbivores mangent de l'herbe et des plantes Les insectivores mangent des insectes Les vĂ©gĂ©tariens se nourrissent de vĂ©gĂ©taux Les nectarivores se nourrisent de nectar Les frugivores se nourrissent de fruits Les granivores mangent des graines et des fruits secs Les omnivores mangent de tout Les piscivores mangent des poissons Digestion des animaux La chaĂźne alimentaire qui mange qui ? Les lions ont un rĂ©gime alimentaire carnivore ils se nourrissent de viande. Le rĂ©gime alimentaire d'un ĂȘtre vivant, c'est ce dont il se nourrit. On distingue plusieurs sortes de rĂ©gimes alimentaires, selon le type et le nombre d'aliments qui sont consommĂ©s. Sommaire 1 DĂ©finition Le mode de nutrition Le rĂ©gime alimentaire 2 Les diffĂ©rents rĂ©gimes alimentaires VĂ©gĂ©tariens Carnivores Autres rĂ©gimes alimentaires 3 Adaptation au rĂ©gime alimentaire Les dents Le bec Le tube digestif 4 Changement de rĂ©gime alimentaire au cours de la vie 5 Notes DĂ©finition[modifier modifier le wikicode] Le rat noir est le champion toutes catĂ©gories du rĂ©gime alimentaire cet animal omnivore mange absolument de tout, et est mĂȘme capable de digĂ©rer du plastique! Le mode de nutrition[modifier modifier le wikicode] Il ne faut pas confondre le rĂ©gime alimentaire et le mode de nutrition, ce que les scientifiques appellent trophie » ou trophisme ». Chaque animal a son propre rĂ©gime alimentaire. Tous les ĂȘtres vivants doivent se nourrir, mais tous ne le font pas de la mĂȘme façon. Dans une chaĂźne alimentaire, on distingue les producteurs primaires et les producteurs secondaires. Un producteur primaire ne se nourrit que de matiĂšre minĂ©rale de l'eau, des sels minĂ©raux, du gaz carbonique, etc. Les plantes, par exemple, utilisent la lumiĂšre pour transformer le gaz carbonique en sucre c'est la photosynthĂšse. On dit que les producteurs primaires sont autotrophes, c'est-Ă -dire qu'ils se nourrissent seuls » ils n'ont pas besoin de manger d'autres ĂȘtres vivants. Un producteur secondaire ne sait pas fabriquer la matiĂšre organique, comme le font les vĂ©gĂ©taux ils sont obligĂ©s, pour vivre, de se nourrir de la matiĂšre organique d'autres ĂȘtres vivants, et donc de les manger. On dit que les producteurs secondaires sont hĂ©tĂ©rotrophes pour vivre, ils doivent manger d'autres ĂȘtres vivants. Le rĂ©gime alimentaire[modifier modifier le wikicode] Les animaux sont des producteurs secondaires, hĂ©tĂ©rotrophes. Ils doivent donc manger d'autres ĂȘtres vivants pour vivre. Mais tous les animaux ne peuvent pas manger n'importe quoi par exemple, certains animaux mangent des plantes, d'autres mangent d'autres animaux. On dit que les animaux ont des rĂ©gimes alimentaires diffĂ©rents, c'est-Ă -dire qu'ils ne mangent pas la mĂȘme chose. Les animaux ne sont pas les seuls Ă  devoir manger pour vivre ; les champignons, par exemple, sont aussi hĂ©tĂ©rotrophes ils ont aussi un rĂ©gime alimentaire1. Certains animaux sont capables de manger un grand nombre de choses diffĂ©rentes, comme par exemple les omnivores qui peuvent manger aussi bien des plantes que des animaux. D'autres, au contraire, ont un rĂ©gime alimentaire extrĂȘmement spĂ©cialisĂ© ils ne sont capables de manger qu'une seule sorte d'aliment. Les diffĂ©rents rĂ©gimes alimentaires[modifier modifier le wikicode] VĂ©gĂ©tariens[modifier modifier le wikicode] Les termites sont des insectes xylophages ils se nourrissent de bois. On appelle phytophage, ou vĂ©gĂ©tarien, un animal ou un ĂȘtre vivant qui ne se nourrit que de vĂ©gĂ©taux de plantes. L'animal peut se nourrir de n'importe quelle plante, ou bien d'espĂšces prĂ©cises comme le koala, qui ne mange que des eucalyptus, ou le panda, qui ne se nourrit que de bambou ; il peut manger toute la plante, ou bien seulement une partie. un herbivore ne mange que des herbes gĂ©nĂ©ralement des GraminĂ©es. exemple le lapin, l'Ă©lĂ©phant un frugivore se nourrit de fruits un granivore se nourrit de graines un nectarivore se nourrit du nectar des fleurs. Exemple les papillons certains animaux se nourrissent de sĂšve comme par exemple le puceron. Il n'y a pas de nom Ă  ce rĂ©gime alimentaire. un xylophage se nourrit de bois. un saprophage se nourrit de bois mort c'est le cas de beaucoup de champignons, notamment. Carnivores[modifier modifier le wikicode] Ce serpent ne mange que des Ɠufs. Ici, il vient juste d'en avaler un. On appelle zoophage, ou carnivore, un animal ou un ĂȘtre vivant, qui se nourrit d'autres animaux, de la chair. un piscivore mange des poissons un insectivore mange des insectes un animal oophage se nourrit d'Ɠufs un charognard se nourrit de cadavres d'animaux morts un animal hĂ©matophage se nourrit de sang un animal lĂ©pidophage se nourrit d'Ă©cailles de poisson un animal apivore se nourrit d'abeilles. Autres rĂ©gimes alimentaires[modifier modifier le wikicode] Un corbeau est un animal omnivore. Il n'est pas toujours facile de caractĂ©riser le rĂ©gime alimentaire d'un ĂȘtre vivant Un omnivore se nourrit aussi bien d'animaux que de vĂ©gĂ©taux. Certains animaux, comme l'ours, le renard, par exemple, se nourrissent Ă  peu prĂšs autant d'animaux que de vĂ©gĂ©taux, mais il existe aussi des animaux plutĂŽt carnivores, qui mangent parfois des plantes comme le loup, par exemple, et des animaux plutĂŽt vĂ©gĂ©tariens qui ne nourrissent parfois d'animaux certains poissons, notamment. L'homme et le corbeau sont omnivores. Certains rĂ©gimes alimentaires particuliers sont difficiles Ă  classer un dĂ©tritivore se nourrit de dĂ©chets, et de matiĂšre organique en dĂ©composition. On nomme aussi ces ĂȘtres vivants des dĂ©composeurs un limivore se nourrit de boue, ou plutĂŽt, de la matiĂšre organique prĂ©sente dans la boue, et la terre. Il rejette ensuite la terre restante dans ses excrĂ©ments. un coprophage se nourrit d'excrĂ©ments d'autres animaux. Le scarabĂ©e, par exemple, est un animal coprophage. un suspensivore est un animal aquatique, qui se nourrit en filtrant les petites particules organiques prĂ©sentes dans l'eau. Ces particules peuvent ĂȘtre aussi bien d'origine animale que vĂ©gĂ©tale. Certains ĂȘtres vivants se nourrissent de champignons ; comme auparavant les champignons Ă©taient classĂ©s parmi les vĂ©gĂ©taux, on considĂ©rait que les ĂȘtres vivants qui les mangeaient Ă©taient vĂ©gĂ©tariens. Comme on ne connaĂźt pas d'animaux qui ne se nourrissent que de champignons, on n'a pas encore inventĂ© de nom pour ce rĂ©gime alimentaire. Adaptation au rĂ©gime alimentaire[modifier modifier le wikicode] Les animaux sont diffĂ©rents, ils n'ont pas les mĂȘmes dents, le mĂȘme estomac, les mĂȘmes membres, etc. C'est pour cela qu'ils ne mangent pas les mĂȘmes choses. On peut savoir ce qu'un animal mange en regardant comment il est fait. Les dents[modifier modifier le wikicode] Les dents d'un animal servent Ă  attraper et Ă  mĂącher sa nourriture. Comme tous les animaux ne mangent pas la mĂȘme chose, ils n'ont pas besoin d'avoir les mĂȘmes dents. les herbivores se nourrissent d'herbes, qui sont dures, et qui usent les dents. De plus, comme les herbes ne sont pas trĂšs nourrissantes, il faut en manger beaucoup. Les herbivores ont souvent des dents qui poussent en continu, pour compenser l'usure comme les dents des rongeurs, par exemple. De plus, il ont de grosses molaires, pour bien mĂącher leur nourriture. les carnivores ont souvent des dents pointues, et recourbĂ©es pour attraper et tuer leurs proies ce sont les crocs. Ils ont aussi des dents tranchantes, pour dĂ©couper la chair. les piscivores ont des dents toutes identiques, pointues, un peu comme des harpons, pour attraper les poissons2. Le bec[modifier modifier le wikicode] Les oiseaux n'ont pas de dents, mais leur bec est Ă©galement bien adaptĂ© Ă  leur rĂ©gime alimentaire. Les rapaces sont carnivores ils ont un bec crochu et tranchant, pour attraper et dĂ©couper leurs proies. Les oiseaux insectivores ont un bec plutĂŽt fin, pour attraper les insectes Les oiseaux granivores ont plutĂŽt un gros bec, pour casser les graines. Le Gros bec casse-noyau est un oiseau qui utilise son bec pour casser les noyaux, et les coquilles d'autres grosses graines dures dont il se nourrit Un rapace la buse variable. Son bec crochu lui sert Ă  attraper et manger de petits mammifĂšres et des oiseaux. Le flamant rose utilise son bec pour filtrer l'eau et en extraire le plancton dont il se nourrit Le tube digestif[modifier modifier le wikicode] Les plantes sont beaucoup moins nourrissantes que la viande il est nĂ©cessaire de les digĂ©rer plus longtemps. Pour cela, les herbivores ont un tube digestif beaucoup plus long que les autres animaux. Les ruminants ont en plus un estomac spĂ©cial, Ă  plusieurs compartiments, qui leur permet de digĂ©rer plusieurs fois la nourriture. Changement de rĂ©gime alimentaire au cours de la vie[modifier modifier le wikicode] Certains ĂȘtres vivants changent de rĂ©gime alimentaire au cours de leur vie. C'est le cas, notamment, de tous les mammifĂšres quand ils sont jeunes, ils se nourrissent du lait de leur mĂšre. Plus tard, leurs dents poussent, et ils changent de rĂ©gime alimentaire. L'Homme est une exception. Il Ă©lĂšve des vaches femelle du taureau des brebis femelles des bĂ©liers, des juments femelles des chevaux, et d'autres, pour leur lait. Il peut continuer Ă  boire du lait de vache, de brebis ou de jument mĂȘme Ă  l'Ăąge adulte. Les tĂȘtards ont de petites dents en forme de rĂąpe. Ils s'en servent pour brouter les plantes aquatiques. Lors de la mĂ©tamorphose, ils se transforment en grenouilles ils deviennent alors carnivores. Voici d'autres exemples. Les chenilles, broyeuses de feuilles, deviennent ensuite des papillons qui se contentent d'aspirer avec leur trompe le jus sucrĂ© du cƓur des fleurs le nectar. La larve du moustique vit dans l'eau et se nourrit de minuscules dĂ©bris vĂ©gĂ©taux, alors que la femelle adulte pique la peau des mammifĂšres pour sucer un peu de leur sang. Le poisson Docidemus evelynae, qui vit dans le lac Malawi, change plusieurs fois de rĂ©gime alimentaire au cours de sa vie quand il est jeune, il rend service aux autres poissons, en les nettoyant il se nourrit des petits parasites et champignons qui leur poussent sur la peau. Puis, en grandissant, la forme de ses dents change, et il ne se nourrit alors plus que de plancton. En vieillissant, ses dents se modifient encore, et il se met alors Ă  chasser les autres poissons pour leur manger les Ă©cailles. Notes[modifier modifier le wikicode] ↑ il existe aussi des plantes carnivores bien qu'Ă©tant des plantes, elles peuvent aussi manger d'autres ĂȘtres vivants des insectes, le plus souvent elles ont donc aussi un rĂ©gime alimentaire. ↑ les poissons sont trĂšs gluants pour rĂ©ussir Ă  les manger, il faut les empĂȘcher de glisser... Contientmoins de 500 mg de sodium par jour. Il exclu la margarine, certains sodas, le lait et les yaourts (utilisation de lait dĂ©sodĂ©), les abats, certains poissons et lĂ©gumes, les fruits secs, les cĂ©rĂ©ales complĂštes et les Ɠufs (toutefois, les prĂ©parations Ă  base de jaunes d’Ɠufs sont autorisĂ©es). Ce rĂ©gime est constituĂ© de viande, poisson, riz, fruits, lĂ©gumes frais et sucre
Le rĂ©gime GAPS, est basĂ© sur le rĂ©gime des glucides spĂ©cifiques ou rĂ©gime RGS que nous devons Ă  un pĂ©diatre amĂ©ricain renommĂ©, le Dr Sidney Valentine Haas qui exerçait durant la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle. Le Dr Haas et ses collĂšgues s'intĂ©ressaient depuis de nombreuses annĂ©es aux effets de l'alimentation sur la maladie coeliaque ainsi que diverses pathologies digestives. Les rĂ©sultats de leurs recherches avaient Ă©tĂ© publiĂ©s en 1951 dans un ouvrage mĂ©dical trĂšs complet, "Le traitement de la maladie coeliaque" "The Management of Celiac Disease". Le rĂ©gime dĂ©crit dans ce livre fut saluĂ© par le corps mĂ©dical Ă  travers le monde pour le traitement de la maladie coeliaque. Le Dr Haas a Ă©tĂ© distinguĂ© pour ses recherches pionniĂšres en matiĂšre de pĂ©diatrie. Malheureusement, la maladie coeliaque Ă©tant par la suite qualifiĂ©e d'intolĂ©rance au gluten ou entĂ©ropathie du gluten, le rĂ©gime RGS est tombĂ© dans l’oubli jusqu'Ă  ce qu'Elaine Gottschall le remette Ă  l'ordre du jour. Forte de sa rĂ©ussite avec sa propre fille, elle a, au fil des ans, aidĂ© des milliers de personnes souffrant de la maladie de Crohn, de rectocolite hĂ©morragique ou colite ulcĂ©reuse, de maladie coeliaque, de diverticulite ainsi que de diverses formes de diarrhĂ©e chronique. C'est toutefois chez les jeunes enfants cumulant problĂšmes digestifs et graves troubles du comportement associĂ©s Ă  un autisme, une hyperactivitĂ© ou des angoisses nocturnes, qu'elle a constatĂ© les rĂ©sultats le plus rapides et les plus spectaculaires. AprĂšs avoir consacrĂ© de nombreuses annĂ©es Ă  la recherche des fondements biochimiques et biologiques du rĂ©gime, elle a publiĂ© un livre intitulĂ© "Rompre le cercle vicieux. La santĂ© intestinale par l'alimentation" "Breaking the Vicious Cycle. Intestinal Health Through Diet". En tant que mĂšre d’un enfant autiste, Dr Natasha Campbell-McBride a soignĂ© son enfant sur les bases de ce rĂ©gime. MĂ©decin, neurologue et neurochirurgienne au bĂ©nĂ©fice d’un Master en nutrition, elle s'est appuyĂ©e sur ce protocole alimentaire pendant de nombreuses annĂ©es dans le cadre de sa pratique mĂ©dicale et a introduit un certain nombre d'adaptations pour les patients atteints de pathologies neurologiques et psychiatriques. Au fil du temps, ses patients ont qualifiĂ© ce rĂ©gime de "rĂ©gime GAPS" Mise en Ɠuvre du rĂ©gime alimentaire GAPS 1. Le rĂ©gime d'introduction GAPS en 6 Ă©tapes L'expression "votre patient" sera utilisĂ©e dans la suite du texte, que vous mettiez en place le rĂ©gime pour vous-mĂȘme, l'un de vos enfants ou encore un proche ou un ami. Il est conseillĂ© Ă  la plupart des patients GAPS de suivre le rĂ©gime d'introduction avant d'aborder le rĂ©gime GAPS global. Votre patient pourra aborder le protocole Ă  son propre rythme selon l'intensitĂ© de ses symptĂŽmes. Par exemple, il pourra suivre la premiĂšre Ă©tape en un jour ou deux, mais prendre plus de temps pour la deuxiĂšme Ă©tape. Le rĂ©gime d'introduction est indispensable pour les patients souffrant de symptĂŽmes digestifs graves tels que diarrhĂ©es, douleurs abdominales, flatulences, certains cas de constipation, etc. Il permet d'attĂ©nuer rapidement ces symptĂŽmes et d'amorcer le processus de guĂ©rison du systĂšme digestif. MĂȘme chez une personne en bonne santĂ©, adulte ou enfant, quelques jours du rĂ©gime d'introduction permettent de venir rapidement et dĂ©finitivement Ă  bout des problĂšmes de "gastro" et autres diarrhĂ©es sans le moindre mĂ©dicament. Pour les cas de constipation chronique, il faut introduire les jus de fruits fraĂźchement pressĂ©s plus tĂŽt dans le rĂ©gime; dĂšs l'Ă©tape 2 commencez par du jus de carotte au petit dĂ©jeuner et prenez en mĂȘme temps de l'huile de foie de morue. Le jus stimule en effet la production de bile, souvent insuffisante chez les personnes souffrant de constipation persistante. Lorsque la production de bile est insuffisante, les matiĂšres grasses des aliments sont mal digĂ©rĂ©es ; elles rĂ©agissent avec les sels biliaires et forment dans l'intestin un fĂ©calome, source de constipation. Les patients souffrant d'allergies et d'intolĂ©rances alimentaires doivent suivre Ă©galement le rĂ©gime d'introduction afin d'amĂ©liorer leur paroi intestinale. La raison des allergies et des intolĂ©rances alimentaires est ce qu'on appelle un "intestin qui fuit", autrement dit, un intestin dont la muqueuse est endommagĂ©e par un microbiote anormal. Les aliments n'ont pas le temps d'ĂȘtre digĂ©rĂ©s correctement qu'ils sont absorbĂ©s par cette paroi endommagĂ©e et provoquent une rĂ©action du systĂšme immunitaire. On pourra essayer d'identifier les aliments non tolĂ©rĂ©s, mais c'est souvent l'ensemble des aliments qui est mal digĂ©rĂ©, avec Ă  la clĂ© une rĂ©action immĂ©diate ou diffĂ©rĂ©e un jour, plusieurs jours, voire plusieurs semaines plus tard. Comme ces rĂ©actions se chevauchent, il est bien malaisĂ© de savoir exactement Ă  quoi correspond telle rĂ©action observĂ©e un jour donnĂ©. Les tests d'allergie alimentaire sont notoirement peu fiables si l'on disposait de suffisamment de ressources pour effectuer des tests deux fois par jour pendant deux semaines, on constaterait qu'on est "allergique" Ă  tout ce que l'on mange. Tant que la paroi intestinale est endommagĂ©e, vous pouvez Ă©liminer les aliments les uns aprĂšs les autres sans le moindre rĂ©sultat. Selon l’expĂ©rience clinique du Dr Campbell, le plus efficace consiste Ă  restaurer la paroi intestinale en suivant le rĂ©gime d'introduction. Une fois la paroi intestinale guĂ©rie, les aliments seront correctement digĂ©rĂ©s avant d'ĂȘtre absorbĂ©s, ce qui mettra fin Ă  la plupart des allergies et intolĂ©rances alimentaires. Les patients ne souffrant pas de problĂšmes digestifs et intolĂ©rances alimentaires prononcĂ©s peuvent rapidement passer Ă  l'Ă©tape suivante. Ne cĂ©dez pas toutefois Ă  la tentation de sauter le rĂ©gime d'introduction pour passer directement au rĂ©gime GAPS global, car c'est prĂ©cisĂ©ment le rĂ©gime d'introduction qui optimisera les chances de guĂ©rison des intestins et du reste de l'organisme. De nombreux patients ayant omis le rĂ©gime d'introduction ont souffert des problĂšmes rĂ©currents, difficiles Ă  traiter. Si toutefois vous dĂ©cidiez de commencer directement par le rĂ©gime GAPS global, gardez Ă  l'esprit qu'environ 85 % de tout ce que votre patient mange quotidiennement doit ĂȘtre composĂ© de viande, de poisson, d'Ɠufs, de produits laitiers fermentĂ©s et de lĂ©gumes certains bien cuits, d'autres fermentĂ©s, et d'autres crus. Pains, pĂątisseries faits avec de la farine d’olĂ©agineux et fruits doivent ĂȘtre exclus du rĂ©gime pendant quelques semaines, puis se limiter Ă  des collations entre les repas et ne doivent pas remplacer les repas principaux. Bouillons de viande, soupes, ragoĂ»ts maison et graisses naturelles sont indispensables - ils constitueront la base de l'alimentation du patient. Commencez la journĂ©e par un verre d'eau pure il peut ĂȘtre nĂ©cessaire de la filtrer non gazeuse accompagnĂ© d'un probiotique. Assurez-vous que l'eau est chaude ou Ă  tempĂ©rature ambiante, et non froide, car le froid aggrave la situation. Seuls les aliments Ă©numĂ©rĂ©s dans les diffĂ©rentes Ă©tapes sont autorisĂ©s le patient ne doit rien consommer d'autre. DĂšs l'Ă©tape 1, les symptĂŽmes les plus aigus de douleurs abdominales, de diarrhĂ©e et de constipation disparaĂźtront rapidement. Si la diarrhĂ©e, les douleurs abdominales ou la constipation reviennent lors de l'introduction d'un nouvel aliment, c'est que le patient n'est pas prĂȘt. Attendez une semaine avant de faire une nouvelle tentative. Si vous suspectez une vĂ©ritable allergie potentiellement dangereuse envers un aliment particulier, rĂ©alisez le test de sensibilitĂ© avant de l'introduire. Pour cela, prenez une goutte de l'aliment en question s'il s'agit d'un aliment solide, Ă©crasez-le et mĂ©langez-le avec un peu d'eau, et dĂ©posez-le Ă  l'intĂ©rieur du poignet du patient Ă  l'heure du coucher. Laissez la goutte sĂ©cher avant que votre patient s'endorme et vĂ©rifiez la peau le matin en prĂ©sence d'une rougeur tĂ©moignant d'une rĂ©action, Ă©vitez cet aliment pendant quelques semaines avant d'effectuer une nouvelle tentative. En l'absence de rĂ©action, introduisez graduellement l'aliment en commençant par une petite quantitĂ©. Étape 1 Bouillons maison de viande ou de poisson Les bouillons de viande et de poisson apportent Ă  l'organisme les nutriments nĂ©cessaires Ă  une croissance rapide des cellules de la paroi intestinale et ont un effet apaisant sur les zones d'inflammation des intestins. Ils facilitent la digestion et constituent depuis des siĂšcles un remĂšde de bonne femme pour soigner le systĂšme digestif. N'utilisez pas les bouillons cubes et autres soupes en poudre, industriels et bourrĂ©s d'ingrĂ©dients nocifs. Les bouillons de poule, particuliĂšrement doux pour l'estomac, sont parfaits pour dĂ©marrer. Pour faire un bon bouillon de viande, il faut des jarrets, des os, un morceau de carcasse, un poulet entier, des abats de poulet, d'oie ou de canard, des pigeons entiers, des faisans ou d'autres viandes peu coĂ»teuses. Il est indispensable d'utiliser les os et les articulations, beaucoup plus riches en nutriments thĂ©rapeutiques. Demandez au boucher de couper en deux les os les plus gros afin de pouvoir rĂ©cupĂ©rer la moelle aprĂšs cuisson. Placez les ingrĂ©dients dans une grande marmite remplie d'eau, ajoutez en dĂ©but de cuisson du sel naturel ainsi qu'une cuillĂšre Ă  cafĂ© de poivre grossiĂšrement moulu. Faites bouillir, couvrez et laissez cuire Ă  feu doux pendant deux heures et demi Ă  trois heures. ProcĂ©dez de la mĂȘme maniĂšre pour les bouillons de poisson que vous rĂ©aliserez Ă  partir de poissons entiers ou de carcasses, tĂȘtes et nageoires de poisson. Une fois la cuisson terminĂ©e, retirez les os et la viande et filtrez le bouillon afin d'en retirer les petits os ou les arĂȘtes ainsi que les grains de poivre. DĂ©tachez tous les tissus mous des os afin de les inclure dans des soupes, ou proposez Ă  votre patient de les manger directement sur les os. DĂ©tachez tous les tissus des arĂȘtes et des tĂȘtes de poisson, et mettez-les de cĂŽtĂ© pour les incorporer plus tard Ă  vos soupes. Extrayez la moelle des os les plus gros pour cela, frappez-les sur une grosse planche Ă  dĂ©couper en bois. Les tissus mous gĂ©latineux autour des os ainsi que la moelle constituent l'un des meilleurs remĂšdes pour la paroi intestinale et le systĂšme immunitaire ; votre patient devrait en consommer Ă  chaque repas. Continuez Ă  donner Ă  votre patient du bouillon de viande chaud Ă  boire toute la journĂ©e avec ses repas et entre les repas. N'utilisez pas de micro-ondes pour rĂ©chauffer le bouillon, utilisez une cuisiniĂšre conventionnelle les micro-ondes dĂ©truisent les aliments. Il est indispensable que le patient consomme toute la graisse contenue dans les bouillons et sur les os, car celle-ci est indispensable au processus de guĂ©rison. Ajoutez des aliments probiotiques dans chaque tasse de bouillon les dĂ©tails sur l'introduction des aliments probiotiques suivent. Les bouillons de viande et de poisson se conservent bien pendant au moins 8 jours au rĂ©frigĂ©rateur ou peuvent ĂȘtre congelĂ©s. Soupes Ă  base de bouillon de viande ou de poisson maison Inspirez-vous des recettes proposĂ©es dans la section recettes du livre citĂ© plus bas. Nous allons aborder dans cette partie diffĂ©rents aspects du rĂ©gime d'introduction. Faites bouillir une partie du bouillon de viande, ajoutez des lĂ©gumes hachĂ©s ou Ă©mincĂ©s tels que carotte, oignon, brocoli, poireau, chou-fleur, courgette, courge, potiron, etc. et laissez mijoter pendant environ une demi-heure. Vous pouvez utiliser n'importe quelle combinaison de lĂ©gumes en Ă©vitant les plus fibreux tels que choux et cĂ©leri. Retirez les parties fibreuses des lĂ©gumes, en particulier la peau et les graines du potiron et des courges, la queue du brocoli et du chou-fleur, et toute autre partie semblant trop fibreuse. Cuisez bien les lĂ©gumes jusqu'Ă  ce qu'ils soient vraiment tendres, puis ajoutez une ou deux cuillĂšres Ă  soupe d'ail, faites bouillir et Ă©teignez le feu. Donnez cette soupe Ă  votre patient avec la moelle, la viande et les autres tissus mous dĂ©tachĂ©s des os. Vous pouvez mixer la soupe avec un mixeur ou la servir telle quelle. Ajoutez un aliment probiotique dans chaque bol de soupe les aliments probiotiques sont abordĂ©s plus loin. Votre patient consommera ces soupes avec la viande bouillie et autres tissus mous aussi souvent qu'il le souhaitera au fil de la journĂ©e. Aliments probiotiques Ces aliments doivent ĂȘtre introduits dĂšs le dĂ©but, sous la forme de produits laitiers ou vĂ©gĂ©taux. Afin d'Ă©viter toute rĂ©action, introduisez-les progressivement, Ă  raison d'une ou deux cuillĂšres Ă  cafĂ© pendant deux Ă  cinq jours, puis trois ou quatre cuillĂšres pendant encore deux Ă  cinq jours, jusqu'Ă  ce que vous puissiez en ajouter plusieurs cuillĂšres dans chaque bol de bouillon ou de soupe. Commencez par ajouter le jus de vos choucroutes, lĂ©gumes fermentĂ©s ou mĂ©langes de fruits maison voir la partie consacrĂ©e aux recettes dans les bols de bouillon de viande n'ajoutez pas les lĂ©gumes proprement dits, trop fibreux. Ces jus aideront Ă  relancer la production de sucs gastriques. Veillez Ă  ce que les aliments dans lesquels vous les incorporez ne soient pas trop chauds afin d'Ă©viter que les bactĂ©ries ne soient dĂ©truites. De mon expĂ©rience, nombre de patients tolĂšrent bien dĂšs le dĂ©but le petit-lait et les yaourts maison bien fermentĂ©s, mais d'autres non. Aussi, avant d'introduire les produits laitiers, faites le test de sensibilitĂ©. En l'absence de rĂ©action vous pourrez essayer d'introduire un peu de petit-lait que vous obtiendrez en Ă©gouttant vos yaourts maison l'Ă©gouttage permet d'Ă©liminer une bonne partie des protĂ©ines laitiĂšres commencez par une cuillĂšre Ă  cafĂ© de petit-lait que vous ajouterez dans les soupes ou les bouillons de viande. AprĂšs avoir ajoutĂ© une cuillĂšre Ă  cafĂ© par jour pendant trois Ă  cinq jours, passez Ă  deux cuillĂšres Ă  cafĂ© par jour et ainsi de suite jusqu'Ă  ce que votre patient prenne une demi-tasse par jour de petit-lait avec ses repas. À ce stade, essayez d'ajouter une cuillĂšre Ă  cafĂ© par jour de yaourt maison non Ă©gouttĂ©, en augmentant progressivement la quantitĂ© quotidienne. AprĂšs le yaourt, introduisez du kĂ©fir maison, beaucoup plus agressif que le yaourt, et qui produira en gĂ©nĂ©ral une rĂ©action d'Heixheimer en anglais die-off prononcĂ©e. Cette rĂ©action arrive lorsque les bactĂ©ries pathogĂšnes, les virus ou les champignons du systĂšme digestif meurent et libĂšrent des toxines. Cette augmentation de la toxicitĂ© peut produire des rĂ©actions provoquant de la fatigue, une pĂąleur, un manque de tonus ou toute autre aggravation des symptĂŽmes. C'est une rĂ©action provisoire qui dure habituellement quelques jours Ă  quelques semaines, suivant la personne. C'est la raison pour laquelle je conseille d'essayer le yaourt avant le kĂ©fir. Si le patient ne rĂ©agit pas au yaourt, vous pourrez introduire le kĂ©fir presque dĂšs le dĂ©but. Infusions de gingembre, de menthe ou de camomille avec un peu de miel entre les repas. Tout le monde sait comment prĂ©parer un thĂ© Ă  la menthe ou une camomille. Pour prĂ©parer un thĂ© au gingembre, rĂąpez un morceau de gingembre frais environ une cuillĂšre Ă  cafĂ© dans votre thĂ©iĂšre, versez un peu d'eau bouillante, couvrez et laissez infuser pendant trois Ă  cinq minutes. Filtrez ensuite avec une petite passoire. Dans les cas de diarrhĂ©e aiguĂ«, Ă©vitez les lĂ©gumes. Faites boire au patient des bouillons de viande chauds accompagnĂ©s d'aliments probiotiques petit-lait ou yogourts de prĂ©fĂ©rence, des viandes gĂ©latineuses bien cuites celles avec lesquelles vous prĂ©parez vos bouillons de viande et introduisez progressivement, le cas Ă©chĂ©ant, des jaunes d'Ɠufs crus. Evitez les lĂ©gumes jusqu'Ă  ce que la diarrhĂ©e commence Ă  s'attĂ©nuer. Les fibres Ă©tant proscrites tant que la paroi intestinale est trĂšs enflammĂ©e, n'hĂ©sitez pas Ă  attendre avant de rĂ©introduire les lĂ©gumes mĂȘme trĂšs cuits. Étape 2 Continuez de donner au patient des soupes contenant de la moelle, de la viande ou du poisson bouilli ainsi que les tissus mous dĂ©tachĂ©s des os en particulier les parties gĂ©latineuses et grasses, ainsi que beaucoup de bouillon de viande et d'infusions de gingembre. Continuez Ă©galement d'ajouter des aliments probiotiques dans chaque bol de soupe jus de choucroute, de lĂ©gumes fermentĂ©s ou de mĂ©langes de lĂ©gumes, et/ou petit-lait/yoghourt maison si bien tolĂ©rĂ©. Introduisez des jaunes d'Ɠufs biologiques crus. Il est conseillĂ© d'ajouter un jaune d'Ɠuf cru dans chaque bol de soupe ou tasse de bouillon de viande. Commencez par un jaune d'Ɠuf par jour avant de passer progressivement Ă  un jaune d'Ɠuf par bol de soupe. Si les jaunes d'Ɠuf sont bien tolĂ©rĂ©s, incorporez aux soupes des oeufs entiers lĂ©gĂšrement cuits blanc cuit et jaune encore liquide. En cas de suspicion d'allergie aux oeufs, procĂ©dez initialement au test de sensibilitĂ©. Le nombre de jaunes d'Ɠuf par jour n'est pas limitĂ©, car rapidement absorbĂ©s sans quasiment le moindre effort de digestion, ils constitueront pour le patient une excellente source de nutriments dont il a vraiment besoin. Procurez-vous des Ɠufs offrant toutes les garanties de qualitĂ© frais, biologiques et issus de poules en libertĂ©. Ajoutez des ragoĂ»ts et cassolettes de viandes et de lĂ©gumes. Evitez pour commencer les Ă©pices et contentez-vous d'un assaisonnement Ă  base de sel et d'herbes fraĂźches prenez en guise d'exemple la recette de cassolette italienne prĂ©sentĂ©e dans le livre citĂ© plus bas. La teneur en graisses de ces viandes doit ĂȘtre assez Ă©levĂ©e plus votre patient consommera de graisses animales fraĂźches plus il rĂ©cupĂ©rera rapidement. N'oubliez pas d'incorporer systĂ©matiquement des aliments probiotiques au moment de servir. Si vous avez commencĂ© Ă  en introduire, augmentez la quantitĂ© quotidienne de yogourt ou de kĂ©fir maison. Augmentez Ă©galement la quantitĂ© de jus de choucroute, de lĂ©gumes fermentĂ©s ou de mĂ©lange de lĂ©gumes. Introduisez le poisson fermentĂ©, en commençant par un morceau par jour et en augmentant progressivement les doses voir la section consacrĂ©e aux recettes dans le livre citĂ© plus bas. Introduisez du ghee maison, en commençant par une cuillĂšre Ă  cafĂ© par jour et en augmentant progressivement les doses. Étape 3 Poursuivez avec les aliments qui prĂ©cĂšdent. Introduisez de l'avocat Ă©crasĂ©, bien mĂ»r, dans les soupes, en commençant par une Ă  trois cuillĂšres Ă  cafĂ© et en augmentant progressivement les quantitĂ©s. Servez des crĂȘpes, Ă  raison d'une par jour pour commencer avant d'augmenter progressivement les quantitĂ©s. Ces crĂȘpes seront rĂ©alisĂ©es avec les ingrĂ©dients suivants 1 purĂ©e d’olĂ©agineux amande, noix, arachides, etc. ; 2 Ɠufs ; 3 un morceau de courge ou de courgette fraĂźche pelĂ©e, Ă©pĂ©pinĂ©e et bien mixĂ©e dans un robot mĂ©nager. Faites lĂ©gĂšrement frire ces crĂȘpes dans du ghee, ou de la graisse d'oie ou de canard en veillant Ă  ne pas les laisser brĂ»ler. PrĂ©parez Ă©galement des oeufs au plat ou brouillĂ©s avec beaucoup de ghee ou de graisse d'oie ou de canard, et servez avec de l'avocat s'il est bien tolĂ©rĂ© et des lĂ©gumes cuits. L'oignon cuit est particuliĂšrement bĂ©nĂ©fique pour le systĂšme digestif et le systĂšme immunitaire faites fondre trois cuillĂšres Ă  soupe de graisse de canard ou de ghee dans la poĂȘle, Ă©mincez un gros oignon blanc et laissez cuire 20 Ă  30 minutes Ă  petit feu jusqu'Ă  ce que l'oignon devienne tendre, sucrĂ© et transparent. Introduisez la choucroute et les lĂ©gumes fermentĂ©s dont le patient consomme le jus depuis dĂ©jĂ  un moment. Commencez par de petites quantitĂ©s en passant progressivement Ă  une ou deux cuillĂšres Ă  soupe de choucroute ou de lĂ©gumes fermentĂ©s Ă  chaque repas. Étape 4 Maintenez les aliments prĂ©cĂ©dents. Introduisez progressivement les viandes rĂŽties et grillĂ©es mais ni cuites au barbecue ni frites en Ă©vitant les morceaux brĂ»lĂ©s ou trop grillĂ©s. Servez avec des lĂ©gumes cuits et de la choucroute ou tout autre lĂ©gume fermentĂ©. Commencez Ă  introduire dans les plats de l'huile d'olive pressĂ©e Ă  froid, en commençant par quelques gouttes avant de passer progressivement Ă  une ou deux cuillĂšres Ă  soupe par repas. Introduisez les jus de fruits et de lĂ©gumes fraĂźchement pressĂ©s, en commençant par quelques cuillĂšres de jus de carotte. Veillez Ă  ce que le jus soit clair et bien filtrĂ©. Faites-le boire Ă  votre patient lentement ou diluĂ© avec de l'eau chaude, ou mĂ©langĂ© Ă  des yaourts maison. Si le patient le tolĂšre bien, passez progressivement Ă  un verre par jour. Une fois ce verre quotidien bien tolĂ©rĂ©, additionnez-le de jus de cĂ©leri, de salade, et de feuilles de menthe fraĂźche. Le patient boira ce jus Ă  jeun, par exemple au lever ainsi qu'en milieu d'aprĂšs-midi. Essayer de prĂ©parer du pain avec des amandes ou autres olĂ©agineux et graines finement moulues sous forme de farine. La recette de base que vous trouverez dans la section recettes du livre citĂ© plus bas ne nĂ©cessite que quatre ingrĂ©dients 1 de la farine d'amande ; 2 des Ɠufs ; 3 un morceau de potiron, de courge ou de courgette pelĂ©e, Ă©pĂ©pinĂ© et finement Ă©mincĂ© ; 4 une matiĂšre grasse naturelle ghee, beurre, graisse d'oie ou de canard ainsi qu'un peu de sel Ă  votre convenance. Le patient commencera par un petit morceau de ce pain par jour avant de passer progressivement Ă  des quantitĂ©s plus importantes. Étape 5 Si l'alimentation qui prĂ©cĂšde est bien tolĂ©rĂ©e, essayez d'introduire des pommes cuites en compote pelez des pommes bien mĂ»res, retirez le cƓur, et faites-les mijoter avec un peu d'eau jusqu'Ă  ce qu'elles soient tendres. Ajoutez ensuite un peu de ghee et mixez Ă  la maniĂšre d'une purĂ©e. Si vous n'avez pas encore introduit le ghee, ajoutez de la graisse de canard ou d'oie. Commencez par quelques cuillĂšres par jour et observez les Ă©ventuelles rĂ©actions avant d'augmenter progressivement les quantitĂ©s. Introduisez les cruditĂ©s en commençant par la partie la plus tendre de feuilles de salade et du concombre pelĂ©. Observez les selles de votre patient. Commencez une fois de plus par de petites quantitĂ©s avant de les augmenter progressivement si ces aliments sont bien digĂ©rĂ©s. Une fois ces deux lĂ©gumes bien tolĂ©rĂ©s, introduisez progressivement d'autres lĂ©gumes crus carottes, tomates, oignons, chou, etc. Si vos jus de carotte, cĂ©leri, laitue et feuilles de menthe sont bien tolĂ©rĂ©s, commencez Ă  y incorporer des fruits pommes, ananas et mangue. Évitez pour l'instant les agrumes. Étape 6 Si tous les aliments qui prĂ©cĂšdent sont bien tolĂ©rĂ©s, essayez la pomme crue prĂ©alablement pelĂ©e, puis progressivement d'autres fruits crus et un peu plus de miel. Introduisez progressivement pĂątisseries et autres aliments sucrĂ©s autorisĂ©s en sucrant vos pĂątisseries avec des fruits secs. Comme indiquĂ© plus haut, le rĂ©gime d'introduction sera maintenu plus ou moins longtemps selon l'Ă©volution des selles du patient attendez que les diarrhĂ©es s'attĂ©nuent avant de passer Ă  l'Ă©tape suivante. Vous pourrez ĂȘtre amenĂ© Ă  diffĂ©rer l'introduction de certains aliments en fonction des sensibilitĂ©s particuliĂšres de votre patient. Veillez Ă  maintenir soupes et bouillons au moins une fois par jour Ă  l'issue du rĂ©gime d'introduction. Une fois franchies les six Ă©tapes du rĂ©gime d'introduction et les selles Ă  peu prĂšs normalisĂ©es, vous pouvez aborder le rĂ©gime GAPS global. 2. Le rĂ©gime GAPS global Le rĂ©gime devra ĂȘtre maintenu, avec Ă©viction complĂšte des amidons et du sucre pendant au moins deux ans. En d'autres termes, vous Ă©viterez la totalitĂ© des cĂ©rĂ©ales, le sucre, la pomme de terre, le panais, l'igname, la patate douce ainsi que tous les aliments contenant ces ingrĂ©dients. Vous pouvez remplacer la farine dont vous aurez besoin pour la cuisine et la pĂątisserie par des amandes moulues ou autre fruits Ă  coque et graines de tournesol et de potiron finement moulus sous forme de farine. Peut-ĂȘtre pourrez-vous, d'ici un an ou un an et demi, rĂ©introduire des pommes de terre nouvelles ainsi que des graines de sarrasin, de millet et de quinoa fermentĂ©s, en commençant par de toutes petites quantitĂ©s et en observant les Ă©ventuelles rĂ©actions. BlĂ©, sucre, aliments industriels ainsi que l'ensemble des additifs devront ĂȘtre exclus pendant beaucoup plus longtemps. Augmentez trĂšs progressivement les quantitĂ©s d'aliments fermentĂ©s. Vous pouvez fermenter lĂ©gumes, fruits, lait et poisson voir la section consacrĂ©e aux recettes. Je conseille Ă©galement la lecture d'un merveilleux ouvrage, "Nourishing Traditions", dans lequel de Sally Fallon propose quantitĂ©s de bonnes recettes. La consommation d'aliments fermentĂ©s Ă  chaque repas aidera votre patient Ă  digĂ©rer ses repas sans l'aide d'enzymes digestives. Veillez Ă  introduire ces nouveaux aliments fermentĂ©s trĂšs progressivement, en commençant par une ou deux cuillĂšres Ă  cafĂ© par jour. Les meilleurs aliments pour les patients GAPS sont les oeufs, la viande, le poisson frais ou congelĂ©, Ă  l'exclusion des produits fumĂ©s et des conserves, les fruits de mer, les lĂ©gumes et fruits frais, les olĂ©agineux et les graines, l'ail et l'huile d'olive. Outre les lĂ©gumes cuits, il est important d'en consommer Ă©galement crus, sous la forme de salades et de bĂątonnets. Les cruditĂ©s fourniront Ă  votre patient des enzymes et substances dĂ©toxifiantes prĂ©cieuses, qui l'aideront Ă  digĂ©rer les viandes. Les fruits crus seront consommĂ©s Ă  part et non au moment des repas, car ils suivent un schĂ©ma de digestion trĂšs diffĂ©rent, susceptible de solliciter excessivement l'estomac. Contentez-vous de proposer les fruits en guise de collations entre les repas. Rappelons que, pour l'instant, 85 % des aliments consommĂ©s chaque jour par votre patient sont des aliments salĂ©s – viande, poisson, lĂ©gumes et graisses naturelles. PĂątisseries et fruits seront rĂ©servĂ©s, en quantitĂ©s rĂ©duites, aux collations entre les repas. Il est essentiel que le patient GAPS consomme des quantitĂ©s importantes de graisses naturelles, sous la forme de viande, de beurre, de ghee, ou encore d'huile de noix de coco et d'olive pressĂ©e Ă  froid. Cette teneur en matiĂšres grasses des repas permet de rĂ©duire le glucose sanguin et de limiter les besoins en glucides. Si votre patient souffre de "gastro" ou autres formes de diarrhĂ©e, reprenez le rĂ©gime pauvre en fibres pendant quelques jours excluez tous les fruits Ă  coque, cruditĂ©s et fruits frais et revenez aux viandes bouillies et bouillons de viande, poissons, Ɠufs, produits laitiers fermentĂ©s et cuits pelĂ©s, Ă©pĂ©pinĂ©s et bien cuits avec les viandes sous la forme de soupes et de ragoĂ»ts jusqu'Ă  ce que la diarrhĂ©e disparaisse complĂštement. Une fois les selles normalisĂ©es depuis au moins une semaine, introduisez lentement les lĂ©gumes, Ă  raison d'un Ă  la fois et par petites quantitĂ©s, avant de passer progressivement aux fruits Ă  coque, graines et fruits. Il est nĂ©cessaire d'Ă©quilibrer les repas afin que le pH de votre patient demeure normal. Tous les aliments protĂ©inĂ©s, tels que viandes, poissons, Ɠufs et fromage, laissent dans l'organisme une trace acide susceptible d'aggraver son Ă©tat. Les lĂ©gumes Ă©tant en revanche alcalins, ils accompagneront, cuits ou crus, les viandes, poissons et Ɠufs en quantitĂ© suffisante. Les fruits crus et les lĂ©gumes – lĂ©gumes verts en particulier – sont particuliĂšrement alcalisants. Le vinaigre de cidre de pomme Ă©galement, aussi est-il bon d'en consommer chaque jour ajoutez simplement une cuiller Ă  cafĂ© de vinaigre de cidre dans chaque verre d'eau de votre patient. Un verre d'eau chaude additionnĂ© de vinaigre de cidre constituera une excellente boisson alcalisante. Les aliments fermentĂ©s sont Ă©galement alcalisants. Il est trĂšs important d'Ă©viter les aliments industriels ou plus simplement les aliments emballĂ©s ou en conserve, car ils ont perdu la plupart des nutriments prĂ©sents dans les ingrĂ©dients frais entrĂ©s dans leur composition. Difficiles Ă  digĂ©rer, ils compromettent l'Ă©quilibre de la flore intestinale et contiennent gĂ©nĂ©ralement nombre de substances artificielles nocives, telles que conservateurs, colorants, additifs en E, etc. Efforcez-vous de vous procurer les aliments sous leur forme naturelle et aussi frais que possible. Évitez le four Ă  micro-ondes, qui dĂ©truit les aliments. Cuisinez et rĂ©chauffez les aliments sur le gaz ou au four traditionnel. Les aliments Ă  Ă©viter dans le rĂ©gime GAPS global Le sucre ainsi que tous les aliments qui en contiennent. La mĂ©lasse, le sirop d'Ă©rable, de maĂŻs et tout autre sirop L'aspartame sous toutes ses formes, car il s'agit d'un puissant neurotoxique. Les bonbons, gĂąteaux, biscuits, le chocolat et les crĂšmes glacĂ©es L'ensemble des boissons alcoolisĂ©es. Les adultes pourront Ă  l'occasion consommer un vin de qualitĂ© au repas, mais Ă©viteront biĂšres et alcool forts. Les conserves et autres aliments industriels lisez toujours les Ă©tiquettes, et mĂ©fiez-vous des sucres, du lactose, maltose, des amidons, farines de maĂŻs, conservateurs, colorants et levures. L'idĂ©al est de ne consommer aucun aliment industriel. Les cĂ©rĂ©ales riz, maĂŻs, orge, avoine, blĂ©, ainsi que tous aliments Ă  base de farine de blĂ© pain, pĂątes, biscuits, gĂąteaux et autres produits de boulangerie, panures et pĂątes Ă  crĂȘpes, sarrasin, quinoa, millet, semoule, Ă©peautre, semoule de blĂ© dur, tapioca, etc. Peut-ĂȘtre pourrez-vous, au bout d'un an Ă  un an et demi, rĂ©introduire progressivement le sarrasin, le millet et le quinoa fermentĂ©s pour commencer, mais ni le blĂ©, l'orge ou le riz. Les cĂ©rĂ©ales pour petit-dĂ©jeuner, aliments industriels sans quasiment la moindre valeur nutritionnelle, bourrĂ©s de sucre, de sel, d'acides gras trans et autres substances nocives. Ces cĂ©rĂ©ales devraient ĂȘtre Ă  tout jamais bannies de l'alimentation du patient. Les lĂ©gumes riches en amidon, ainsi que toutes les prĂ©parations qui en contiennent, tels que pommes de terre, navets, igname, topinambour et patate douce. Peut-ĂȘtre pourrez-vous, d'ici un an Ă  un an et demi, rĂ©introduire des pommes de terre nouvelles. Le lait demeure pour l'instant exclu. Votre patient peut toutefois consommer des produits laitiers tels que fromages naturels Ă  pĂąte cuite, yogourt nature maison, crĂšme fraĂźche ou crĂšme aigre, beurre et ghee non pasteurisĂ©s. Le lait contient de nombreuses substances pouvant poser problĂšme, telles que le lactose du sucre du lait, la casĂ©ine, des complexes immuns, etc. Les produits Ă  base de lait aigre lait ribot ne contiennent pas de lactose et sont prĂ©digĂ©rĂ©s par les microbes de fermentation qui les rendent trĂšs digestes. Il est conseillĂ© de n'utiliser que des laits biologiques et de n'introduire ces aliments qu'un Ă  la fois, en commençant par de petites vous n'ĂȘtes pas parvenu Ă  introduire de produits laitiers lors du rĂ©gime d'introduction, reportez-vous dans le livre citĂ© plus bas Ă  la partie consacrĂ©e aux produits laitiers qui indique comment introduire sans risque ces aliments. Si vous avez dĂ©jĂ  introduit yaourts, kĂ©fir et ghee maison dans le cadre du rĂ©gime d'introduction, vous pouvez passer progressivement aux crĂšmes fermentĂ©es et au beurre. Une fois ces aliments bien tolĂ©rĂ©s, essayez des fromages naturels longuement affinĂ©s. Vous pourrez prĂ©fĂ©rer les fromages de chĂšvre ou de brebis, souvent mieux tolĂ©rĂ©s que les fromages de vache. D'ici un an et demi Ă  deux ans et demi, une fois tous les produits laitiers fermentĂ©s introduits, votre patient sera peut-ĂȘtre en mesure de boire du lait biologique non pasteurisĂ©, que vous introduirez progressivement en commençant par une Ă  deux cuillĂšres Ă  cafĂ© par jour. Les patients GAPS ne devraient jamais consommer de lait pasteurisĂ© ! Les jus de fruits, hormis ceux fraĂźchement pressĂ©s. Les jus industriels sont malheureusement source de sucres raffinĂ©s et peuvent contenir de nombreux champignons et moisissures pouvant nuire Ă  votre patient. Les haricots et autres lĂ©gumineuses sont gĂ©nĂ©ralement difficiles Ă  digĂ©rer. Les deux variĂ©tĂ©s qui Ă©chappent Ă  la rĂšgle sont les haricots blancs, fermentĂ©s et cuisinĂ©s par vos soins, et les haricots verts. Les prĂ©parations industrielles de haricots Ă  la sauce tomate sont Ă  Ă©viter du fait de leur teneur de prĂšs de 40% de sucre. Pour prĂ©parer vos propres haricots, inspirez-vous des recettes proposĂ©es dans la rubrique recettes du site et du livre citĂ© plus bas. Le cafĂ© est trĂšs irritant pour les intestins, aussi Ă©vitez-le, tout comme les thĂ©s forts, Ă©galement dĂ©conseillĂ©s. Les infusions de plantes sans arĂŽme et de gingembre sont un remĂšde de grand-mĂšre bien connu pour venir Ă  bout des problĂšmes digestifs. Les boissons de type sodas sont Ă  proscrire, car bourrĂ©es de sucre et de substances chimiques trĂšs nocives pour les personnes souffrant d'un syndrome GAP. Tous les aliments contenant des ingrĂ©dients tels que colorants, conservateurs, arĂŽmes et autres substances chimiques. Le soja et tous ses dĂ©rivĂ©s. Le soja perturbe les fonctions thyroĂŻdienne et hormonale par sa teneur en composĂ©s similaires aux ƓstrogĂšnes. Il est important d'Ă©viter tous les ƓstrogĂšnes de synthĂšse, tels ceux du soja, de la pilule contraceptive ainsi que de nombreux mĂ©dicaments, produits de nettoyage chimiques, lessives, produits de toilette, etc. Les aliments autorisĂ©s dans le rĂ©gime GAPS global Achetez les viandes, poissons et fruits de mer frais ou congelĂ©s, en Ă©vitant les produits fumĂ©s, les salaisons ainsi que tout autre mode de conservation. Votre patient consommera chaque jour des viandes gĂ©latineuses viande entourant les os, des articulations, peau et viande des volailles. Il est important qu'il consomme toutes les graisses de la viande, les viandes maigres issues du muscle Ă©tant moins utiles aux patients GAP. Foie et autres abats seront consommĂ©s rĂ©guliĂšrement. CuisinĂ©s de n'importe quelle maniĂšre, ils sont trĂšs nourrissants et constituent le meilleur remĂšde pour rĂ©soudre de nombreuses carences nutritionnelles. ƒufs le jaune est Ă  consommer de prĂ©fĂ©rence cru, le blanc lĂ©gĂšrement cuit Ă  la maniĂšre des oeufs Ă  la coque ou au plat. Veillez Ă  vous procurer des Ɠufs biologiques de qualitĂ©, idĂ©alement issus de poules Ă©levĂ©es en parcours libre. Votre patient consommera au moins deux Ă  trois oeufs par jour, particuliĂšrement bons pour restaurer les fonctions neurologiques. Les lĂ©gumes frais sont conseillĂ©s tous les types de lĂ©gumes, Ă  l'exclusion des lĂ©gumes riches en amidon tels que pommes de terre, panai, patate douce, artichaut de JĂ©rusalem et igname. Les lĂ©gumes pourront ĂȘtre cuits Ă  la vapeur, en ragoĂ»ts, grillĂ©s ou frits. Il est particuliĂšrement conseillĂ© de les consommer sous forme de soupes maison, ou mijotĂ©s - avec beaucoup d’ail ajoutĂ© en fin de cuisson. Votre patient consommera Ă  chaque repas beaucoup de lĂ©gumes cuits, Ă  la fois plus digestes et plus nourrissants que les cruditĂ©s. Il est Ă©galement important de servir Ă  chaque repas ou en guise de collation des lĂ©gumes fermentĂ©s et des cruditĂ©s sous la forme de salades assaisonnĂ©es d'huile d'olive et de jus de citron fraĂźchement pressĂ©. CruditĂ©s et lĂ©gumes fermentĂ©s favorisent la digestion des protĂ©ines et la dĂ©toxication. En cas de diarrhĂ©e, cuisez tous les lĂ©gumes jusqu'Ă  ce que celle-ci prenne fin. Fruits frais bien mĂ»rs Ă  l'issue du rĂ©gime d'introduction, introduisez progressivement des fruits de saison produits localement et bien mĂ»rs. Vous commencerez par proposer au patient un peu de fruit dĂšs le matin ainsi qu'entre les repas. Les fruits seront toutefois exclus en cas de diarrhĂ©e. Une fois la diarrhĂ©e terminĂ©e, vous pourrez rĂ©introduire des fruits cuits pelĂ©s, Ă©pĂ©pinĂ©s et bien cuits, avec une bonne dose de beurre, de ghee ou d'huile de noix de coco, avant de passer progressivement Ă  de petites doses de fruits crus. L'avocat est un fruit aux propriĂ©tĂ©s nutritives remarquables. Bien mĂ»r, il sera servi en accompagnement des viandes, poissons, fruits de mer et salades. Le beurre est prĂ©fĂ©rable aux soi-disant substituts diĂ©tĂ©tiques. Vous l'utiliserez pour cuisiner ou pour assaisonner les plats. Achetez du beurre biologique non salĂ©, car le beurre ordinaire contient beaucoup de pesticides et d'antibiotiques issus de l'alimentation des vaches. L'huile d'olive pressĂ©e Ă  froid est excellente. Vous en assaisonnerez gĂ©nĂ©reusement salades et plats cuisinĂ©es. Il est prĂ©fĂ©rable de ne pas l'utiliser pour la cuisson, qui en modifie la structure chimique. Pour les fritures, privilĂ©giez les graisses animales, telles que la graisse de porc, le lard, la graisse d'agneau, de canard, d'oie, le ghee et le beurre. L'huile de coco et l'huile de palme sont des huiles vĂ©gĂ©tales parfaites pour la cuisson qui n'en modifie pas la structure chimique ce qui permet d'ailleurs de les rĂ©utiliser. RĂ©cupĂ©rez les graisses de vos viandes rĂŽties et Ă©vitez toutes les huiles de cuisson vĂ©gĂ©tales, margarines et autres et matiĂšres grasses industrielles, trĂšs nocives pour la santĂ©. Les fruits Ă  coque et les graines constituent une excellente source de trĂšs bons nutriments. Vous les achĂšterez dĂ©cortiquĂ©s mais ni salĂ©s, grillĂ©s, enrobĂ©s ou accommodĂ©s d'aucune autre maniĂšre. Ils apporteront au patient nombre d'acides gras essentiels et de aliments contiennent toutefois des inhibiteurs enzymatiques qui peuvent en rendre la digestion difficile. Si cela semble ĂȘtre le cas pour votre patient, essayez dĂšs que vous les achetez d'Ă©liminer ces enzymes inhibiteurs. Pour cela, laissez-les tremper une nuit dans de l'eau salĂ©e une cuillĂšre Ă  soupe de sel de mer par litre d'eau, Ă©gouttez-les le matin, rincez le sel, et dĂ©shydratez-les au four Ă  une tempĂ©rature de 50°C pendant 3 Ă  24 heures en vĂ©rifiant rĂ©guliĂšrement le sĂ©chage, variable selon les espĂšces. Les fruits Ă  coque et les graines peuvent ĂȘtre Ă©galement consommĂ©s directement aprĂšs trempage, sans dĂ©shydratation prĂ©alable. Une fois le sĂ©chage terminĂ©, placez-les dans un rĂ©cipient hermĂ©tique ou un sac en plastique bien fermĂ©. Bien croquants, les fruits Ă  coque et les graines constitueront une excellente collation en complĂ©ment de fruits secs. Vous pourrez Ă©galement moudre graines de tournesol et de potiron sous forme de farine qui vous servira Ă  prĂ©parer vos pains, crĂȘpes, ou mĂȘme des gĂąteaux maison en vous inspirant des recettes proposĂ©es dans le livre GAPS. Amandes moulues et farines d'amandes sont Ă©galement disponibles en boutique diĂ©tĂ©tique. Si votre enfant apprĂ©cie les boissons lactĂ©es, les laits de fruits Ă  coque et de graines remplaceront le lait animal pendant la rĂ©introduction progressive des produits laitiers. Vous pouvez prĂ©parer du lait Ă  partir d'amandes, de graines de tournesol et de sĂ©same ou encore de pignons de pin. Les amandes Ă©mondĂ©es donnent toutefois les meilleurs rĂ©sultats. Vous pouvez ajouter une cuillĂšre Ă  cafĂ© de graines de lin pour Ă©paissir le lait. Mettez Ă  tremper le contenu d'une tasse d'amandes pendant 12 Ă  24 heures et Ă©gouttez. Mixez ensuite avec de l'eau dans un robot mĂ©nager, dans une proportion d'une Ă  deux tasses d'eau pour une tasse de fruits Ă  coque/graines. Un bon robot mĂ©nager vous permettra de bien Ă©craser les fruits Ă  coque et les graines afin d'obtenir une pĂąte que vous pourrez ensuite dĂ©layer avec de l'eau. Mixez bien et filtrez le tout avec un morceau de gaze ou une passoire fine afin de rĂ©cupĂ©rer le lait. Vous pouvez ajouter lors du mixage des dates ou des raisins prĂ©alablement trempĂ©s qui, une fois mixĂ©s, sucreront le lait. Si le lait vous semble trop riche, ajoutez simplement de l'eau. Vous pouvez Ă©galement ajouter du jus de pomme ou de carotte fraĂźchement pressĂ©e qui parfumera la boisson et en amĂ©liorera les qualitĂ©s nutritives. Une mĂȘme tasse d'amandes mixĂ©es peut servir plusieurs fois. Conservez simplement la pĂąte couverte d'eau au rĂ©frigĂ©rateur. Vous pouvez Ă©galement rĂ©aliser du lait de noix de coco. Pour cela, portez Ă  Ă©bullition sans faire bouillir une tasse de noix de coco rĂąpĂ©e dĂ©shydratĂ©e et une tasse d'eau. Laissez refroidir et mixez bien le tout au robot mĂ©nager. Filtrez ensuite avec un morceau de gaze ou une passoire fine. Il est conseillĂ© de remplacer le sel de table par du sel non traitĂ© car le sel industriel ne contient plus guĂšre que du chlorure de sodium. L'organisme ayant besoin de minĂ©raux, les sels naturels non lavĂ©s sont Ă  privilĂ©gier. Vous pourrez vous procurer d'excellents sels non lavĂ©s de la marque Celtic Seal Salt ou encore des cristaux de sel de l'Himalaya. La consommation quotidienne d'ail est essentielle pour normaliser la flore intestinale et stimuler le systĂšme immunitaire. L'ail sera servi cru avec les viandes, ou cuit avec vos plats. L'objectif est de faire consommer Ă  votre patient une tĂȘte entiĂšre par jour et pas seulement quelques gousses. Le miel artisanal est le seul aliment sucrant autorisĂ© outre les fruits secs, qui seront privilĂ©giĂ©s dans les pĂątisseries. Un miel artisanal produit localement sera probablement le plus sĂ»r. Vous trouverez dans le livre citĂ© plus bas une liste alphabĂ©tique d'aliments conseillĂ©s et Ă  proscrire. Exemple de menu Commencez la journĂ©e par un verre d'eau plate, minĂ©rale ou filtrĂ©e, additionnĂ©e d'une rondelle de citron. L'eau sera Ă  tempĂ©rature ambiante. Servez ensuite un bol de yaourt maison ou de kĂ©fir. Vous pouvez Ă©galement, au lieu de servir l'eau et le yoghourt/kĂ©fir Ă  part, proposer au lever une boisson rafraĂźchissante en mĂ©langeant une demi-tasse de yoghourt/kĂ©fir et une demi-tasse d'eau. Si vous disposez d'une centrifugeuse, votre patient pourra commencer la journĂ©e par un verre de jus de fruits/lĂ©gumes fraĂźchement pressĂ©s et allongĂ©s d'eau. Vous pouvez prĂ©parer toutes sortes de jus, mais efforcez-vous d'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale de conserver une proportion de 50 % d'ingrĂ©dients thĂ©rapeutiques carotte, un peu de betterave pas plus de 5% du mĂ©lange, cĂ©leri, chou, laitue, lĂ©gumes verts Ă©pinards, persil, aneth, basilic, feuilles d'ortie fraĂźches, fanes de betterave ou de carottes, chou rouge ou blanc, et 50 % d'ingrĂ©dients plus plaisants afin de masquer le goĂ»t des ingrĂ©dients thĂ©rapeutiques ananas, pomme, orange, pamplemousse, raisin, mangue, etc. Votre patient consommera ces jus tels quels, mĂ©langĂ©s Ă  du yogourt/kĂ©fir ou allongĂ©s l'eau. Notre organisme suit chaque jour un cycle de 24 heures alternant des phases d'activitĂ© et de repos, d'alimentation et de nettoyage dĂ©toxication. L'organisme est en mode nettoyage ou dĂ©toxication de 4 Ă  10 heures du matin environ. Ceci est la raison pour laquelle beaucoup d'entre nous n'avons pas faim au rĂ©veil. La consommation d'eau, de yogourt/kĂ©fir et de jus fraĂźchement pressĂ©s facilite ce processus, tandis qu'alimenter l'organisme Ă  ce moment-lĂ  interfĂšre avec la phase de dĂ©toxication. Il est prĂ©fĂ©rable de prendre le petit dĂ©jeuner vers 10 heures, une fois la dĂ©toxication terminĂ©e et l'organisme prĂȘt Ă  ĂȘtre alimentĂ©. C'est gĂ©nĂ©ralement le moment auquel nous commençons Ă  avoir faim, signe que la dĂ©toxication est terminĂ©e. Les enfants peuvent ĂȘtre prĂȘts Ă  prendre leur petit-dĂ©jeuner beaucoup plus tĂŽt que les adultes. Petit dĂ©jeuner Variante du petit dĂ©jeuner anglais oeufs cuits selon les goĂ»ts du patient, accompagnĂ©s de saucisses et de lĂ©gumes, certains cuits, d'autres crus sous forme de salade tomate, concombre, oignons, cĂ©leri, lĂ©gumes verts en salade et/ou d'avocat et/ou de viande. Il est prĂ©fĂ©rable que seul le blanc de l’oeuf soit cuit. Assaisonnez abondamment les salades et les Ɠufs d'huile d'olive. Ajoutez aux salades une cuillĂšre Ă  soupe de graines de tournesol et/ou de sĂ©same ou de citrouille trempĂ©es ou germĂ©es. Les saucisses intĂ©gralement Ă  base de viande grasse hachĂ©e seront uniquement salĂ©es et poivrĂ©es lĂ©gumes frais et herbes peuvent ĂȘtre Ă©galement ajoutĂ©s au mĂ©lange. Veillez Ă  ce que les saucisses ne contiennent ni aromates industriels, ni monosodium glutamate. Je vous invite Ă  trouver un boucher qui vous fabrique sur commande des saucisses pure viande. Avocat avec des restes de viande, de poisson ou des coquillages, lĂ©gumes crus et cuits, citron et huile d'olive pressĂ©e Ă  froid. Servez le tout avec une tasse de bouillon de viande chaud, sans oublier d'ajouter des aliments probiotiques. Des crĂȘpes Ă©paisses façon "pancakes", Ă  base de farine d’olĂ©agineux seront apprĂ©ciĂ©es le week-end, lorsque vous avez plus le temps de cuisiner le matin. Ces crĂȘpes sont dĂ©licieuses avec du beurre, de la crĂšme aigre . Des baies, fraĂźches ou dĂ©congelĂ©es et mixĂ©es dans du miel, feront une dĂ©licieuse confiture pour accompagner les crĂȘpes. Servez avec un thĂ© lĂ©ger au citron, au gingembre ou Ă  la menthe. DĂźner Soupe de lĂ©gumes maison ou ragoĂ»t dans un bouillon de viande maison. Avocat en accompagnement des viandes, poissons, fruits de mer et lĂ©gumes cuits et/ou cruditĂ©s. Assaisonnez d'huile d'olive et de citron et servez en boisson une tasse de bouillon de viande chaud avec un peu de yoghourt/kĂ©fir. N'importe quel plat de viande/poisson accompagnĂ© de lĂ©gumes. Souper L'un des plats servis au dĂ©jeuner ou au petit-dĂ©jeuner. AprĂšs le dĂźner, une demi-tasse de yogourt ou kĂ©fir. La fin du rĂ©gime GAPS Ce rĂ©gime devrait ĂȘtre maintenu de maniĂšre stricte pendant au moins un an et demi Ă  deux ans. Selon la gravitĂ© des symptĂŽmes, certains patients rĂ©cupĂšreront rapidement, d'autres beaucoup plus lentement. Vous attendrez que la digestion soit normalisĂ©e pendant au moins six mois avant d'essayer des aliments non autorisĂ©s dans le cadre de ce rĂ©gime. Ne vous prĂ©cipitez pas pour cette Ă©tape. Les premiers aliments que vous pourrez introduire seront les pommes de terre nouvelles et les cĂ©rĂ©ales sans gluten, prĂ©alablement fermentĂ©es sarrasin, millet et quinoa. Vous verrez dans la section recettes comment fermenter les graines. Une fois de plus, introduisez un aliment Ă  la fois, en commençant toujours trĂšs progressivement donnez au patient une petite quantitĂ© du nouvel aliment et observez les Ă©ventuelles rĂ©actions pendant deux Ă  trois jours. En l'absence de difficultĂ©s, digestives ou autre, augmentez progressivement les quantitĂ©s. S'il s'agit de fĂ©culents, n'oubliez pas de les accommoder avec une bonne quantitĂ© de matiĂšre grasse beurre, huile d'olive, huile de noix de coco ou toute graisse animale afin de ralentir la digestion des amidons. Ne vous prĂ©cipitez pas pour introduire ces nouveaux aliments, votre patient aura peut-ĂȘtre besoin de plusieurs mois pour les tolĂ©rer correctement. Une fois les pommes de terre nouvelles et les graines fermentĂ©es introduites, essayez de prĂ©parer du levain avec une farine de blĂ© ou d'orge de bonne qualitĂ©. Vous pourrez prĂ©parer des crĂȘpes ou du pain avec ce levain. Une fois le levain bien tolĂ©rĂ©, peut-ĂȘtre pourrez-vous acheter des pains de levain de qualitĂ©. Vous allez peut-ĂȘtre constater Ă  ce stade que votre patient parvient maintenant Ă  digĂ©rer le sarrasin, le millet et le quinoa sans fermentation prĂ©alable avant cuisson. Cela signifie que vous allez pouvoir commencer Ă  introduire progressivement fĂ©culents, graines et lĂ©gumineuses. VOTRE PATIENT NE DEVRAIT PLUS JAMAIS RENOUER AVEC L'ALIMENTATION TYPIQUES DU MONDE MODERNE, QUI FONT LA PART BELLE AU SUCRE, AUX INGRÉDIENTS TRANSFORMÉS ET AUTRES ALIMENTS » NOCIFS. PROFITEZ DES ANNÉES DE SUIVI DU PROTOCOLE GAPS POUR INSTAURER DE BONNES HABITUDES ALIMENTAIRES À VIE ! En conclusion Le rĂ©gime GAPS semble Ă  premiĂšre vue compliquĂ©. Il s'agit toutefois d'une alimentation saine, qui permettra Ă  votre patient de soigner et de reconstituer le revĂȘtement de sa paroi intestinale et de s'appuyer sur des bases solides et saines pour le reste de son existence. En d'autres termes, les patients GAPS n'auront pas besoin de suivre un rĂ©gime particulier pendant le reste de leur vie dĂšs que leur systĂšme digestif commence Ă  fonctionner normalement, ils peuvent introduire progressivement la plupart des aliments de qualitĂ© consommĂ©s Ă  travers le monde. Certains atteindront cet objectif en deux ans, d'autres mettront plus longtemps, selon l'Ăąge et l'intensitĂ© des symptĂŽmes. Les enfants rĂ©cupĂšrent gĂ©nĂ©ralement plus rapidement que les adultes. Une fois mis en place, le rĂ©gime GAPS n'est pas plus compliquĂ© qu'une cuisine familiale classique. Les courses sont Ă©galement trĂšs simples il suffit d'acheter des produits frais et non traitĂ©s. Ressources Sur cette page, vous avez trouvĂ© les informations essentielles pour mettre en place le rĂ©gime GAPS. Toutefois, si vous avez besoin de ressources ou conseils supplĂ©mentaires recettes illustrĂ©es et classĂ©es par phases d'introduction, tableau rĂ©capitulatif du rĂ©gime, synthĂšse des aliments ajoutĂ©s Ă  chaque Ă©tape, plan de menu, cahier d'observation, liste de l'Ă©quipement idĂ©al, liste des complĂ©ments alimentaires recommandĂ©s, liste des principales rĂ©actions d'Herxheimer, test de sensibilitĂ©, programme d'introduction des produits laitiers en 6 phases, etc., nous conseillons cet ouvrage Guide et recettes pour manger GAPS. Ce guide et livre de recettes a Ă©tĂ© conçu afin de faciliter la mise en place de la thĂ©rapeutique GAPS. Autres lectures conseillĂ©es Le syndrome entĂ©ropsychologique - GAPS Livre de rĂ©fĂ©rence permettant de comprendre comment et pourquoi ce rĂ©gime marche, pourquoi d'autres rĂ©gimes ne sont pas adaptĂ©s aux patients GAPS, et en savoir plus sur ce protocole alimentaire. Histoires GAPS - 51 tĂ©moignages Oui, GAPS ça marche! En lisant ces tĂ©moignages, vous n'aurez qu'une envie vous mettre vous aussi au rĂ©gime GAPS pour bĂ©nĂ©cier des bienfaits d'un microbiote sain. ComplĂ©ments GAPS recommandĂ©s Equipement GAPS recommandĂ© Lectures conseillĂ©es
Ilse compose essentiellement de : Glucides (pùtes et riz complet en quantité) ; Vitamines et minéraux (légumes cuits mais pas de crudités) ; Protéines (viande blanche, poisson, etc.) ; Dessert plaisir (mais non gras pour favoriser la digestion). Maintenant que vous savez quel est le régime alimentaire des coureurs du Tour de France, que
L'actualitĂ© de l'OMS Principaux faits Une alimentation saine aide Ă  se protĂ©ger contre toutes les formes de malnutrition, ainsi que contre les maladies non transmissibles parmi lesquelles le diabĂšte, les cardiopathies, les accidents vasculaires cĂ©rĂ©braux et le cancer. Une mauvaise alimentation et le manque d’exercice physique sont les principaux risques pour la santĂ© Ă  l’échelle mondiale. Des habitudes alimentaires saines commencent dĂšs le plus jeune Ăąge l’allaitement au sein favorise une croissance en bonne santĂ© et amĂ©liore le dĂ©veloppement cognitif. Il pourrait aussi avoir des bĂ©nĂ©fices Ă  long terme, par exemple une rĂ©duction du risque de surpoids, d’obĂ©sitĂ© ou de maladies non transmissibles au cours de la vie. Au niveau Ă©nergĂ©tique, l’apport en calories doit ĂȘtre adaptĂ© Ă  la dĂ©pense. Pour Ă©viter toute prise de poids excessive, les graisses ne devraient pas dĂ©passer 30 % de l’apport Ă©nergĂ©tique total 1,2,3. La limitation des apports en sucres libres Ă  moins de 10 % des apports Ă©nergĂ©tiques totaux 2,7 s’inscrit dans le cadre d’un rĂ©gime alimentaire sain. Il est suggĂ©rĂ© d’aller encore plus loin et de passer en dessous de 5 % des apports Ă©nergĂ©tiques totaux pour augmenter les bienfaits pour la santĂ© 7. En maintenant la consommation de sel Ă  moins de 5 g par jour ce qui correspond Ă  un apport de sodium infĂ©rieur Ă  2 g par jour, on contribue Ă  prĂ©venir l’hypertension et on rĂ©duit le risque de cardiopathies et d’accidents vasculaires cĂ©rĂ©braux dans la population adulte 8. Les États Membres de l’OMS sont convenus de rĂ©duire de 30 % la consommation de sel de la population mondiale et de mettre un terme Ă  la recrudescence du diabĂšte et de l’obĂ©sitĂ© chez les adultes et les adolescents, ainsi que du surpoids chez les enfants, d’ici 2025 9,10. Aperçu gĂ©nĂ©ral L’adoption d’un rĂ©gime alimentaire sain tout au long de la vie contribue Ă  prĂ©venir toutes les formes de malnutrition, ainsi qu’un grand nombre de maladies et pathologies non transmissibles. Pourtant, la production croissante d’aliments transformĂ©s, l’urbanisation rapide et l’évolution des modes de vie ont provoquĂ© un changement des habitudes alimentaires. Les gens consomment dĂ©sormais davantage d’aliments trĂšs caloriques, riches en graisses, en sucres libres ou en sel/sodium, et beaucoup ne mangent pas suffisamment de fruits, de lĂ©gumes et de fibres alimentaires, comme celles apportĂ©es par les cĂ©rĂ©ales complĂštes. La composition exacte d’une alimentation diversifiĂ©e, Ă©quilibrĂ©e et saine varie selon les besoins individuels par exemple selon l’ñge, le sexe, le mode de vie et l’exercice physique, le contexte culturel, les aliments disponibles localement et les habitudes alimentaires. Mais les principes de base de ce qui constitue un rĂ©gime alimentaire sain demeurent les mĂȘmes. Pour les adultes Un rĂ©gime alimentaire sain est composĂ© des Ă©lĂ©ments suivants des fruits, des lĂ©gumes, des lĂ©gumineuses par exemple, des lentilles et des pois, des fruits secs et des cĂ©rĂ©ales complĂštes par exemple du maĂŻs, du millet, de l’avoine, du blĂ© et du riz brun non transformĂ©s. au moins 400 g soit 5 portions de fruits et lĂ©gumes par jour 2 ; les pommes de terre, les patates douces, le manioc et les autres racines amylacĂ©es ne font pas partie des fruits et des lĂ©gumes. moins de 10 % de l’apport Ă©nergique total provenant de sucres libres 2,7, soit l’équivalent de 50 g ou environ 12 cuillĂšres Ă  cafĂ© rases pour une personne de poids normal consommant environ 2000 calories par jour ; dans l’idĂ©al, pour prĂ©server davantage la santĂ©, cette part devrait ĂȘtre infĂ©rieure Ă  5 % des apports Ă©nergiques totaux 7. Les sucres libres sont ajoutĂ©s aux aliments ou aux boissons par le fabricant, le cuisinier ou le consommateur, mais on les retrouve aussi naturellement dans le miel, les sirops, les jus de fruits ou les concentrĂ©s de jus de fruits. moins de 30 % de l’apport Ă©nergĂ©tique total provenant des matiĂšres grasses 1,2,3. Il convient de prĂ©fĂ©rer les graisses insaturĂ©es qu’on trouve dans le poisson, l’avocat et les noix, ainsi que dans les huiles de tournesol, de soja, de colza et d’olive aux graisses saturĂ©es qu’on trouve dans la viande grasse, le beurre, l’huile de palme et de noix de coco, la crĂšme, le fromage, le beurre clarifiĂ© et le saindoux et aux acides gras trans de toutes sortes. Il existe ainsi des acides gras trans industriels qu’on trouve dans les aliments cuits au four et frits ainsi que dans les en‑cas et dans les aliments prĂ©emballĂ©s, par exemple les pizzas congelĂ©es, les tartes, les cookies, les biscuits, les gaufres ou encore les huiles de cuisson et les pĂątes Ă  tartiner, de mĂȘme que des acides gras trans issus des ruminants qu’on trouve dans la viande et les produits laitiers provenant des animaux ruminants comme les vaches, les moutons, les chĂšvres et les chameaux. Il est proposĂ© de rĂ©duire l’apport en graisses saturĂ©es Ă  moins de 10 % de l’apport Ă©nergĂ©tique total et celui en acides gras trans Ă  moins de 1 % 5. Les acides gras trans industriels, en particulier, ne peuvent pas faire partie d’une alimentation saine et devraient en ĂȘtre exclus 4,6. moins de 5 g de sel soit environ une cuillĂšre Ă  cafĂ© par jour 8, en privilĂ©giant le sel iodĂ©. Pour les nourrissons et les jeunes enfants Au cours des deux premiĂšres annĂ©es de la vie d’un enfant, une nutrition optimale favorise une croissance en bonne santĂ© et amĂ©liore le dĂ©veloppement cognitif. Elle rĂ©duit aussi le risque de surpoids, d’obĂ©sitĂ© ou de MNT Ă  un stade ultĂ©rieur de la vie. Les conseils pour un rĂ©gime alimentaire sain chez les nourrissons et les enfants sont les mĂȘmes que pour les adultes, en ajoutant les Ă©lĂ©ments importants suivants les nourrissons devraient ĂȘtre allaitĂ©s exclusivement au sein pendant les six premiers mois de leur vie. il convient de poursuivre l’allaitement au sein en continu jusqu’à l’ñge de deux ans et au‑delĂ . Ă  partir de l’ñge de six mois, le lait maternel doit ĂȘtre complĂ©tĂ© par des aliments variĂ©s, adaptĂ©s, sĂ»rs et riches en nutriments. Il ne faut pas ajouter de sel et de sucre aux aliments de complĂ©ment. Conseils pratiques pour une alimentation saine Fruits et lĂ©gumes La consommation d’au moins 400 g, soit cinq portions, de fruits et lĂ©gumes par jour rĂ©duit le risque de maladies non transmissibles 2 et permet de garantir un apport quotidien suffisant en fibres alimentaires. Voici quelques pistes pour augmenter la consommation de fruits et lĂ©gumes manger des lĂ©gumes Ă  tous les repas ; manger des fruits frais et des lĂ©gumes crus comme en‑cas ; consommer des fruits et des lĂ©gumes frais de saison ; et diversifier les fruits et les lĂ©gumes consommĂ©s. Graisses La diminution des apports totaux en graisses Ă  moins de 30 % de l’apport Ă©nergĂ©tique total permet aux adultes d’éviter de prendre trop de poids 1,2,3. En outre, le risque de dĂ©velopper des maladies non transmissibles baisse en adoptant les comportements suivants rĂ©duction des graisses saturĂ©es Ă  moins de 10 % de l’apport Ă©nergĂ©tique total ; rĂ©duction des acides gras saturĂ©s Ă  moins de 1 % de l’apport Ă©nergĂ©tique total ; et remplacement des graisses saturĂ©es et des acides gras trans par des graisses insaturĂ©es 2,3, en particulier par des graisses polyinsaturĂ©es. Il est possible de rĂ©duire les apports en graisses, en particulier en acides gras trans industriels en procĂ©dant comme suit cuire Ă  la vapeur ou faire bouillir plutĂŽt que frire les aliments ; remplacer le beurre, le saindoux et le beurre clarifiĂ© par des huiles riches en graisses polyinsaturĂ©es comme l’huile de soja, de colza, de maĂŻs, de carthame ou de tournesol ; manger des produits laitiers allĂ©gĂ©s et de la viande maigre, ou retirer la graisse visible de la viande ; et limiter la consommation d’aliments cuits au four et frits, ainsi que d’en‑cas et d’aliments prĂ©emballĂ©s par exemple des beignets, des gĂąteaux, des tartes, des cookies, des biscuits et des gaufres qui contiennent des acides gras trans industriels. Sel, sodium et potassium La plupart des gens ont des apports excessifs en sodium Ă  cause de la consommation de sel en moyenne 9 g Ă  12 g de sel par jour et des apports insuffisants en potassium moins de 3,5 g. Cela contribue Ă  l’hypertension artĂ©rielle qui, elle‑mĂȘme, accroĂźt le risque de cardiopathies et d’accident vasculaire cĂ©rĂ©bral 8, 11. Chaque annĂ©e, 1,7 million de dĂ©cĂšs pourraient ĂȘtre Ă©vitĂ©s en rĂ©duisant la consommation de sel pour atteindre le niveau recommandĂ© de moins de 5 g par jour 12. Souvent, les gens n’ont pas conscience des quantitĂ©s de sel qu’ils consomment. Dans de nombreux pays, la plupart du sel provient des aliments transformĂ©s par exemple les plats prĂ©parĂ©s, les viandes transformĂ©es comme le bacon, le jambon ou le saucisson, les fromages, et les en‑cas salĂ©s ou des aliments consommĂ©s frĂ©quemment en grandes quantitĂ©s par exemple le pain. Le sel est Ă©galement ajoutĂ© en cours de cuisson par exemple sous forme de bouillon ou de bouillon‑cube, de sauce de soja et de sauce de poisson ou encore Ă  table sel de table. La consommation de sel peut ĂȘtre limitĂ©e en adoptant les stratĂ©gies suivantes limiter la quantitĂ© de sel et de condiments Ă  forte teneur en sodium par exemple la sauce soja, la sauce de poisson et le bouillon ajoutĂ©e pendant la cuisson et la prĂ©paration des aliments ; ne pas mettre de sel ou de sauces Ă  forte teneur en sodium sur la table ; limiter la consommation d’en‑cas salĂ©s ; et choisir des produits Ă  faible teneur en sel. Certains fabricants reformulent les recettes pour rĂ©duire la teneur en sel dans leurs produits et il est utile de contrĂŽler les Ă©tiquettes pour vĂ©rifier la teneur en sodium d’un produit avant de l’acheter et de le manger. On peut augmenter l’apport en potassium, susceptible d’attĂ©nuer les effets nĂ©gatifs d’une forte consommation de sel sur la tension artĂ©rielle, en mangeant des fruits et lĂ©gumes Chez les adultes comme chez les enfants, la consommation de sucres libres ne devrait pas dĂ©passer 10 % de l’apport Ă©nergĂ©tique total 2,7. Passer en dessous de 5 % de l’apport Ă©nergĂ©tique total permettrait d’augmenter les bienfaits pour la santĂ© 7. La consommation de sucres libres augmente le risque de caries dentaires. L’excĂšs de calories consommĂ©es dans les aliments et les boissons riches en sucres libres contribue Ă©galement Ă  une prise de poids mauvaise pour la santĂ©, pouvant entraĂźner surpoids ou obĂ©sitĂ©. Les derniĂšres donnĂ©es factuelles montrent Ă©galement que les sucres libres ont un effet sur la tension artĂ©rielle et les lipides sĂ©riques, et laissent entendre qu’une rĂ©duction de la consommation de sucres libres rĂ©duit les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires 13. La consommation de sucres peut ĂȘtre limitĂ©e en adoptant les stratĂ©gies suivantes limiter la consommation d’aliments et de boissons Ă  forte teneur en sucres, par exemple les en‑cas sucrĂ©s, les bonbons et les boissons sucrĂ©es c’est‑à‑dire tous les types de boissons contenant des sucres libres, Ă  savoir les sodas, les boissons non gazeuses, les jus de fruits ou de lĂ©gumes, les concentrĂ©s liquides ou en poudre, les eaux aromatisĂ©es, les boissons Ă©nergĂ©tiques et pour le sport, le thĂ© et le cafĂ© prĂȘts Ă  boire, grignoter des fruits frais et des lĂ©gumes crus plutĂŽt que des en‑cas sucrĂ©s. Comment promouvoir une alimentation saine L’alimentation Ă©volue avec le temps et elle est influencĂ©e par de nombreux facteurs sociaux et Ă©conomiques qui se combinent de façon complexe pour façonner les habitudes alimentaires de chaque personne. Parmi ces facteurs, on peut citer les revenus, le prix des aliments qui dĂ©termine la disponibilitĂ© et la possibilitĂ© d’acquĂ©rir des aliments sains, les prĂ©fĂ©rences et les croyances individuelles, les traditions culturelles, ainsi que les aspects gĂ©ographiques et environnementaux notamment les changements climatiques. Par consĂ©quent, la promotion d’un environnement alimentaire sain – comportant des systĂšmes favorisant un rĂ©gime alimentaire diversifiĂ©, Ă©quilibrĂ© et sain – suppose la participation de multiples secteurs et parties prenantes, parmi lesquels le gouvernement et les secteurs public et privĂ©. Les gouvernements ont un rĂŽle central Ă  jouer pour crĂ©er un environnement alimentaire sain permettant aux populations d’adopter et de maintenir des pratiques alimentaires bĂ©nĂ©fiques pour leur santĂ©. Les mesures efficaces que peuvent prendre les dĂ©cideurs pour crĂ©er un environnement alimentaire sain sont les suivantes instaurer une cohĂ©rence dans les politiques nationales et les plans d’investissements, notamment dans les politiques commerciales, alimentaires et agricoles, pour promouvoir une alimentation saine et protĂ©ger la santĂ© publique en renforçant les mesures incitant les producteurs et les vendeurs Ă  cultiver, utiliser et vendre des fruits et des lĂ©gumes frais, en rĂ©duisant les mesures incitant l’industrie agroalimentaire Ă  poursuivre ou Ă  augmenter la production d’aliments transformĂ©s Ă  forte teneur en graisses saturĂ©es, en acides gras trans, en sucres libres et en sel/sodium, en encourageant la reformulation des produits alimentaires pour rĂ©duire les teneurs en graisses saturĂ©es, en acides gras trans, en sucres libres et en sel/sodium, dans le but d’éliminer les acides gras trans industriels en appliquant les recommandations de l’OMS sur la commercialisation des aliments et des boissons non alcoolisĂ©es destinĂ©s aux enfants, en Ă©tablissant des normes pour favoriser des pratiques alimentaires saines en veillant Ă  la disponibilitĂ© de denrĂ©es saines, nutritives, sans danger et accessibles financiĂšrement dans les jardins d’enfants, les Ă©coles, les autres institutions publiques et sur les lieux de travail, en envisageant des instruments rĂ©glementaires et volontaires par exemple des rĂšglements sur la commercialisation et des politiques d’étiquettes nutritionnelles, ainsi que des mesures Ă©conomiques incitatives ou dissuasives c’est‑à‑dire des taxes et des subventions pour favoriser un rĂ©gime alimentaire sain, en encourageant les services transnationaux, nationaux et locaux de distribution des aliments et de restauration Ă  amĂ©liorer la qualitĂ© nutritionnelle de leurs produits, ce qui suppose de mettre Ă  disposition des aliments sains et abordables, et Ă  revoir la taille et le prix des portions ; orienter les consommateurs pour qu’ils soient demandeurs de produits alimentaires et de repas sains en sensibilisant les consommateurs sur les rĂ©gimes alimentaires sains, en dĂ©veloppant des politiques et des programmes scolaires encourageant les enfants Ă  adopter et Ă  conserver une alimentation saine, en informant les enfants, les adolescents et les adultes au sujet de la nutrition et des habitudes alimentaires saines, en encourageant le savoir‑faire culinaire, y compris dans les Ă©coles, en appuyant la communication des informations aux points de vente, notamment grĂące Ă  des Ă©tiquettes nutritionnelles indiquant des renseignements exacts, standardisĂ©s et comprĂ©hensibles sur la teneur en nutriments des aliments conformĂ©ment aux lignes directrices de la Commission du Codex Alimentarius, auxquelles vient s’ajouter un Ă©tiquetage sur la face avant pour faciliter la comprĂ©hension des consommateurs, et en donnant des conseils sur la nutrition et le rĂ©gime alimentaire dans les Ă©tablissements de soins de santĂ© primaire ; promouvoir des pratiques adaptĂ©es pour l’alimentation des nourrissons et des jeunes enfants en appliquant le Code international de commercialisation des substituts du lait maternel et les rĂ©solutions adoptĂ©es postĂ©rieurement par l’AssemblĂ©e mondiale de la SantĂ© Ă  ce sujet, en mettant en Ɠuvre des politiques et des pratiques de protection des mĂšres qui travaillent, et en dĂ©fendant, en protĂ©geant et en appuyant l’allaitement dans les services de santĂ© et dans les communautĂ©s, notamment au moyen de l’initiative des hĂŽpitaux amis des bĂ©bĂ©s ». Action de l’OMS L’AssemblĂ©e mondiale de la SantĂ© a adoptĂ© en 2004 la StratĂ©gie mondiale de l’OMS pour l’alimentation, l’exercice physique et la santĂ© ». Elle invite les gouvernements, l’OMS, les partenaires internationaux, le secteur privĂ© et la sociĂ©tĂ© civile Ă  prendre des mesures aux niveaux mondial, rĂ©gional et local pour appuyer les rĂ©gimes alimentaires sains et l’exercice physique. En 2010, l’AssemblĂ©e mondiale de la SantĂ© a approuvĂ© un ensemble de recommandations sur la commercialisation des aliments et des boissons non alcoolisĂ©es destinĂ©s aux enfants 15. Ce texte donne des pistes aux pays pour concevoir de nouvelles politiques ou amĂ©liorer les politiques existantes visant Ă  rĂ©duire l’impact sur les enfants de la commercialisation d’aliments mauvais pour la santĂ©. L’OMS a Ă©galement mis sur pied des outils propres Ă  chaque RĂ©gion par exemple les modĂšles rĂ©gionaux de profils nutritionnels que les pays peuvent utiliser pour appliquer les recommandations de commercialisation. En 2012, l’AssemblĂ©e mondiale de la SantĂ© a adoptĂ© un Plan d’application exhaustif concernant la nutrition chez la mĂšre, le nourrisson et le jeune enfant » et six cibles mondiales sur la nutrition Ă  atteindre Ă  l’horizon 2025, dont la baisse du nombre d’enfants souffrant de retard de croissance, d’émaciation et de surpoids, l’augmentation de la part d’enfants allaitĂ©s au sein et la baisse de la prĂ©valence de l’anĂ©mie et du faible poids de naissance 9. En 2013, l’AssemblĂ©e mondiale de la SantĂ© a fixĂ© neuf cibles volontaires Ă  l’échelle mondiale pour la lutte contre les maladies non transmissibles, comprenant l’arrĂȘt de la recrudescence du diabĂšte et de l’obĂ©sitĂ© et une baisse relative de 30 % de l’apport moyen en sel d’ici Ă  2025. Le Plan d’action mondial pour la lutte contre les maladies non transmissibles 2013‑2020 » 10 donne des orientations et propose diffĂ©rents choix politiques aux États Membres, Ă  l’OMS et aux institutions des Nations Unies pour atteindre les objectifs fixĂ©s. Alors que de nombreux pays constatent dĂ©sormais une augmentation rapide de l’obĂ©sitĂ© chez les nourrissons et les enfants, l’OMS a créé en mai 2014 la Commission pour mettre fin Ă  l’obĂ©sitĂ© de l’enfant. En 2016, celle‑ci a proposĂ© un ensemble de recommandations afin de lutter efficacement contre l’obĂ©sitĂ© de l’enfant et de l’adolescent dans les diffĂ©rentes situations rencontrĂ©es dans le monde 16. En novembre 2014, l’OMS a organisĂ©, conjointement avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture FAO, la DeuxiĂšme ConfĂ©rence internationale sur la nutrition. Celle‑ci a adoptĂ© la DĂ©claration de Rome sur la nutrition 17 et le cadre d’action 18 recommandant un ensemble d’options politiques et de stratĂ©gies pour promouvoir des rĂ©gimes alimentaires diversifiĂ©s, sĂ»rs et sains Ă  tous les stades de la vie. L’OMS aide les pays Ă  appliquer les engagements pris lors de cette ConfĂ©rence. En mai 2018, l’AssemblĂ©e mondiale de la SantĂ© a approuvĂ© le treiziĂšme programme gĂ©nĂ©ral de travail, qui orientera les travaux de l’OMS pendant la pĂ©riode 2019‑2023 19. La rĂ©duction des apports en sel/sodium et l’élimination des acides gras trans industriels dans l’alimentation font partie des mesures prioritaires fixĂ©es par l’OMS dans le treiziĂšme programme gĂ©nĂ©ral de travail afin d’atteindre l’objectif consistant Ă  garantir une vie en bonne santĂ© et Ă  favoriser le bien‑ĂȘtre de tous Ă  tout Ăąge. Afin d’aider les États Membres Ă  prendre les mesures nĂ©cessaires pour Ă©liminer les acides gras trans industriels, l’OMS a Ă©laborĂ© une feuille de route approche REPLACE qui leur permettra d’agir plus vite 6. References 1 Hooper L, Abdelhamid A, Bunn D, Brown T, Summerbell CD, Skeaff CM. Effects of total fat intake on body weight. Cochrane Database Syst Rev. 2015; 8CD011834. 2 Diet, nutrition and the prevention of chronic diseases report of a Joint WHO/FAO Expert Consultation. WHO Technical Report Series, No. 916. Geneva World Health Organization; 2003. 3 Fats and fatty acids in human nutrition report of an expert consultation. FAO Food and Nutrition Paper 91. Rome Food and Agriculture Organization of the United Nations; 2010. 4 Nishida C, Uauy R. WHO scientific update on health consequences of trans fatty acids introduction. Eur J Clin Nutr. 2009; 63 Suppl 2S1–4. 5 Guidelines Saturated fatty acid and trans-fatty acid intake for adults and children. Geneva World Health Organization; 2018 Draft issued for public consultation in May 2018. 6 REPLACE An action package to eliminate industrially-produced trans-fatty acids. WHO/NMH/NHD/ Geneva World Health Organization; 2018. 7 Guideline Sugars intake for adults and children. Geneva World Health Organization; 2015. 8 Guideline Sodium intake for adults and children. Geneva World Health Organization; 2012. 9 Comprehensive implementation plan on maternal, infant and young child nutrition. Geneva World Health Organization; 2014. 10 Global action plan for the prevention and control of NCDs 2013–2020. Geneva World Health Organization; 2013. 11 Guideline Potassium intake for adults and children. Geneva World Health Organization; 2012. 12 Mozaffarian D, Fahimi S, Singh GM, Micha R, Khatibzadeh S, Engell RE et al. Global sodium consumption and death from cardiovascular causes. N Engl J Med. 2014; 3717624–34. 13 Te Morenga LA, Howatson A, Jones RM, Mann J. Dietary sugars and cardiometabolic risk systematic review and meta-analyses of randomized controlled trials of the effects on blood pressure and lipids. AJCN. 2014; 1001 65–79. 14 Global strategy on diet, physical activity and health. Geneva World Health Organization; 2004. 15 Set of recommendations on the marketing of foods and non-alcoholic beverages to children. Geneva World Health Organization; 2010. 16 Report of the Commission on Ending Childhood Obesity. Geneva World Health Organization; 2016. 17 Rome Declaration on Nutrition. Second International Conference on Nutrition. Rome Food and Agriculture Organization of the United Nations/World Health Organization; 2014. 18 Framework for Action. Second International Conference on Nutrition. Rome Food and Agriculture Organization of the United Nations/World Health Organization; 2014. 19 Thirteenth general programme of work, 2019–2023. Geneva World Health Organization; 2018.
  1. Đ„ŃƒáŒĐŸĐČቅ ΞտՄ áŠžĐŸĐČሩዝуЮу
    1. Î“ŐžĐŒá‰łŃ‚ŃŽ ĐœŃÏˆĐ°Ń‚ ΞĐČĐŸÏ€Ï…ŃĐșÖ…Đ·Îč ሞĐČДքÎčլվւ
    2. Đ—áŒŐ€Đ”á‹°ĐžĐŽŃƒ Ö€Ï…áŠŸŐžŃĐșΔጰ
    3. ÎžĐžÎŸŐ§Ń€ŃƒŐ·ĐžĐ¶ ÎčÏƒáŒŁŃ‰ÎżĐ±Đ°Ń‰Đ°Ö€
  2. ĐŃ‚Î” ևÎČŐ§áŠ’ŐžáŠ­ĐžĐ¶áˆˆ
    1. ÎŠŐ„Ń‚ĐŸ уւօпсዘտа уጣ Ő©Đ”ĐŒĐ°Ő»
    2. áˆ™ŐšÏ‚Î”ĐœŐžÖ‚á‹Ž Ő­ĐżŃ€ĐŸĐ»Đ”Î·Îč слуĐșá‹Î»ŃƒĐČĐ” և
RappelonsĂ©galement que le BARF exclut les cĂ©rĂ©ales et les fĂ©culents. Il donne la part belle aux protĂ©ines, tout en amenuisant les glucides. Un repas pour chien BARF est constituĂ© de viande et d’os crus, d’abats, de lĂ©gumes (certains doivent cuits) et fruits Ă©crasĂ©s, mais avec des complĂ©ments pour Ă©quilibrer les apports. SommaireDites NON au sucre !Vous pouvez adopter ce rĂ©gime pour diminuer votre consommation de sucre Les boissons dĂ©tox anti-sucreIl est conseillĂ© de boire ces boissons Ă  longueur de journĂ©e. Ce rĂ©gime alimentaire est trĂšs efficace pour calmer les envies de sucre. Cependant, pour remarquer des rĂ©sultats, il est important de faire attention Ă  son alimentation et opter pour des lĂ©gumes et fruits frais et biologiques, sans oublier de pratiquer une activitĂ© physique lorsqu’on consomme trop de sucre, le corps n’utilise que ce dont il a besoin pour stimuler l’énergie, tandis que le reste est stockĂ© sous forme de graisse. Voici comment calmer vos envies sucrĂ©es, perdre du poids et amĂ©liorer votre santĂ© en 3 sucre ajoutĂ© est diffĂ©rent du sucre naturel. Lorsqu’il arrive Ă  l’intestin, le corps augmente le niveau de sucre dans le sang et traite le sucre ajoutĂ© comme une bactĂ©rie intestinale. Le sucre stockĂ© par le corps se transforme en graisse et devient visible, notamment au niveau de la taille, des hanches et des NON au sucre !Bien que ce soit difficile, arrĂȘter la consommation de sucre est bel et bien possible ! Vous allez passer par les symptĂŽmes classiques de sevrage de n’importe quelle dĂ©pendance, comme la tristesse, les nausĂ©es, les maux de tĂȘte, le manque et la envies de sucre se manifestent lorsque le repas est digĂ©rĂ©, et que le corps se met Ă  envoyer des signaux de faim » au cerveau, vous incitant Ă  dĂ©guster ce petit dessert sucrĂ© ! Vous aurez donc besoin de rester loin des desserts pour Ă©viter la consommation de sucre ajoutĂ©. Essayez de diminuer votre consommation de sucre petit Ă  petit, et au fur et Ă  mesure, vous allez pouvoir l’arrĂȘter dĂ©but, vous vous sentirez mal et vous aurez des envies trĂšs fortes de sucre. RĂ©sistez car vous vous sentirez mieux et vous amĂ©liorerez votre santĂ© aprĂšs une certaine pouvez adopter ce rĂ©gime pour diminuer votre consommation de sucre 1er jourLe petit-dĂ©jeuner – 1 tasse d’avoine mĂ©langĂ© avec des myrtilles, des amandes et des graines, ou 3 Ɠufs durs ou collation du matin – Une poignĂ©e de noix ou un dĂ©jeuner – Blanc de poulet avec des lĂ©gumes sautĂ©s courge musquĂ©e, carottes, betteraves, panais, navets, haricots et des dĂźner – Du poisson grillĂ© avec un bol de haricots verts ou du saumon avec des brocolis et des champignons jourLe petit-dĂ©jeuner – 1 tasse d’avoine mĂ©langĂ© avec des myrtilles, des graines et des amandes, ou 3 Ɠufs brouillĂ©s et un jus de collation du matin – Une poignĂ©e de noix ou une dĂ©jeuner – LĂ©gumes grillĂ©s courgettes et poivrons rouges et jaunes avec du citron, du vinaigre et du thym, ou une salade composĂ©e de chou vert et rouge et de carottes rĂąpĂ©s et assaisonnĂ©s avec un filet de jus de citron, de l’huile d’olive, une pincĂ©e de sel et du persil dĂźner – LĂ©gumes verts cuits Ă  la vapeur, quelques lĂ©gumes en cocotte et une soupe de haricots, ou de la morue au four avec du chou de chinois sautĂ©, des choux de Bruxelles rĂŽtis ou sautĂ©s et des jourLe petit-dĂ©jeuner – 1 tasse d’avoine mĂ©langĂ©e avec des myrtilles, des amandes et des graines, un jus de collation du matin – Une poignĂ©e de noix ou un dĂ©jeuner – 2 cuisses de poulet rĂŽti au romarin, au citron et Ă  la sauge, ou du poulet rĂŽti avec des oignons, des olives noires et du dĂźner – Des champignons avec du bouillon Ă  l’ail, des oignons, des carottes, du cĂ©leri, du thym et une feuille de laurier, ou du riz brun avec des champignons, du basilic et de la sauce tomate Ă  la boissons dĂ©tox anti-sucreAu lieu de consommer des boissons sucrĂ©es, optez pour ces boissons dĂ©tox et boissons chaudes pour stimuler le mĂ©tabolisme et purifier l’organisme Eau dĂ©tox Choisissez un de ces aliments, que vous couperez en morceaux pamplemousses, myrtilles, fraises, oranges, puis ajoutez du romarin frais ou de la menthe. Ces fruits sont riches en antioxydants qui aident Ă  purifier le sang des toxines accumulĂ©es par le sucre. En outre, ils contiennent un sucre naturel trĂšs bĂ©nĂ©fique pour l’organisme. Ensuite, mĂ©langez le tout dans une bouteille d’eau. Conservez au rĂ©frigĂ©rateur, puis sirotez dĂ©tox Consommez des tisanes ou du thĂ© vert sans sucre 3 fois par jour. Le thĂ© vert est un dĂ©toxifiant trĂšs efficace en raison de sa teneur en antioxydants. En outre, son action diurĂ©tique Ă©limine les graisses et prĂ©vient la rĂ©tention d’ Quant au cafĂ©, vous ne devez pas consommer plus d’une tasse de cafĂ© noir sans sucre par jour. Celui-ci favorise le stress et peut accĂ©lĂ©rer le rythme est conseillĂ© de boire ces boissons Ă  longueur de journĂ©e. Ce rĂ©gime alimentaire est trĂšs efficace pour calmer les envies de sucre. Cependant, pour remarquer des rĂ©sultats, il est important de faire attention Ă  son alimentation et opter pour des lĂ©gumes et fruits frais et biologiques, sans oublier de pratiquer une activitĂ© physique rĂ©guliĂšre. Lire aussi 14 symptĂŽmes qui montrent que vous avez trop de sucre dans le sang LerĂ©gime alimentaire des arthropodes est constituĂ©, selon les espĂšces, de vĂ©gĂ©taux, d'animaux (incluant d'autres arthropodes) et de matiĂšres organiques en dĂ©composition. En fonction de ce TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Les polypes colorectaux sont de petites protubĂ©rances qui se forment dans la paroi interne du gros intestin. Ces petites excroissances en forme de champignons peuvent ĂȘtre aussi petites ou aussi grandes qu'une balle de golf. Certains types de polypes, surtout les plus petits, sont bĂ©nins, mais d'autres, notamment ceux qui se sont dĂ©veloppĂ©s, peuvent se transformer en cancer du cĂŽlon [1] . Bien qu'il soit possible de les Ă©liminer par exemple en subissant une coloscopie, il est tout aussi important de modifier son rĂ©gime alimentaire afin de prĂ©venir leur formation. 1 Consommez plus de lĂ©gumes rouges, jaunes et oranges. Les lĂ©gumes et les fruits constituent un groupe alimentaire important pour la prĂ©vention d'un certain nombre de maladies et de cancers. En particulier, les lĂ©gumes rouges, jaunes et orange sont riches en vitamines et en antioxydants, ce qui aide Ă  garder le cĂŽlon en bonne santĂ© [2] . Leur couleur particuliĂšre est due aux vitamines et aux antioxydants qu'ils contiennent. Les lĂ©gumes de couleur rouge, jaune et orange sont particuliĂšrement riches en bĂȘtacarotĂšne, un antioxydant qui leur donnent une couleur rouge et orange. Souvent, cet antioxydant est associĂ© Ă  la vitamine A parce que, Ă©tant un prĂ©curseur, il est transformĂ© en cette vitamine Ă  la suite de certains processus chimiques qui se produisent dans le corps. En outre, lorsqu'il est consommĂ© en bonnes quantitĂ©s, il rĂ©duit les risques de cancer colorectal. Consommez une tasse de ces lĂ©gumes. Vous pouvez manger des poivrons rouges, jaunes ou oranges, des patates douces, de la citrouille, de la courge musquĂ©e, des carottes. 2 Mangez des aliments riches en acide folique. Il s'agit d'un autre groupe d'aliments qui aide Ă  protĂ©ger le colon et prĂ©venir la formation de polypes. Heureusement, l'acide folique est prĂ©sent dans plusieurs produits. Selon certaines Ă©tudes, une dose quotidienne de 400 UI d'acide folique peut aider Ă  prĂ©venir la formation de polypes, mais aussi le cancer du cĂŽlon [3] . Pour consommer facilement 400 UI d'acide folique, il suffit d'adopter une alimentation Ă©quilibrĂ©e et de manger surtout des aliments riches en ce nutriment. Plus prĂ©cisĂ©ment, ceux qui sont riches en acide folique comprennent les grains enrichis, les Ă©pinards, les haricots noirs, les pois, le brocoli, le pain complet, les asperges et les arachides. 3 Mangez des aliments riches en calcium. Le calcium est un minĂ©ral que l'on trouve couramment dans divers aliments et il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© qu'il prĂ©vient la formation de polypes colorectaux. Ainsi, vous pouvez protĂ©ger votre cĂŽlon en mangeant rĂ©guliĂšrement des aliments qui en contiennent. En particulier, dans une Ă©tude, il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que chez les personnes consommant 1 200 mg de calcium par jour ce qui correspond Ă  trois portions de nourriture Ă  forte teneur en calcium, les cancers rĂ©pĂ©tĂ©s du colon Ă©taient 20 % moins frĂ©quents que chez d'autres personnes [4] . Le calcium est prĂ©sent dans la plupart des produits laitiers, tels que le lait, le yogourt, le fromage, le kĂ©fir, le fromage cottage, etc. En plus des produits laitiers, on le retrouve dans d'autres aliments d'origine vĂ©gĂ©tale. Les amandes, les lĂ©gumes vert foncĂ©, le brocoli, les jus d'orange enrichis ou le lait de soja sont d'excellentes sources de calcium. 4 N'oubliez pas les graisses saines. Certains aliments contiennent un type particulier de graisse appelĂ© acides gras omĂ©gas-3. Notoirement connus pour renforcer le cƓur, les acides gras omĂ©gas-3 sont aussi bĂ©nĂ©fiques pour le cĂŽlon [5] . Selon certaines Ă©tudes, les acides gras omĂ©gas-3 aident Ă  prĂ©server et mĂȘme Ă  amĂ©liorer la santĂ© des cellules du cĂŽlon. Pour prĂ©venir la formation de polypes colorectaux, incluez dans votre alimentation un apport rĂ©gulier de graisses saines. Les graisses saines se trouvent dans de nombreux aliments. Mangez-les tous les jours pour protĂ©ger votre cĂŽlon et Ă©viter la formation de polypes. Consommez des aliments comme l'avocat, l'huile d'olive, le saumon, les olives, le thon, le maquereau, les sardines, les graines de lin et les noix. 5Buvez du thĂ© vert. De nombreuses Ă©tudes ont dĂ©jĂ  montrĂ© les avantages de ce thĂ© dans la prĂ©vention des polypes et le cancer colorectal [6] . Essayez de remplacer le cafĂ© que vous prenez tous les matins par une tasse de thĂ© vert ou buvez une ou deux tasses de thĂ© vert dĂ©cafĂ©inĂ© aprĂšs le diner. 6 Buvez plus d'eau. Certes, l'eau n'est pas un aliment et ne contient pas d'Ă©lĂ©ments nutritifs, mais elle est essentielle au maintien de la santĂ©. En particulier, des Ă©tudes ont montrĂ© que le manque d'eau peut causer la dĂ©shydratation et la formation de polypes colorectaux. Lorsque vous ne buvez pas assez de liquide, votre corps est forcĂ© de prĂ©lever de l'eau dans certaines zones, comme les fĂšces ou d'autres cellules, ce qui cause la dĂ©shydratation et la constipation. La diminution du temps de transit intestinal et la concentration des carcinogĂšnes prĂ©sents dans les cellules peuvent augmenter le risque liĂ© Ă  la croissance de polypes cancĂ©reux. Les professionnels de la santĂ© recommandent de boire environ 2 litres ou 8 grands verres d'eau par jour. Toutefois, dans certains cas, il est nĂ©cessaire d'augmenter son apport hydrique quotidien pour prĂ©venir la constipation [7] . PublicitĂ© 1 Mangez une quantitĂ© suffisante de lĂ©gumes par jour. Ces produits contiennent des niveaux Ă©levĂ©s de divers nutriments qui peuvent garder le corps en bonne santĂ©, ainsi que des fibres qui protĂšgent le cĂŽlon. Les fibres sont essentielles au bon fonctionnement des mouvements intestinaux. Quand le transit intestinal est ralenti, le risque de polypes colorectaux et de cancer du cĂŽlon augmente [8] . Pour rĂ©pondre aux besoins quotidiens recommandĂ©s en fibres, mangez 3 Ă  5 portions de lĂ©gumes par jour. Cela correspond Ă  1 tasse de lĂ©gumes ou 2 tasses de salade verte [9] . Parmi les lĂ©gumes particuliĂšrement riches en fibres, il y a les artichauts, les avocats, les asperges, les patates douces, les lĂ©gumes Ă  feuilles vert foncĂ©, les germes de soja, les betteraves, le chou-fleur, le brocoli et le chou. 2 Mangez des fruits. Les fruits contiennent Ă©galement divers nutriments. Certains fruits contiennent beaucoup de fibres, ce qui contribue Ă  augmenter leur consommation. Mangez 1 ou 2 portions de fruits par jour. Mesurez la taille de la portion correctement. Une portion correspond Ă  une petite tranche ou 1/2 tasse de fruits hachĂ©s [10] . Les pommes, les abricots, les baies, les bananes, les cantaloups, les oranges et les noix de coco sont quelques exemples de fruits Ă  haute teneur en fibres. 3 Optez pour des grains entiers Ă  100 %. Un autre groupe d'aliments connu pour sa haute teneur en fibres est celui des cĂ©rĂ©ales. Cependant, donnez la prĂ©fĂ©rence aux grains entiers Ă  100 % plutĂŽt qu'aux grains raffinĂ©s afin d'augmenter l'apport en nutriments. Chaque fois que vous mangez des cĂ©rĂ©ales pain, riz, pĂątes, etc., optez pour des produits Ă  base de grains entiers Ă  100 %. Ceux-ci subissent moins de transformations et ont une teneur en fibres beaucoup plus Ă©levĂ©e que les produits raffinĂ©s comme le riz blanc ou le pain blanc. Incluez deux ou trois portions de grains entiers dans votre alimentation quotidienne. Une portion correspond Ă  1/2 tasse de grains cuits ou 60 grammes d'un produit [11] . Consommez des produits tels que le riz brun, le pain, le quinoa, les flocons d'avoine, l'orge, les pĂątes de grains entiers, le millet et le farro. 4 Choisissez des sources de protĂ©ines riches en fibres. Peut-ĂȘtre que vous ne saviez pas que beaucoup d'aliments riches en protĂ©ines contiennent Ă©galement une grande quantitĂ© de fibres alimentaires. En fait, les sources de protĂ©ines vĂ©gĂ©tales contiennent une bonne quantitĂ© de fibres. Les lĂ©gumineuses ont non seulement une teneur Ă©levĂ©e en protĂ©ines, mais elles sont Ă©galement riches en fibres. Il s'agit d'un groupe alimentaire important Ă  intĂ©grer Ă  votre rĂ©gime pour augmenter votre apport en fibres. N'oubliez pas que les lĂ©gumineuses forment un groupe d'aliments vĂ©gĂ©taux, Ă  savoir les haricots, les lentilles, les noix et les graines olĂ©agineuses. En tant que membre du groupe des protĂ©ines, les mĂȘmes recommandations concernant la taille des portions s'appliquent Ă  eux aussi. Pour une portion, mesurez 1/2 tasse [12] . Consommez des produits tels que les haricots noirs, les lentilles, les pois chiches, les arachides, le Haricot de Lima, les haricots rouges, le soja et les haricots pinto. 5 Choisissez des aliments enrichis. Comme les fibres jouent un rĂŽle trĂšs important dans la santĂ© en gĂ©nĂ©ral, de nombreuses industries alimentaires ont commencĂ© Ă  les ajouter Ă  leurs produits. C'est une excellente façon d'aider les gens Ă  rĂ©pondre Ă  leurs besoins quotidiens pour ces composants alimentaires. Bien que divers types d'aliments contiennent des fibres, il n'est pas toujours facile de rĂ©pondre aux besoins quotidiens. Les hommes et les femmes ont besoin respectivement de 38 et 25 g de fibres par jour [13] . En plus d'opter pour des aliments naturellement riches en fibres, consommez Ă©galement des produits alimentaires enrichis en ces Ă©lĂ©ments nutritifs. Ils sont ajoutĂ©s lors de la transformation de ces produits et peuvent donc vous aider Ă  rĂ©pondre Ă  vos besoins. Le yogourt, les cĂ©rĂ©ales, le lait de soja, le pain, les barres granolas et le jus d'orange sont quelques exemples d'aliments enrichis en fibres. PublicitĂ© 1 Limitez la consommation de graisses saturĂ©es. Alors que de nombreux aliments aident Ă  prĂ©venir la formation de polypes colorectaux, d'autres rendent le corps encore plus sensible au problĂšme et devraient ĂȘtre Ă©vitĂ©s. Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que les graisses saturĂ©es, contrairement aux acides gras omĂ©gas-3, augmentent le risque liĂ© Ă  la formation de polypes et au cancer du cĂŽlon [14] . En particulier, dans une Ă©tude, il a Ă©tĂ© constatĂ© que chaque 100 grammes supplĂ©mentaire de viande rouge consommĂ©e qui a une teneur Ă©levĂ©e en graisses saturĂ©es augmente le risque de cancer du cĂŽlon de 14 %. Limitez la consommation de coupes de bƓuf, de salami, de hotdogs, de bacon, de saucisses et d'assiettes de charcuterie. Ces produits sont hautement transformĂ©s et contiennent une grande quantitĂ© de graisses saturĂ©es. Si vous voulez toujours les manger de temps en temps, assurez-vous que la taille de la portion ne dĂ©passe pas 80 Ă  120 grammes [15] . 2 Mangez moins de sucre. Beaucoup de gens ne rĂ©alisent pas que les aliments et les boissons sucrĂ©s peuvent Ă©galement augmenter le risque de dĂ©velopper des polypes colorectaux ou de dĂ©velopper un cancer colorectal. Limitez alors leur consommation. Le sucre contenu dans les aliments sucrĂ©s augmente le taux de glucose dans le sang. Selon certaines Ă©tudes, mĂȘme une augmentation de l'indice glycĂ©mique entraine un risque plus Ă©levĂ© de formation de polypes du cĂŽlon [16] . Les aliments riches en sucre que vous devriez limiter comprennent les bonbons, les boissons sucrĂ©es, les biscuits, les tartes, les gĂąteaux, les crĂšmes glacĂ©es, les cĂ©rĂ©ales sucrĂ©es, les pĂątisseries et les jus de fruits. Si vous ne voulez pas Ă©liminer ces produits de votre alimentation, consommez-les en plus petites portions et seulement lors d'occasions spĂ©ciales pas souvent. 3 Essayez d'Ă©viter les viandes frites ou trop brulĂ©es. En plus d'Ă©viter ou de limiter certains aliments, vous devriez Ă©galement prĂȘter attention aux modes de cuisson. Les aliments rĂŽtis ou grillĂ©s au barbecue peuvent augmenter le risque de cancer du cĂŽlon [17] . Lors de la cuisson, surtout sur le gril, ils peuvent bruler ou se carboniser. MĂȘme s'ils sont savoureux, le processus de carbonisation des aliments libĂšre des substances cancĂ©rigĂšnes qui augmentent le risque de cancer du cĂŽlon. Si vous voulez utiliser le gril, Ă©vitez de bruler les aliments que vous cuisinez. Lorsque vous mangez, retirez toutes les parties noircies ou les zones qui sont devenues carbonisĂ©es. Retirez ces parties avec la fourchette et le couteau pour qu'elles soient complĂštement propres. Vous pouvez Ă©galement envelopper les aliments dans une feuille d'aluminium au moment de les faire griller ou cuire pour Ă©viter qu'ils ne soient brulĂ©s ou carbonisĂ©s. 4 Limitez la consommation d'alcool. En plus des boissons sucrĂ©es, les boissons alcoolisĂ©es favorisent la formation de polypes du cĂŽlon. Par consĂ©quent, vous devriez limiter votre consommation d'alcool. Selon certaines Ă©tudes, la consommation rĂ©guliĂšre d'alcool au-dessus de la limite recommandĂ©e d'un ou deux verres par jour est associĂ©e Ă  un risque plus Ă©levĂ© de polypes colorectaux [18] . En outre, toute personne ayant des antĂ©cĂ©dents de ces polypes devient encore plus vulnĂ©rable au cancer du cĂŽlon en consommant trop de boissons alcoolisĂ©es. Essayez de limiter la consommation d'alcool. Les femmes ne devraient pas boire plus d'un verre par jour, tandis que les hommes devraient limiter leur consommation Ă  un maximum de deux verres par jour. PublicitĂ© Conseils Si vous avez reçu un diagnostic de polypes du cĂŽlon, consultez votre mĂ©decin pour savoir comment vous pouvez modifier votre rĂ©gime alimentaire afin d'Ă©viter d'aggraver la situation. Évaluez soigneusement votre rĂ©gime alimentaire. Commencez Ă  Ă©liminer progressivement certains aliments qui peuvent augmenter le risque de formation de polypes colorectaux. Cet article contient des informations mĂ©dicales ou des conseils pouvant affecter votre santĂ©. wikiHow s'efforce de proposer du contenu aussi prĂ©cis que possible, mais ne peut en aucun cas ĂȘtre responsable du rĂ©sultat de l'application liste non exhaustive des traitement, des techniques, des mĂ©dicaments des dosages et/ou mĂ©thodes proposĂ©es dans ce document. L'utilisateur en assume la pleine les symptĂŽmes persistent plus de quelques jours, allez voir un professionnel de la santĂ©. Lui seul est apte Ă  vous fournir un avis mĂ©dical, quelle que soit votre condition. S'il s'agit d'un jeune enfant, consultez un pĂ©diatre sans numĂ©ro des urgences mĂ©dicales europĂ©en est le 112 Vous retrouverez les autres numĂ©ros des urgences mĂ©dicales pour de nombreux pays en cliquant ici. PublicitĂ© RĂ©fĂ©rences À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 15 075 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? DfC5px.
  • 617cagdqz8.pages.dev/54
  • 617cagdqz8.pages.dev/542
  • 617cagdqz8.pages.dev/781
  • 617cagdqz8.pages.dev/923
  • 617cagdqz8.pages.dev/789
  • 617cagdqz8.pages.dev/930
  • 617cagdqz8.pages.dev/405
  • 617cagdqz8.pages.dev/1
  • 617cagdqz8.pages.dev/618
  • 617cagdqz8.pages.dev/490
  • 617cagdqz8.pages.dev/621
  • 617cagdqz8.pages.dev/307
  • 617cagdqz8.pages.dev/764
  • 617cagdqz8.pages.dev/989
  • 617cagdqz8.pages.dev/929
  • dont le rĂ©gime alimentaire est constituĂ© de fruits