2104/2020 14:35 | ND de la Bidassoa 143 mots " J'avais faim et vous m'avez donné à manger " "J'étais nu et vous m'avez habillé ; j'étais en prison et vous m'avez visité " “Amen, je vous le dis, chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.” VID-20200421-WA0009.mp4 ©
Conseils de Jésus au Père Migliorini et à de Jésus portant la croixLe 13 août 1943 Jésus dit “Je vais répéter ce que j’ai déjà dit [1] à propos d’une âme que tu dois m’aider à amener à la Lumière. Comme cela, le Père aussi saura comment se comporter. De plus, je le répète en réponse à des questions du Père qui, il peut en être sûr, est bien dans son champ d’apostolat [2] et aura à y travailler encore beaucoup parce que les païens sont là et il est mon missionnaire. Qu’il s’arme donc de force, de patience et de constance, et qu’il travaille les cœurs pour moi, ces cœurs plus sourds que les pierres, pour que ma Voix entre en eux. 224> Qu’elle y entre. Si, une fois qu’elle est entrée, les cœurs ne veulent pas la transformer en vie, tant pis pour eux. Moi, ma petite porteuse et mon missionnaire, serons justifiés auprès du Père [3]. En ce qui concerne les cœurs, ils auront à en répondre, puisqu’ils se seront fermés à la miséricorde de Dieu qui utilise tous les moyens, de son Fils bien-aimé aux serviteurs fidèles du Fils, pour apporter un secours surnaturel aux créatures. Que le Père utilise donc tout ce qu’il juge utile dans ce que je te dis. Ce sont des perles que je lui donne gratuitement. Mais de toutes les perles, j’en garde une, la perle maîtresse pour ainsi dire. Je te garde toi, dont je suis jaloux et sur qui j’exerce un pouvoir absolu de possession. Tu n’es pas Maria, et on ne doit pas te connaître en tant que Maria. Tu es un soupir que pousse mon cœur, un vent qui souffle et rafraîchit les fronts sans qu’on sache d’où il vient ni quel nom il porte. Ta personnalité est anéantie. En tant que créature, tu dois être un rien. Tu dois ne pas être. Si tu cesses d’être, personne ne te connaîtra comme l’écrivain de ma pensée, personne en dehors de deux ou trois personnes privilégiées, qui le sont par ma volonté. Tu es la respiration de Jésus et c’est tout. Plus tard, quand je le voudrai et personne ne pourra te nuire, on connaîtra le nom de ma petite voix. Mais alors, tu seras ailleurs, là où la mesquinerie humaine n’arrive pas et la méchanceté ne peut agir. En ce qui concerne cette âme et beaucoup d’autres comme elle, il faut exercer une charité super-parfaite, comme moi je l’ai souvent fait dans ma vie terrestre. Ce sont des âmes à peine ébauchées. Tout en elles, aspire ardemment, d’instinct, à un perfectionnement, tend à plus de forme, comme le nouveau-né qui se nourrit, s’agite, vagit, aspire à savoir se nourrir avec de vrais aliments, à se déplacer avec de vrais pas, à s’exprimer avec de vraies paroles. Et il faut les traiter comme des nouveau-nés, sans gestes d’impatience et de répugnance. Mais sais-tu, ma chère âme, combien de fois j’ai senti ma chair frémir d’un dégoût si vif qu’il affleurait de mon cœur à ma chair quand je devais approcher des êtres de péché ? Et pourtant, si je ne les avais pas approchés, aurais-je pu les attirer à moi ? J’aurais pu le faire par la violence de Dieu. Mais pourquoi utiliser la violence quand il y a l’Amour; le plus cher des aimants ? J’ai débuté ma vie publique par des noces [4], où j’ai dû écouter les habituels discours et les habituelles allusions de ce genre de fête. Je n’ai pas refusé l’invitation de Matthieu, et il y eut des censeurs, entachés par la faute même qu’ils me reprochaient, qui me critiquèrent pour être entré dans cette maison [5]. Je n’ai pas repoussé la pécheresse qui gaspillait sur ma chair ses derniers artifices de séduction et annulait sa dette envers la Grâce par un acte d’amour généreux et contrit [6]. Je n’ai pas dédaigné de parler à la Samaritaine qui n’était à personne et se donnait à tous [7]. Je ne me suis pas tu parce qu’à la foule qui m’écoutait se mêlaient les païens ou les pécheurs. Au contraire, c’est à eux que j’adressais mes regards, mes paroles, mes sourires les plus doux d’amour. Je suis venu et je viens pour rassembler toutes mes brebis dans ma bergerie [8]; pour les brebis qui se sont éloignées ou écartées du droit chemin, je vais, bon Pasteur infatigable, parmi les ronces et les épines, ruisselant de pleurs et de sang, jusqu’à ce que je les aie trouvées et rassemblées. Si j’en appelle d’autres pour m’aider dans mon œuvre, ils doivent agir de concert avec moi. Je sais qu’il y a une sainte pudeur et une jalousie instinctive qui font souffrir quand on les force. Mais il faut surmonter la sainte pudeur et l’orgueil coupable et laisser que "les petits viennent à moi [9]" pour qu’ils entendent ma voix à travers ton œuvre. Agir devant eux avec beaucoup d’amour et en toute liberté comme s’ils étaient convaincus de ma Loi. Ne pensez pas que ce que vous dites soit peine perdue [10]. Non. Une terre aride sur laquelle il pleut après des années de sécheresse ne semble pas se mouiller si l’eau tombe du ciel; en effet elle s’imbibe plus difficilement qu’une terre bien entretenue. Mais elle se mouille néanmoins. Il en est de même pour les cœurs. Il faut les arroser, les mettre en contact avec l’eau vive qui descend du ciel et qui conduit au ciel. Ensuite, je fais le reste. Les miracles de la grâce dans les cœurs arrivent à travers un ensemble d’agents, dont la racine est en moi. Je pourrais agir seul. Mais j’aime associer mes disciples à mon œuvre de Rédemption pour qu’ils partagent avec moi ma gloire au Ciel. J’ai souhaité prendre place avec vous, mes amis, au banquet céleste où seront célébrées mes gloires de Rédempteur [11]; je l’ai ardemment désiré avant même que le temps n’existe, puisque rien n’est inconnu à l’intelligence éternelle. Je connais le nom des convives, je sais lesquels, après s’être nourris de moi sur terre, recevront de moi, au Ciel, le pain rompu par mes propres mains aux agapes fraternelles qui uniront pour toujours Maître et disciples [12], sans le cauchemar imminent de la Passion et de la sale trahison [13]. Courage, donc. Si tu te sens choquée par des idées dont ma Lumière te fait comprendre l’erreur, ne te retire pas. Comme une mère, tiens sur ton cœur ces enfants de l’esprit, même s’ils sont recouverts de saletés. Offre tes souffrances pour ce choc à ma Lumière pour qu’elle descende illuminer de la vraie foi l’esprit qui aspire ardemment à la Foi sans encore être capable d’aller vers elle. Je voulais finir de te parler de la perle [14], mais j’ai parlé d’autre chose pour guider le Père dont l’œuvre n’a pas été futile auprès de toi. Son rôle d’enfant de Marie [15] a mis en fuite ceux qui paralysaient ta vue et ton ouïe spirituelles et excitaient en toi ta partie inférieure. Tu es comme ça parce que tu as eu l’aide du Père. Je vous ai pris à deux points de la terre et je vous ai conduits l’un vers l’autre parce qu’il devait en être ainsi [16]. Moi, je sais pourquoi. Souviens-toi toujours dans mon prêtre, c’est moi que tu dois voir. Et lui doit me voir en toi. Je lui ai réservé, non des miettes, mais tout le pain, parce que c’est justement à lui, à l’encontre de ta propre volonté, que j’ai réservé la mission d’être une aide fraternelle pour toi, et toi, une aide fraternelle pour lui. Je sais quelles pierres il faut unir pour ériger les murailles de ma cité. Elles semblent agir pour elles-mêmes. En réalité, chacune sert à l’autre en épousant parfaitement sa forme. Moi, je sais. Ce n’est pas lui qui dessert la table et ramasse les miettes. Il est plutôt Lazare qui prépare la maison pour le Maître; la maison, c’est toi et tu es aussi Marie... Mais Marie aurait-elle pu rester à écouter le Maître si Lazare n’avait pas préparé la maison pour l’invité et si Marthe n’avait pas vaqué aux tâches domestiques ? J’ai fait une sainte de Marie. Ai-je fait moins de Lazare et de Marthe ? Ceux qui me servent me sont tous également chers, quelle que soit l’œuvre qu’ils accomplissent. L’important, c’est de faire ce que je veux."Voilà la réponse à votre lettre, là où il a jugé bon vous répondre. Je vois Jésus avec sa croix sur l’épaule droite; il avance, avance et personne ne le suit. Il me regarde avec des yeux d’une immense douleur. ”[1] Dans les catéchèses du 28 juin et du 29 juin 1943. Selon Jésus, il ne s’agit pas d’une âme consacrée dont la foi vacille, mais "une créature faible que j’avais élue, mais qui a écouté les voix des créatures plus que la mienne et qui, pour de mesquines considérations humaines, a perdu le trône dans la maison de l’Époux. Maintenant, elle en souffre. Mais elle n’a pas la force de faire réparation. Je lui ouvrirais encore mes bras". Il conviendrait donc d’examiner les mystiques défaillantes de cette époque, mais qui se ressaisirent.[2] Le Père Migliorini, alors âgé de 59 ans, était un missionnaire des Servites de Marie, notamment en Afrique du sud. En 1941, des problèmes de santé l’avaient ramené en Italie comme prieur du couvent San Andrea di Viareggio.[3] Dieu le Père. Toutes les autres fois que sera nommé le “Père” dans cette dictée, il s’agit du père Migliorini.[4] Voir EMV 52. Voir aussi Jean 2, 1-11.[5] Voir EMV 97. Voir aussi Matthieu 9, 9-13 – Marc 2, 14-17 – Luc 5, 27-32.[6] Marie Madeleine se repentant lors du banquet chez Simon EMV 236 – Luc 7, 36-50 après avoir provoqué Jésus lors du Sermon sur la montagne EMV 174. Voir aussi le chemin parcouru par Aglaé,[7] EMV 143. Voir aussi Jean 4, 5-26.[8] Cf. par exemple Jean 10, 16.[9] Cf. Marc 10, 14.[10] Cf. Isaïe 49, 4 Et moi, je disais Je me suis fatigué pour rien, c’est pour le néant, c’est en pure perte que j’ai usé mes forces. » Et pourtant, mon droit subsistait auprès du Seigneur, ma récompense, auprès de mon Dieu.[11] Cf. La dernière Cène en Luc 22, 15-16.[12] Cf. les noces de l’Agneau Apocalypse 19, 7-9.[13] Remarque qui s’applique aux deux temps le passé de la vie publique du Christ et au futur de l’Église.[14] Dans la catéchèse du soir du 12 août.[15] Le Père Migliorini appartient aux Servites de Marie comme tous les religieux au plus proche de Maria Valtorta. Celle-ci est d’ailleurs enterrée dans leur chapelle de Florence la Santissima Annunziata[16] Le Père Migliorini était en Afrique du communion des saintsLe 14 août 1943 Jésus dit “Je t’ai dit [1] que tu es comme çà grâce à l’aide du Père Migliorini. Il ne doit en tirer aucun orgueil, et toi aucun abattement, et personne ne doit s’étonner de cette suis Dieu et je n’ai pas besoin d’intermédiaires, c’est vrai. Mais justement parce que je suis parfait en tout, dans l’intelligence comme dans l’amour, je sais combien cela vous est nécessaire pour vous encourager et vous faire sentir à quel point je vous aime. Ainsi, le fait de demander votre collaboration pour accomplir mes prodiges n’est pas un signe de faiblesse de ma part ou d’incapacité à opérer seul, mais une preuve d’amour et d’intelligence [2]. Je vous aime tant que je m’abaisse à demander votre aide. Je vous comprends si bien que je sais que cette requête vous encourage plus que toute autre chose. Pour devenir aliment qui nourrit votre esprit, je n’aurais besoin de personne. Je demande néanmoins des mains sacerdotales pour opérer le miracle du pain qui se transforme en Corps de l’Homme-Dieu. Et il en est ainsi de l’élévation réciproque. J’ai fondé une vraie société dont les membres vivent, dans ma pensée, l’un pour l’autre, dont l’un est le soutien de l’autre. Du plus grand au plus petit, vous avez tous une raison de faire partie de la splendide équipe de mon Église, une dans l’essence, et trine dans la forme, comme son Roi et Pontife divin, à la fois Un et Trin avec le Père et l’Esprit. La Communion des saints unit les catholiques du passé avec ceux du présent, les catholiques qui peinent avec ceux qui luttent et ceux qui jouissent du bonheur. Le ciel, la terre et le purgatoire s’entraident et se complètent mutuellement, et de la même façon, les membres de l’Église militante doivent s’entraider et se compléter mutuellement. Oh ! Sublime charité qui est née de mon cœur déchiré par la trahison avant d’être déchiré par la lance, signe vivant de l’appartenance à moi ! Si vous pouviez voir la valeur que possède, aux yeux des êtres célestes, l’amour que vous avez les uns pour les autres comme pour des frères et sœurs, selon mon commandement d’amour [3], personne d’entre ceux qui sont dotés d’intelligence ne voudrait ne pas aimer son prochain avec pureté, avec une vision spirituelle et une spirituelle ardeur. Ainsi s’aimaient mes premiers disciples et c’est leur façon de s’aimer qui a convaincu le monde de la vérité du Christ. Mais maintenant... Le monde peut-il encore en être convaincu alors que la haine s’est substituée à l’amour et l’intelligence sert à nuire, la parole à mentir, le cœur à trahir, les mains à tuer ? Priez... Vous pouvez bien prier. Mais est-ce qu’une plante peut vivre appuyée contre un granit brûlant ? Non. Elle meurt parce que sa racine ne trouve point le suc de vie. Ainsi meurt votre prière qui n’est pas nourrie par l’amour. Et dire que ce serait la grande fête au Ciel si ce grand pécheur, l’être humain, revenait au Père qui l’attend pour le pardonner et le couvrir de dons ! Je vais portant la croix, ramassant les croix que Satan abat et que vous ne savez monde a rejeté l’Église et les églises tombent. Mais malheur à ce jour où le Fils de l’Homme n’aurait plus d’autels pour répéter le Sacrifice et plus de ciboires pour le Sacrement de mon amour." [1] Dans la catéchèse du 13 août 1943.[2] "Selon le plan de miséricordieuse sagesse de mon Père, dit Jésus à Amélie de Gibergues Cum Clamore Valido, 38, je ne puis, — Moi, le tout-puissant Seigneur, — Je ne puis tout seul sauver le monde. Il me faut des associés, des collaborateurs ! J'ai besoin d'aides ! Comme Dieu a donné aux hommes d’être "causes intelligentes et libres pour compléter l’œuvre de la Création et en parfaire l’harmonie pour leur bien et celui de leurs prochains CEC § 307", de même il les associe à la diffusion des mérites qu’Il a acquis sur la Croix. L’Homme peut décider d’entrer consciemment dans le plan divin par ses actions, ses prières, mais aussi ses souffrances. Il peut décider d’être coopérateur de la Rédemption et devenir ce que saint Paul appelle un "collaborateur de Dieu 1 Corinthiens 3, 9" .[3] Cf. Jean 13, 34-35. Voir aussi 1 Jean 1, 6-7. Source de la prière pour la paix par les intérêts égoïstes des belligérants Le 15 août 1943 Jésus dit “Tes écrits doivent être utilisés de la façon partie qui est de toi aura l’habituelle valeur informative pour la curiosité humaine qui veut toujours sonder les secrets des partie qui est de moi, et qui doit être séparée de la tienne, aura une valeur formative, car il y a en elle la voix évangélique, et cette voix évangélique possède toujours une valeur de formation spirituelle, quelle que soit la façon dont elle vous parvienne. Même quand la façon ou les façons dont elle est parvenue à la portée des âmes ne sont plus de cette terre, elle reste ce qu’elle est et ne perd pas sa à donner la nouvelle formule de prière pour aujourd’hui parce que je sais qu’elle est encore moins sentie que celle de juin [1]. Alors on demandait que les bombes épargnent les maisons et les personnes de Viareggio. Aujourd’hui, la requête est plus élevée, plus universelle mais, chose douloureuse à constater, elle n’est pas universellement souhaitée, même pas par la totalité du petit noyau de guerre signifie la ruine pour beaucoup, mais aussi un gain pour beaucoup d’autres, et devant son propre intérêt, l’homme néglige l’intérêt collectif. Vous vous aimez si peu les uns les autres que vous vivez chacun enfermé dans son propre égoïsme et armé d’aiguillons pour le voisin. Si la première prière était donc peu sentie par l’esprit, mais sentie seulement par la chair qui tremblait de peur pour soi et pour ses propriétés, celle-ci est dite avec un esprit encore plus n’est pas ainsi qu’on obtient ce qu’on demande. La trêve dans les hostilités viendra, parce qu’elle doit venir, mais ce ne sera qu’une trêve. Et une trêve est une chose, la paix en est une autre. Paix signifie concorde extérieure et intérieure, concorde recherchée et voulue avec une vision et une affection vous saviez venir à moi, les lèvres et l’âme pures et enflammées de vraie charité, je vous donnerais cette paix. Je vous la donnerais contre tous les obstacles que le mal y mettrait pour l’empêcher car je suis le Vainqueur éternel. Mais même parmi le petit nombre qui aujourd’hui priera dans les églises pour cela, peu, très peu auront les qualités qui rendent la prière puissante. C’est une douloureuse et épouvantable vérité, mais il ne sert à rien de la cacher parce que le mal qu’elle cause demeure, même hommes, que vous êtes méchants ! Si je tonnais cette vérité des cieux, vous en seriez offensés comme les pharisiens quand je les dénonçais en découvrant leurs vices les choses sont comme je le dis. Tous ne désirent pas la paix sainte et véritable. Vous êtes si obtus et pétris de mauvaises tendances que vous ne réussissez même pas à entendre le ton de la vérité que Quelqu’un de supérieur à vous vous dévoile. Mais c’est bien la vérité, il ne peut y avoir d’autre vérité puisqu’il n’y en a qu’une en revient toujours à la même idée S’il y avait dix justes…’ [2] Mais il y a peu de justes contre la masse des impies. Satan a un nombre infini d’enfants et de serviteurs. Le Fils de Dieu n’a qu’un nombre insignifiant de vrais enfants et de vrais serviteurs. Et la cause de votre ruine réside dans ce déséquilibre.”[1] Le 5 juin.[2] Voir le 11 juin. Source primogéniture humaine et divine du ChristLe 16 août 1943 Jésus dit “Je suis le Premier-né d’entre les morts’ selon l’ordre humain et l’ordre selon l’ordre humain parce que je suis, du côté de ma Mère, fils d’Adam, le premier engendré, de la lignée d’Adam, qui naquis comme auraient dû naître tous les enfants de ceux qui furent créés par mon pas les yeux. Marie est née sans tache par la volonté de Dieu et sa préservation a été justement voulue pour préparer ma venue. Mais sans une volonté spéciale, Marie, qui était née d’un homme et d’une femme unis selon la loi de la nature, n’aurait pas été différente de toutes les autres créatures issues de la racine contaminée d’Adam. Elle aurait été une grande juste’ comme beaucoup d’autres hommes et femmes de l’antiquité, mais rien de plus. La Grâce, vie de l’âme, aurait été tuée en Elle par le péché moi qui ai vaincu la mort et la mort. Moi qui ai rappelé à la vie les morts des Limbes. Ils dormaient. Tels que Lazare, dont la résurrection voile celle-ci, plus vraie. Je les ai appelés. Et ils sont ressuscités. Moi, qui suis né d’une femme fille d’Adam, mais sans tache originelle, c’est-à-dire comme auraient dû être tous les enfants d’Adam, je suis donc, dans l’ordre naturel, le premier-né d’Adam, né vivant au milieu de ceux qu’Adam a engendrés suis le Premier-né’ selon l’ordre divin parce que je suis le Fils du Père, Engendré et non créé par veut dire produire une vie. Créer veut dire former. Je peux créer une nouvelle fleur. L’artiste peut créer une nouvelle œuvre. Mais seuls un père et une mère peuvent engendrer une suis donc le Premier-né’ car né de Dieu, je suis à la tête de tous ceux qui sont nés selon la grâce de ma Mort j’ai secoué violemment les portes de l’au-delà et j’en ai tiré ceux qui dormaient pour les ressusciter, j’ai aussi ouvert les écluses des lacs mystiques dans les eaux desquels se nettoie le signe qui tue, meurt la mort de l’esprit, la vraie mort, et naît la vie de l’esprit, la vraie je suis le Premier-né’ parmi les morts, car ma Chair entra la première dans le Ciel où entreront, à la dernière résurrection, les chairs des saints dont les esprits attendent dans la Lumière la glorification de leur moi complet, comme il est juste que ce soit, puisqu’ils se sanctifièrent en dominant leur chair et en la martyrisant pour la mener à la victoire ; comme il est juste que ce soit parce que les disciples sont semblables au maître, par la volonté aimante du maître, et moi, votre Maître, je suis entré dans la Gloire avec ma chair qui fut martyrisée pour la gloire de tard, je te parlerai des résurrections, que vous voyez toujours en termes humains, alors qu’il faut les voir avec une vision fait d’être le premier-né dans l’ordre divin et dans l’ordre humain me donne donc des droits souverains, puisque c’est toujours le premier-né d’un roi qui hérite de la couronne. Et y a-t-il un roi qui soit plus roi que mon Père ?Roi éternel dont le règne n a ni commencement ni fin, et contre lequel aucun ennemi n’a de pouvoir. Roi unique sans rivaux, lequel m’élève en m’engendrant à la même souveraineté que lui, car je suis Un avec le Père, consubstantiel à lui, inséparable de lui, partie vivante, active, parfaite de lui. Roi saint, saint, saint d’une telle perfection qu’elle est inimaginable à l’esprit humain. La sainteté glorieuse de mon Père resplendit dans le Ciel, sur la terre et sur les abîmes, se répand sur les montagnes, investit d’elle-même tout ce qui est ; nous adorons sa sainteté parce qu’elle nous engendre et que nous procédons d’ gloire, gloire au Père, Maria, gloire toujours car tout bien vient de lui et le premier bien, c’est moi, ton sauveurMon royaume n’est pas de cette terre, selon ce que signifie régner sur terre. Mais il est Royaume de la terre. Car je régnerai sur la terre. Mon Royaume sera manifeste et réel, non seulement spirituel comme maintenant et pour un petit nombre. L’heure viendra où je serai le seul vrai roi de cette terre que j’ai achetée avec mon Sang et dont j’ai été fait Roi par le Père, avec tous les pouvoirs sur elle. Quand viendrai-je ? Qu’est-ce que l’heure face à l’éternité ? Et que t’importera l’heure quand tu seras dans l’éternité ?Je viendrai. Je n'aurai pas une nouvelle chair puisque la mienne est déjà parfaite. J’évangéliserai, non pas comme je le fis autrefois, mais avec une force nouvelle, parce qu’alors les bons ne seront pas humainement bons comme l’étaient les disciples lors de ma première venue, mais ils seront spirituellement bons, et les méchants seront spirituellement méchants, sataniquement mauvais, parfaitement forme sera donc conforme aux circonstances, car si j’utilisais la forme d’il y a vingt siècles, elle serait dépassée pour ceux qui sont parfaits dans le bien, et ce serait offrir aux sataniques le moyen de porter une offense qu’il n’est pas permis de porter au Verbe glorifié. Comme un filet aux mailles fines, je traînerai derrière ma Lumière ceux qui auront atteint la subtilité spirituelle, mais ceux que l’union de la chair avec Satan rend lourds, les morts de l’esprit que la pourriture de l’âme tient enfoncés dans la boue, n’entreront pas dans ma Lumière et finiront de se corrompre dans l’union avec le Mal et les le moment, je prépare les temps futurs en employant en particulier la Parole qui descend des cieux pour donner la lumière aux âmes prêtes à la recevoir. Je fais de vous les radiotéléphonistes occupés à écouter attentivement l’enseignement qui est parfait et que j’avais déjà donné et que je ne change pas, car il n’y a qu’Une Vérité,enseignement qui a été oublié ou dénaturé, trop oublié et trop dénaturé parce que cela arrangeait de l’oublier et de le le fais car j’ai pitié de l’Humanité qui se meurt sans le pain de l’esprit. Ainsi que je me suis donné comme Pain de votre âme, je vous offre maintenant ma Parole comme pain de votre esprit. Et je répète Bienheureux ceux qui écoutent la parole de Dieu et l’observent’. ”Source spirituel de l’humain après la chuteLe 16 août 1943 Le soirJésus dit “J’ai dit que ma nouvelle venue aura une forme et une force nou¬velles, conformes aux circonstances, et je t’ai expliqué comment seront les humains d’alors. Le temps de l’esprit doit humain est parti de ténèbres profondes et d’un énorme poids de fange, après avoir perdu la Lumière divine de sa propre volonté, obéissant à la séduction de l’Ennemi dont la vraie nature se dissimule dans le fruit qui enseigne le Bien et le Mal, c’est-à-dire qu’il a dévoilé aux humains ce que Dieu avait caché, pour leur bien, à la matière, à l’esprit, au cœur. Vous seriez restés comme cela, purs, pacifiques, honnêtes, pieux si vous n’aviez pas mordu dans la triple concupiscence, laquelle est douce à la bouche, mais plus amère à l’esprit que le mélange de fiel et de vinaigre qui me fut offert sur la croix !Tombé de sa demeure paradisiaque sur terre, écrasé par la révélation de sa chair profanée par la luxure, tourmenté par le remords d’avoir provoqué la colère du Dieu créateur, l’humain n’était plus qu’un pauvre être animal en qui se débattaient et montaient toutes les forces déjà attiré [1] ton attention sur la différence entre les préceptes donnés à Moïse et les miens, préceptes qui étaient nécessaires, dans leur choquante crudité, pour freiner les tendances de l’être humain, morceau de chair qu’animait à peine un mouvement psychique insufflé par une âme blessée à mort et assommée dans un coma spirituel. Le souvenir de la Lumière perdue, qui vivait au fond de l’âme, poussait les pas vers la lumière. Cheminement très pénible, car la matière pèse plus que l’esprit et entraîne vers le bas. De temps en temps, la bonté de l’Éternel donnait à l’humanité des phares’ pour la traversée orageuse vers la vraie Lumière. Les patriarches et les prophètes voilà les phares de l’humanité en quête du port de vint Celui que Jean, le bien-aimé, appelle la vraie Lumière qui illumine chaque être humain’.Je suis venu, Lumière du monde et Verbe du Père, et je vous ai rapporté la paix avec le Père, l’étreinte qui fait de vous de nouveau les enfants du moi qui ai rallumé la vie languissante de votre moi qui vous ai enseigné la nécessité de naître dans l’ moi qui ai recueilli en ma Personne toute la Lumière, la Sagesse, l’Amour de la Triade et qui vous les ai moi qui, par mon sacrifice, ai renoué la chaîne, là où elle s’était brisée, vous reliant de nouveau au Père et à l’Esprit de moi qui, prenant mon échafaud pour levier, ai soulevé votre esprit qui gisait dans la boue et lui ai donné une puissante impulsion pour qu’il puisse procéder vers la Lumière de Dieu, vers moi-même qui vous attends au peu en ce monde et au cours des siècles en ont profité car le monde a toujours préféré les ténèbres à la Lumière. Par ma mort atroce, je vous ai obtenu la venue de l’Esprit parfait ; mais dans les siècles, l’humanité l’a repoussé toujours davantage, comme elle m’a repoussé, moi, comme elle a repoussé le dans une liqueur qu’on épure, ce qui est lourd tombe au fond et la partie pure flotte au-dessus, ainsi il en fut de l’humanité au cours des siècles. Ceux qui ont voulu rester de chair et de sang ont sombré toujours plus bas, tandis que ceux qui, aristocratie de mon troupeau, ont voulu vivre dans l’esprit sont devenus de plus en plus spirituels. Entre les deux, au milieu, les tièdes sans nom. Ce sont les deux mouvement opposés de la partie, malheureusement la plus vaste, absorbe Satan de plus en plus et s’abaisse au-dessous du niveau des brutes. L’autre partie, exiguë celle-là, absorbe le Christ de plus en plus, se nourrissant de sa Parole, qui ne s’est pas tue depuis vingt siècles, et devient toujours plus apte à comprendre l’ j’emploie des moyens extraordinaires, c’est pour accélérer, puisque le temps presse, la pleine leçon de la Parole et la pleine formation spirituelle des vrais disciples, des vrais sujets du Roi Jésus Christ. Non roi des juifs, comme le dit et l’écrit ironiquement un homme faible qui se croyait fort de son pauvre pouvoir, mais roi du monde avant le jugement du avançant vers l’heure dernière, l’être humain doit parvenir à la spiritualité. Mais comprends-moi. Dieu est esprit, Satan est esprit. Le premier est Esprit de perfection, le second est esprit de péché. Chacun dans la masse, scindée en deux par sa propre volonté, que Dieu respecte, suit la partie choisie. Les enfants du Très-Haut et mes frères choisissent le côté de Dieu et, par amour pour nous, spiritualisent la chair ; les serviteurs de Satan et enfants de la Bête choisissent le côté de Lucifer et, dans un esclavage qu’ils ont eux-mêmes voulu, ils étouffent l’esprit sous la luxure, font de leur esprit une chair et un sang corrompus et je régnerai sur et dans les esprits parvenus à cette maturation qui est maintenant le propre de quelques individus et qui le sera alors de toute la masse des vrais chrétiens, je ne m’adresserai qu’à cette partie-là, la perfectionnant de la dernière instruction par une nouvelle évangélisation, point différente dans le sens, qui ne peut changer, mais dans la force qu’ils pourront alors comprendre, alors qu’aujourd’hui ils ne le pourraient pas. La preuve en est que je dois choisir des créatures spéciales, dignes d’une si grande faveur grâce à leur propre effort ou rendues dignes par un miracle d’ y a vingt siècles, j’ai parlé à tous. Quand le temps viendra, je ne parlerai qu’à ces créatures-là, convaincu que je suis de l’inutilité de parler aux autres. Ainsi commencera la sélection des élus et des pauvre Maria, tu fais partie de ces âmes rendues dignes par ma volonté. Tu n’as qu’une bonne chose ta bonne volonté d’aimer. Mais c’est tout ce qu’il me faut. Sur elle, je peux poser ma chaire de Maître pour faire de la petite âme un piédestal, pour dire, redire et redire encore les paroles d’amour et d’invitation à l’Amour, qui guide et viendrai avec ma Chair piqué ta curiosité en disant cela. Tu ne serais pas femme si tu n’étais pas curieuse. Mais je dis ce qu’il me semble utile de dire pour votre bien, et non ce qui serait pâture à votre vaine curiosité. S’il ni est cher d’être le Maître, je sais choisir dans la Vérité ces vérités qu’il vous est utile de connaître et c’est donc de savoir qu’il est juste qu’au royaume de l’esprit, dont les sujets auront spiritualisé la chair, le Roi soit Celui qui habilla son Esprit parfait de chair pour racheter et sanctifier toute chair, et qui sanctifia la sienne d’une double sainteté, car il était chair innocente, parfaitement innocente, et chair immolée dans le sacrifice d’ viendrai, avec ma Chair glorifiée, rassembler les créatures pour la dernière bataille contre l’Ennemi; je jugerai, splendidement revêtu de ma Chair glorifiée, les corps revenus à la vie pour le jugement; je retournerai pour toujours au Ciel après avoir condamné à la mort éternelle les chairs qui ne voulurent pas devenir des esprits; et je vous reviendrai, Roi éclatant d’un peuple éclatant en qui l’œuvre du Père, du Fils, de l’Esprit sera glorifiée par la création du corps humain parfait, tel que le Père l’avait créé en Adam, beau d’une indescriptible beauté, grâce à la rédemption de la semence d’Adam par l’œuvre du Fils et la sanctification opérée par l’Esprit.”[1] Dans la dictée du 9 lumière fulgurante de son retour, les pécheurs contempleront les blessures du ChristLe 17 août 1943 Jésus dit “Lorsque je fais dire par la bouche du Bien-aimé que même ceux qui me transpercèrent’ me verront, je ne fais pas allusion à ceux qui me transpercèrent il y a vingt je viendrai sera venu le temps du triomphe de mon royaume. Je t’ai expliqué [1] ce que seront ce royaume et ses sujets. Ce sera le temps du témoignage de l’esprit, partie divine enfermée en vous qui vous rend semblables à Dieu et à son image. Par conséquent, ce sont les parties spirituelles qui seront en cause lors du jugement qui séparera les maudits des bénis. Et parmi les maudits, il y aura ceux qui, avec leur esprit sacrilège qui a recherché la Bête, adoré la Bête et s’est prostitué avec la Bête, ont transpercé, dans les siècles, l’esprit divin du Fils de Dieu après avoir, à travers les souches de la série maudite, transpercé les chairs du Fils de l’ de l’Homme. As-tu jamais réfléchi au fait que dans ces mots se trouve la vérité expliquée hier ? Je suis, par ma lignée humaine, le Fils premier-né d’ légions de ceux qui m’ont transpercé sont nombreuses comme les grains de sable sur les plages de la mer. Ils ne se comptent les crimes, tous les péchés commis contre moi, qui suis désormais imperméable à la souffrance humaine, mais encore susceptible d’être blessé par les offenses à mon Esprit, sont consignés dans les livres qui rappellent les œuvres des les trahisons après mes bienfaits, toutes les abjurations, tous les dénis de la Vérité et les fautes contre elle, cette vérité que j’ai apportée, tous les péchés contre l’Esprit Saint qui a parlé par ma bouche et qui, par mon mérite, est venu éclairer la parole du Verbe, toutes ces blessures que m’a faites au cours des siècles la race que j’ai voulu sauver, tout en la sachant si rétive au bien, seront présents à l’intérieur des esprits rassemblés dans la lumière resplendissante de mes éclairs, ils reconnaîtront ce qu’ils firent avec leur volonté obstinée à contester ce qui fut dit et fait par celui qui ne peut mentir, ni faire des œuvres sans utilité selon la loi de l’amourLes négateurs de l’amour sont ceux qui m’ont transpercé et, avec moi, ont frappé Celui qui m’a engendré et Celui qui procède de notre amour de Père et de Fils. Tout jugement est remis au Fils, mais le Fils jugera aussi les fautes commises contre le Père et l’ porteur de Vie, le Vivant éternel et l’éternel Immolé dont le monde voulut la mort, la mise à mort comme dans le cas d’un délinquant qui nuit alors que j’étais le Saint qui pardonnait, le Bon qui faisait du bien, le Puissant qui guérissait, le Savant qui instruisait est celui qui ouvrira les portes à la vraie mort et y introduira les corps et les âmes de ceux qui l’ont transpercé. Le porteur de la Vie que l’on vit au Ciel fermera les portes de l’Enfer sur le nombre intouchable des maudits, lesquels ont préféré la Mort à la le ferai parce que moi, Jésus Christ, Fils de Dieu, votre Seigneur et Sauveur, Juge éternel, j’ai les clés de la Mort et de l’Enfer.”[1] Dans la dictée du 16 vainqueurs de la chair et du démonLe 18 août 1943 Jésus dit “Je continue à t’expliquer les passages qui me semblent est dit Au vainqueur, je donnerai à manger de l’arbre de la vie...’. Et cette pensée s’est appliquée à je suis l’arbre de vie éternelle et je me donne à vous comme nourriture dans l’Eucharistie, et ma vue sera la nourriture joyeuse des vainqueurs dans l’autre vie. Mais cette phrase a un autre sens que beaucoup ignorent, justement parce que beaucoup de ceux qui me commentent ne sont pas des vainqueurs’.Qui est vainqueur ? Que faut-il pour l’être ? Des œuvres retentissantes d’héroïsme ? Non. Les vainqueurs seraient alors trop peu nombreux. Les vainqueurs sont ceux qui vainquent en eux-mêmes la bête qui voudrait avoir raison d’eux. En vérité, entre le martyre atroce mais bref, aidé par des coefficients surnaturels et naturels, et la lutte secrète, obscure et continue, cette dernière a plus de poids sur les balances de Dieu, ou du moins un poids d’un autre genre, mais n’y a pas de plus grands tyrans que la chair et le démon. Et ceux qui savent vaincre la chair et le démon, et faire un esprit de la chair, et du démon un vaincu sont les vainqueurs’.Mais pour l’être il faut s’être donné totalement à l’Amour. Totalement celui qui aime de toutes ses forces ne garde rien pour soi et, ne gardant rien pour soi, il ne garde rien pour la chair et le démon. Il donne tout à son Dieu et Dieu donne tout à celui qui l’ Parole descend nourrir les âmes entièrement données à leur Seigneur Dieu. Ma Parole vient pour vous servir de prêtre et de guide, à vous qui cherchez le guide véritable et qui en voyez de si faibles pour les foules qui périssent sans guide véritable. Vous qui avez compris la vérité, vous savez qu’une seule chose est nécessaire vivre de ma Parole, croire à ma Parole, marcher selon ma penses-tu de quelqu’un qui veut vivre de friandises, de liqueurs et de fumée ? Tu dis qu’il en mourra parce ce n’est pas là la nourriture nécessaire à une vie saine. Il en va de même pour celui qui se fatigue à poser mille gestes extérieurs et ne fait pas attention à ce qui constitue le noyau de toute la vie de l’âme ma la Messe, pourquoi l’Eucharistie, pourquoi la Confession ne vous sanctifient-elles pas comme elles le devraient ? Parce que ce sont pour vous des choses que vous faites pour la forme, vous ne les rendez pas fécondes par l’attention à ma Parole. Pis encore vous étouffez ma Parole, que je lance du haut du ciel pour vous appeler et vous illuminer, sous la tiédeur, l’hypocrisie, la faute plus ou moins ne m’aimez pas, voilà tout. Aimer ne veut pas dire faire de temps en temps une visite mondaine de courtoisie, toute superficielle. Aimer veut dire vivre avec son âme unie, allumée, fondue à un feu unique qu’alimente une autre âme. Dans la fusion, la compréhension survient parle, non plus de loin, du haut des cieux, mais j’établis ma demeure — et avec moi le Père et l’Esprit, parce que nous sommes une seule chose — j’établis ma demeure dans le cœur qui m’aime et ma parole n’est plus un murmure, mais pleine voix; elle n’est plus isolée mais continue. Je suis alors le vrai Maître’. Je suis celui qui, il y a vingt siècles, parlait aux foules infatigablement et qui maintenant trouve ses délices à parler à ses enfants préférés qui savent l’écouter et dont je fais les canaux de ma vous donne tant de vie ! Vraie vie, sainte vie, vie éternelle, vie joyeuse avec ma Parole qui est la Parole du Père et l’Amour de l’ en vérité, je donne à manger au vainqueur’ le fruit de l’arbre de vie. Je vous le donne sur cette terre par ma doctrine spirituelle que j’apporte de nouveau parmi les humains afin qu’ils ne périssent pas tous. Je vous le donne dans l’autre vie par ma présence parmi vous pour l’ suis la vraie Vie. Restez en moi, mes bien-aimés, et vous ne connaîtrez pas la mort.”Source manne cachée de la ParoleLe 19 août 1943 Apocalypse 2, 17"Au vainqueur je donnerai de la manne cachée, je lui donnerai un caillou blanc, et, inscrit sur ce caillou, un nom nouveau que nul ne sait, sauf celui qui le reçoit." Jésus dit “Toujours en regardant les paroles du Bien-aimé avec mes yeux, on comprend que la manne cachée’ est aussi ma Parole. Manne parce qu’elle contient toute la douceur d’amour de notre Trinité, qui est le Père, le Frère et l’Époux de l’âme, et qui vous aime des trois plus hautes amours. Cachée parce qu’elle est dite dans le secret du cœur à ceux qui méritent de la goûterJe voudrais bien pouvoir la faire pleuvoir sur tous et en nourrir tous. Mais il est dit Ne jetez pas les perles aux pourceaux et les choses saintes aux chiens’. Et beaucoup, qui ont pourtant été lavés dans mon baptême et rachetés par mon sang, sont plus abjects que des pourceaux et plus chiens que les as lu que la manne du désert se gâtait pour les anciens Hébreux indignes de la posséder. Ils déméritaient par leur manque de foi et leurs soucis humains. Puis-je avoir moins de respect pour ma Parole que j’en eus pour la manne destinée à nourrir le ventre, alors 19août que la Parole est destinée à nourrir l’esprit ?Je donne donc la manne à ceux qui vainquent leur partie inférieure avec toutes ses tendances à l’incroyance, à la sensualité, aux préoccupations mesquines et égoïstes. Je donne la manne de ma Parole qui remplit votre esprit de douceur et de lumière. Je donne le petit caillou blanc sur lequel est écrit un nom nouveau, c’est-à-dire dans lequel se révèle une vérité qui est tue à ceux qui en sont indignes. C’est la Vérité qui vous ouvre les portes de la vie éternelle, qui vous en donne les clés et vous met sur la voie pour parvenir à la porte de ma Cité suis la Voie, la Vérité, la Vie. Hors de moi, il n’y a point d’autre voie, vérité et vie. Celui qui surmonte tous les obstacles pour me suivre deviendra colonne de mon temple, et pour la parole qu’il aura gardée et pratiquée, après avoir été sauvé à l’heure terrible de l’épreuve de la tentation qui tue, il aura sa place sur mon propre trône, avec le Père, le Fils, le Saint Esprit.”Il dit encore “Le monde périt car il n’a pas gardé ma Parole, car il l’a négligée et raillée. Aucune force humaine ne servira à arrêter la course du monde vers l’abîme parce qu’il manque au monde et aux forces du monde la chose qui sauve ma s’est fait un vide dans la forêt mystique que j’avais cultivée pour vous, pour que vous ayez votre demeure à l’ombre de mon prévoyant amour. Ce sont vos fautes qui l’ont fait, et dans ce vide s’est installé en maître l’éternel serpent qui vous empoisonne de son haleine et vous tue de sa morsure, empêchant que ma Loi soit en vous un agent de vous et autour de vous, il n’y a que fumée, poison, horreur, désespoir. Et vous auriez pu avoir Lumière, Paix, Espérance, Joie. Voilà ce que vous auriez pu avoir si vous aviez suivi ma Parole, car j’avais épuisé toute l’horreur de la vie pour vous en préserver et je l’ai fait par l’atroce agonie que j’ai subie pour vous avez jeté mon don et vous avez appelé Satan pour maître et roi. Et Satan vous dresse et vous régit, vous salit et vous fouette pour vous rendre dignes de son enfer.”Source temps n’est pas encore venu les précurseurs de l’Antéchrist et les signes de la finLe 20 août 1943 Apocalypse 6, 8Alors j’ai vu et voici un cheval verdâtre ; celui qui le montait se nomme la Mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Et il leur fut donné pouvoir sur un quart de la terre pour tuer par le glaive, par la famine et par la peste, et par les fauves de la terre. Jésus dit “Si l’on observait attentivement ce qui se passe depuis quelque temps, et surtout depuis le commencement de ce siècle qui précède la fin du deuxième millénaire, on pourrait penser que les sept sceaux ont été ouverts. Jamais comme maintenant me suis-je tant agité pour revenir parmi vous, rassembler par ma Parole les troupes de mes élus, et pour partir avec eux et avec mes anges livrer bataille aux forces occultes qui travaillent pour creuser à l’humanité les portes de l’ famine, épidémies, instruments d’homicide militaire lesquels sont pires que les bêtes féroces mentionnées par le Bien-aimé, tremblements de terre, signes dans le ciel, éruptions des viscères de la terre, appels miraculeux à des voies mystiques de petites âmes mues par l’Amour, persécutions contre mes disciples, grandeurs d’âme et bassesses du corps, rien ne manque des signes, d’où vous pouvez déduire que le moment de ma colère et de ma justice est l’horreur que vous éprouvez, vous vous exclamez Le temps est arrivé; ça ne peut devenir plus terrible que ça !’ Et vous appelez très fort la fin qui vous délivrera. Les coupables l’appellent, se moquant et maudissant comme toujours; les justes l’appellent, car ils ne peuvent plus supporter de voir le Mal triompher sur le mes élus ! Encore un peu de temps et je viendrai. La somme de sacrifice nécessaire à justifier la création de l’être humain et le sacrifice du Fils de Dieu n’est pas encore accomplie. Le déploiement de mes cohortes n’est pas encore terminé et les anges du signe n’ont pas encore mis le sceau glorieux sur le front de tous ceux qui ont mérité d’être élus à la de la terre est tel que sa fumée, peu dissemblable de celle qui jaillit de la demeure de Satan, s’élève jusqu’au pied du trône de Dieu dans un élan sacrilège. Avant l’apparition de ma Gloire, il faut que l’Orient et l’Occident soient purifiés afin d’être dignes que mon visage prières et les souffrances de mes saints, des favoris de mon cœur, de ceux qui portent déjà mon Signe, la Croix bénie, avant que les anges du Signe ne les aient marqués, sont un encens qui purifie et une huile qui consacre le vaste, incommensurable autel où moi, éternel Pontife, servi par tous les saints que le ciel et la terre auront à cette heure-là, je célébrerai la dernière sur la terre que se grave le signe et c’est votre volonté qui le grave. Puis les anges le remplissent d’un or incandescent qui ne s’efface pas et qui fait resplendir comme le soleil votre front dans mon est l’horreur de maintenant, mes bien-aimés; mais de combien, de combien elle doit encore augmenter pour être l’Horreur des derniers temps ! Et si effectivement il semble que l’absinthe se soit mêlée au pain, au vin, au sommeil de l’être humain, beaucoup, beaucoup plus d’absinthe devra encore couler goutte à goutte dans vos eaux, sur vos tables, sur vos grabats avant que vous n’ayez atteint l’amertume totale qui sera la compagne des demies jours de cette race créée par l’Amour, sauvée par l’Amour et qui s’est vendue à la Caïn s’en alla errer par la terre pour avoir versé un sang, innocent, mais néanmoins pollué par la faute originelle, et s’il ne trouva personne pour le soustraire au tourment du souvenir, car le signe de Dieu était sur lui pour son châtiment — et il engendra dans l’amertume, et dans l’amertume il vécut et vit vivre, et dans l’amertume il mourut — quelles ne seront pas les souffrances de la race humaine qui versa réellement et verse par son désir le Sang très innocent qui l’a sauvée ?Vous pouvez donc penser que ce sont bien là les prodromes de la fin, mais l’heure n’est pas encore y a les précurseurs de celui dont j’ai dit qu’il pouvait s’appeler Négation’, Mal fait chair’, Horreur’, Sacrilège’, Fils de Satan’, Vengeance’, Destruction’, et je pourrais continuer à lui donner des noms qui sont une claire et effrayante indication. Mais il n’est pas encore sera une personne très haut placée, comme un astre. Non un astre humain qui brille dans un ciel humain, mais un astre d’une sphère surnaturelle, lequel, cédant à la flatterie de l’Ennemi, connaîtra l’orgueil après l’humilité, l’athéisme après la foi, la luxure après la chasteté, la faim de l’or après la pauvreté évangélique, la soif d’honneurs après une vie est moins effrayant de voir tomber une étoile du firmament que de voir tomber dans les anneaux de Satan cette créature déjà élue, laquelle copiera le péché de son père d’élection. A cause de son orgueil, Lucifer devint le Maudit et l’Obscur. Pour l’orgueil d’une heure, l’Antéchrist deviendra le maudit et l’obscur après avoir été un astre de mon récompense de son abjuration, qui secouera les cieux d’un frémissement d’horreur et fera trembler les colonnes de mon Église dans l’épouvante que suscitera sa chute, il obtiendra l’aide totale de Satan ; celui-ci lui donnera les clés du puits de l’abîme pour qu’il l’ouvre. Qu’il l’ouvre tout grand pour qu’en sortent les instruments de l’horreur qu’au cours des millénaires Satan a fabriqués pour mener les humains au désespoir absolu, afin que d’eux-mêmes ils invoquent Satan roi et courent à la suite de l’Antéchrist ; lui seul pourra ouvrir toutes grandes les portes de l’abîme pour en faire sortir son roi, tout comme le Christ a ouvert les portes des cieux pour en faire sortir la grâce et le pardon, qui rendent les hommes semblables à Dieu et en font les rois d’un Royaume éternel où je suis le roi des le Père m’a donné tous les pouvoirs, ainsi Satan lui donnera tous les pouvoirs, et surtout tous les pouvoirs de séduction, pour entraîner à sa suite les faibles et ceux qui sont rongés par les fièvres de l’ambition, comme l’est l’Antéchrist, leur chef. Mais dans son ambition effrénée, il trouvera encore insuffisante l’aide surnaturelle de Satan et cherchera d’autres appuis parmi les ennemis du Christ; armés d’armes toujours plus meurtrières, telles que leur avidité de mal pouvait les pousser à créer pour semer le désespoir dans les masses, ceux-ci l’aideront jusqu’à ce que Dieu lance son Assez’ et les réduise en cendres par la splendeur de son apparence. [1]Au cours des siècles, on s’est trop creusé les méninges, beaucoup trop sur ce que Jean dit dans le chapitre 10 de l’Apocalypse, trop, beaucoup trop, et non par soif légitime et honnête désir de porter remède au mal qui menace, mais plutôt par curiosité inutile. Mais dis-toi bien, Maria, que je permets qu’on sache ce qu’il est utile de savoir et je voile ce que je juge utile que vous ne sachiez êtes trop faibles, mes pauvres enfants, pour connaître le nom d’horreur des sept tonnerres’ apocalyptiques. Mon ange a dit à Jean Scelle ce qu’ont dit les sept tonnerres et ne l’écris pas’. Moi, je dis que l’heure n’est pas encore venue d’ouvrir ce qui est scellé, et si Jean ne l’a pas écrit, je ne le dirai reste, vous n’êtes pas destinés à goûter l’horreur et par conséquent... Il ne vous reste qu’à prier pour ceux qui auront à la subir, pour que la force ne leur fasse pas défaut et qu’ils ne passent pas du côté de la foule de ceux qui, sous la morsure du fouet, ne feront pas pénitence et blasphémeront Dieu au lieu de l’appeler à leur secours. Un grand nombre de ces derniers sont déjà sur terre et leurs descendants seront sept fois plus démoniaques qu’ et non mon ange, je jure que, lorsque se taira le tonnerre de la septième trompette et que sera accomplie l’horreur du septième fléau, sans que la race d’Adam reconnaisse le Christ, Roi, Seigneur, Rédempteur et Dieu, et ayant invoqué sa miséricorde, son Nom en lequel est le salut, je jure, par mon Nom et par ma Nature, que j’arrêterai cet instant dans l’éternité. Le temps cessera et le Jugement commencera. Le Jugement qui sépare pour l’éternité le Bien du Mal après des millénaires de cohabitation sur la Bien retournera à la source dont il est issu. Le Mal sera précipité là où il a déjà été précipité au moment de la révolte de Lucifer et d’où il est sorti pour troubler la faiblesse d’Adam par la séduction des sens et de l’ s’accomplira le mystère de Dieu. Alors vous connaîtrez Dieu. Tous les hommes de la terre, tous, d’Adam au dernier-né, rassemblés comme grains de sable sur les dunes de la plage éternelle, verront le Seigneur Dieu, Créateur, Juge, vous le verrez ce Dieu que vous aurez aimé, blasphémé, suivi, raillé, béni, vilipendé, servi, fui. Vous le verrez. Vous saurez alors combien il méritait votre amour et combien il était méritoire de le servirOh ! Joie de ceux qui se seront consumés à l’aimer et à lui obéir ! Oh ! Terreur de ceux qui auront été ses Judas, ses Caïns, de ceux qui auront préféré suivre l’Antéchrist et le Séducteur au lieu du Verbe fait homme en qui est la Rédemption, du Christ, Voie du Père; de Jésus, très sainte Vérité; du Verbe, vraie Vie.”[1] Sur une copie dactylographiée, l’auteur note au crayon Défaite de l’Antéchrist, mais pas le Jugement maîtres et les martyrs de la foi. La guerre de Satan derrière la guerre des hommesLe 21 août 1943 Apocalypse 11, 1-1201 Puis il me fut donné un roseau, une sorte de règle, avec cette parole Lève-toi, mesure le sanctuaire de Dieu, l’autel et ceux qui s’y Mais la cour au-dehors du Sanctuaire, tiens-la en dehors, ne la mesure pas, car elle a été donnée aux nations elles fouleront aux pieds la Ville sainte pendant quarante-deux Et je donnerai à mes deux témoins de prophétiser, vêtus de toile à sac, pendant mille deux cent soixante jours. »04 Ce sont eux les deux oliviers, les deux chandeliers, qui se tiennent devant le Seigneur de la Si quelqu’un veut leur faire du mal, un feu jaillit de leur bouche et dévore leurs ennemis ; oui, celui qui voudra leur faire du mal, c’est ainsi qu’il doit Ces deux témoins ont le pouvoir de fermer le ciel, pour que la pluie ne tombe pas pendant les jours de leur prophétie. Ils ont aussi le pouvoir de changer l’eau en sang et de frapper la terre de toutes sortes de fléaux, aussi souvent qu’ils le Mais, quand ils auront achevé leur témoignage, la Bête qui monte de l’abîme leur fera la guerre, les vaincra et les fera Leurs cadavres restent sur la place de la grande ville, qu’on appelle, au sens figuré, Sodome et l’Égypte, là où leur Seigneur aussi a été De tous les peuples, tribus, langues et nations, on vient regarder leurs cadavres pendant trois jours et demi, sans qu’il soit permis de les mettre au Les habitants de la terre s’en réjouissent, ils sont dans la joie, ils échangent des présents ; ces deux prophètes, en effet, avaient causé bien du tourment aux habitants de la Mais, après ces trois jours et demi, un souffle de vie venu de Dieu entra en eux ils se dressèrent sur leurs pieds, et une grande crainte tomba sur ceux qui les Alors les deux témoins entendirent une voix forte venant du ciel, qui leur disait Montez jusqu’ici ! » Et ils montèrent au ciel dans la nuée, sous le regard de leurs ennemis. Jésus dit “Derrière mes deux témoins se cachent tous les maîtres de la foi Pontifes, Evêques, les inspirés, les docteurs de l’Église, les âmes pénétrées de la Voix et de la Lumière. D’une voix épurée de toute sonorité humaine, ils m’ont proclamé, moi et la vérité de ma doctrine, et, en confirmation de leur voix, ils ont apposé le sceau de la sainteté, de la douleur, et du sang comme moi, Maître des maîtres, Saint des saints, ils ont toujours été plus ou moins tourmentés par le monde et le pouvoir, lesquels trouvent en eux ceux qui, par leur propre conduite, disent au monde et aux grands de ce monde Ce que vous faites n’est pas légitime’. Mais quand l’heure du fils de Satan sera venue, l’Enfer, saillie de l’abîme ouvert par l’Antéchrist, leur livrera une guerre impitoyable, et d’un point de vue humain, les vaincra et ce ne sera pas une mort véritable. Au contraire, ce sera la Vie des vies, Vie vraie et glorieuse. Car si ceux qui suivent ma Loi dans les commandements possèdent la vie, quelle infinie plénitude de vie ne posséderont pas ceux qui suivent aussi mes conseils évangéliques de perfection et poussent leur être à ma suite jusqu’au sacrifice total par amour pour leur Jésus, l’éternel Immolé dont ils se font les imitateurs jusqu’au sacrifice de la vie ?Ceux qui se dépouillent de ce que l’humain a de plus cher, la vie, pour pouvoir me suivre, par amour de Jésus et des frères et sœurs, seront appelés à une éblouissante résurrection. Jamais je ne me lasserai de le répéter il n’y a rien de plus grand que l’amour au ciel et sur la terre, et il n’y a pas d’amour plus grand que l’amour de celui qui donne sa vie pour ses frères et sœurs.”Jésus dit encore “Je t’ai dit un jour [1] que dans l’actuelle tragédie sont déjà en branle les forces de Satan, lequel a envoyé ses anges noirs pour soulever les royaumes de la terre l’un contre l’autre. La bataille surnaturelle est déjà commencée. Elle est là. Dans les coulisses de la petite bataille non en fonction de son envergure, mais de ses raisons. Elle n a pas, absolument pas, son origine dans les petites raisons humaines. Pas du tout. Sa raison véritable, laquelle transforme des frères en autant de fauves homicides qui se mordent et se tuent mutuellement, cette raison est tout vous battez avec vos corps. Mais en réalité, ce sont les âmes qui se battent. Vous vous battez par ordre de cinq ou six puissants. C’est ce que vous croyez. Non. Il n’y a qu’un exécuteur de cette ruine. Il est sur la terre parce que vous le voulez, mais il n’est pas de cette terre. C’est Satan qui tire les ficelles de ce carnage par lequel il y a plus d’âmes qui meurent que de est une des premières batailles. Le royaume de l’Antéchrist a besoin d’un ciment de sang et de haine pour se vous, qui ne savez plus aimer, vous le servez consciencieusement et vous vous égorgez les uns les autres, et vous maudissez celui qui n’a aucune responsabilité dans vos malheurs, Dieu, qui lutte avec ses anges pour sauvegarder ce qui est à lui la Foi dans le cœur des chrétiens, la bonté dans le cœur des le moment, ce n’est pas moi qui fais la sélection. C’est vous qui vous sélectionnez, spontanément. Ceux qui, nonobstant l’horreur, comprennent que Dieu est toujours Dieu, c’est-à-dire Bonté et Justice, et que le salut consiste à observer la Loi de Dieu, se séparent de ceux qui nient ces vérités. Les premiers montent vers la Lumière, les autres plongent dans les fait Satan tente, avec ses démons, de monter au Ciel une deuxième fois. Mais repoussé par mon archange, il se précipite sur la terre pour vaincre Dieu à travers le cœur de ses enfants, puisque chaque âme qui se perd est une défaite pour Dieu. Et Satan y réussit facilement parce que le cœur des humains n'a plus la flamme de l’esprit. Il n’a plus la vie de l’esprit. C’est un nœud de péchés dans lequel prospère la triple luxure qui tue l’ ceux qui ont vaincu en vertu du Sang de l’Agneau et sont restés et resteront toujours fidèles. Bienheureux ceux qui auront repoussé Satan et ses flatteries et ne se seront pas souciés de ses triomphes apparents, de ses efforts déployés en cette, heure, dont il sait qu’elle sera brève pour son règne de malédiction; ceux qui resteront fidèles au Christ et à son Eglise, démembrée par la persécution antichrétienne, martyre invaincue comme le grand Martyr son Époux, le Christ crucifié, mais qui renaît encore plus belle après la mort apparente pour entrer glorifiée au Ciel, où le vrai Pontife l’attend pour célébrer les noces.”[1] Dans les dictées des 4 et 19 démons, émules des angesLe 22 août 1943 Apocalypse 1301 Alors, j’ai vu monter de la mer une Bête ayant dix cornes et sept têtes, avec un diadème sur chacune des dix cornes et, sur les têtes, des noms Et la Bête que j’ai vue ressemblait à une panthère ; ses pattes étaient comme celles d’un ours, et sa gueule, comme celle d’un lion. Le Dragon lui donna sa puissance et son trône, et un grand L’une de ses têtes était comme blessée à mort, mais sa plaie mortelle fut guérie. Émerveillée, la terre entière suivit la Bête,04 et l’on se prosterna devant le Dragon parce qu’il avait donné le pouvoir à la Bête. Et, devant elle, on se prosterna aussi, en disant Qui est comparable à la Bête, et qui peut lui faire la guerre ? »05 Il lui fut donné une bouche qui disait des énormités, des blasphèmes, et il lui fut donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux Elle ouvrit la bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer contre son nom et sa demeure, contre ceux qui demeurent au Il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre, il lui fut donné pouvoir sur toute tribu, peuple, langue et Ils se prosterneront devant elle, tous ceux qui habitent sur la terre, et dont le nom n’est pas inscrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, depuis la fondation du Si quelqu’un a des oreilles, qu’il Si quelqu’un doit aller en captivité, il ira en captivité ; si quelqu’un doit être tué par l’épée, il sera tué par l’épée. C’est ici qu’on reconnaît la persévérance et la foi des Puis, j’ai vu monter de la terre une autre Bête ; elle avait deux cornes comme un agneau, et elle parlait comme un Elle exerce tout le pouvoir de la première Bête en sa présence, amenant la terre et tous ceux qui l’habitent à se prosterner devant la première Bête, dont la plaie mortelle a été Elle produit de grands signes, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre aux yeux des hommes 14 elle égare les habitants de la terre par les signes qu’il lui a été donné de produire en présence de la Bête ; elle dit aux habitants de la terre de dresser une image en l’honneur de la première Bête qui porte une plaie faite par l’épée mais qui a repris Il lui a été donné d’animer l’image de la Bête, au point que cette image se mette à parler, et fasse tuer tous ceux qui ne se prosternent pas devant À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front,17 afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là le nom de la Bête ou le chiffre de son C’est ici qu’on reconnaît la sagesse. Celui qui a l’intelligence, qu’il se mette à calculer le chiffre de la Bête, car c’est un chiffre d’homme, et ce chiffre est six cent soixante-six. Jésus dit “Je t’ai dit un jour [1] que l’éternel envieux cherche à copier Dieu dans toutes ses a ses fidèles archanges, Satan a les siens. Michel, témoignage de Dieu, a son émule infernal, tout comme Gabriel, force de Dieu, a le première bête, sortie de la mer, laquelle, d’une voix de blasphème, fait proclamer aux naïfs Qui est semblable à la bête ?’, correspond à Michel. Vaincue et brûlée par lui dans la bataille entre les troupes de Dieu et celles de Lucifer, au commencement du temps, guérie par Satan, elle porte à Michel une haine mortelle et amour à Satan, si toutefois on peut parler d’amour entre les démons — il vaut mieux dire soumission fidèle de son roi maudit, elle se sert de son intelligence pour nuire à la descendance de l’humain, créature de Dieu, et pour servir son maître. Elle emploie une force sans fin et sans limites pour persuader l’être humain d’effacer de soi mon Signe qui fait horreur aux esprits des ténèbres. Une fois enlevé ce signe, par le péché qui supprime la grâce, le chrisme lumineux sur votre être, la bête peut s’approcher et induire la créature à l’adorer comme si elle était un Dieu et à la servir dans le l’être humain réfléchissait à quoi il s’assujettit en épousant la faute, il ne pécherait pas. Mais il ne réfléchit pas. Il ne regarde que le moment et la joie du moment, et pire qu’Ésaü, il troque le divin engendrement pour un plat de Satan ne se sert pas seulement de ce violent séducteur des humains. Si en général ils réfléchissent peu, il y a encore trop d’humains qui, non par amour, mais par crainte du châtiment, ne veulent pas pécher gravement. Et voilà qu’entre en scène l’autre ministre satanique, la deuxième bête. Sous l’aspect d’un agneau, elle a l’esprit d’un la deuxième manifestation de Satan et elle correspond à Gabriel, parce qu’elle annonce la bête et elle est sa plus grande force celle qui démantèle sans en avoir l’air avec une feinte douceur qui convainc qu’il est juste de suivre dans les traces de la est inutile de parler de pouvoir politique et de pouvoir de la terre. Tout au plus, vous pouvez donner au premier le nom de pouvoir humain et au second celui de science humaine. Et si le pouvoir de par lui-même produit des rebelles, la science, lorsqu’elle est uniquement humaine, corrompt sans susciter la révolte et entraîne à leur perte un nombre infini d’ se perdent par l’orgueil de l’esprit qui leur fait mépriser la Foi et tuer l’âme par l’orgueil qui sépare de Dieu ! Au dernier jour, je moissonnerai les moissons de la terre, mais il y a déjà un moissonneur parmi vous. Et c’est cet esprit du Mal qui vous fauche et fait de vous, non pas des épis de blé éternel, mais de la paille pour les demeures de science, une seule science est nécessaire. Je le répéterai mille fois connaître Dieu et le servir, le connaître par les choses, le voir dans les évènements et savoir le distinguer de ses antagonistes pour ne pas tomber dans la perdition. Au lieu de cela, vous vous préoccupez d’augmenter le savoir humain au détriment du savoir ne condamne pas la science. Je suis même heureux que l’être humain approfondisse par son savoir les connaissances qu’il a accumulées, pour pouvoir me comprendre et m’admirer toujours davantage dans mes œuvres. Je vous ai donné l’intelligence pour cela. Mais vous devez vous en servir pour voir Dieu dans la loi de l’astre, dans la formation de la fleur, dans la conception de l’être, et non vous servir de l’intelligence pour violenter la vie ou nier le humanisme, philosophisme, théosophisme, naturisme, classicisme, darwinisme, vous avez des écoles et des doctrines de tous les genres et vous faites grand cas de toutes, bien que la vérité y soit dénaturée ou supprimée. Il n’y a que l’école du Christianisme que vous ne voulez pas suivre ou du reste une résistance naturelle. En approfondissant la culture religieuse, vous seriez obligés ou de suivre la Loi, ce que vous ne voulez pas faire, ou de confesser ouvertement que vous voulez piétiner la Loi. Et cela aussi, vous ne voulez pas le faire. Par conséquent, vous ne voulez pas devenir savants dans la science pauvres sots ! Que ferez-vous de vos petites écoles et de vos petits mots quand vous aurez à subir mon examen ? Vous avez éteint en vous la lumière infinie de la vraie science et vous avez cru éclairer vos âmes avec des succédanés de lumière, comme de pauvres fous qui prétendraient éteindre le soleil et faire un nouveau soleil avec beaucoup de petites lanternes. Mais même si le brouillard cache le soleil, le soleil est toujours dans le firmament. Mais même si par vos doctrines vous créez des brouillards qui voilent le savoir et la vérité, la vérité et le savoir demeurent puisqu’ils viennent de moi qui suis la vraie sagesse et vous comprendrez la science comme elle doit être comprise. Débarrassez vos âmes de toutes les superstructures artificielles et érigez-y la vraie Foi. Comme les flèches d’une cathédrale spirituelle, la science, la sagesse, l’intellect, la force, l’humilité et la continence s’y élèveront, car le vrai savant sait, non seulement ce qui est humainement connaissable, mais aussi la plus difficile des choses se dominer dans les passions de la chair et faire de sa partie inférieure le piédestal pour élever son âme et lancer son esprit vers les Cieux, à ma rencontre, moi qui viens et suis en chaque chose et qui aime être le Maître véritable et saint de mes frères et sœurs.”[1] Dans la dictée du 19 sept plaies de l'Apocalypse. Le règne de la grande BabyloneLe 22 août 1943 Apocalypse, chapitres 16 et 17Plus tard le même jourJésus dit “Les sept dernières plaies correspondent aux sept tonnerres non décrits [1]. Comme d’habitude, ce sont des descriptions figuratives dont cependant la réalité n’est pas totalement exclue. Je t’explique ce que j’estime opportun de t’en première est l’ l’époque de Moïse, je punis par de répugnantes maladies les créatures qui avaient commis d’impardonnables péchés envers moi. Marie, sœur de Moïse, eut le corps recouvert par la lèpre pour avoir dit du mal de mon serviteur Moïse. Comment n’arriverait-il pas la même chose et plus à ceux qui disent du mal de leur Dieu ? La lèpre, ou l’ulcère le cas échéant, s’étend de plus en plus parce que vous avez étendu vos péchés contre Dieu et contre l’admirable œuvre de Dieu que vous vous vous vautrez dans la luxure, ne pensez-vous pas faire un péché contre Dieu ? Mais bien sûr que vous en faites un, car vous profanez votre corps dans lequel réside l’esprit pour m’accueillir moi l’Esprit suprême. Et à quel point est en train d’arriver la luxure des humains, à laquelle ils se livrent avec une froide et consciente volonté ? Il vaut mieux ne pas sonder cet abîme de répugnante dégradation je te dis qu’on a qualifié d’immondes certains animaux, mais que l’être humain les a déjà dépassés et il les dépassera encore plus, et que si on pouvait créer un nouvel animal en croisant les singes avec les serpents et les porcs, il serait encore moins immonde de certains humains, qui ont l’apparence d’un humain, mais qui à l’intérieur sont plus lubriques et répugnants que le plus sale des je t’ai dit, l’humanité se scinde de plus en plus. La partie spirituelle, exiguë au sommet, monte. La partie charnelle, très nombreuse, descend. Elle descend à d’épouvantables profondeurs de vice. Quand viendra le temps de la colère, l’humanité aura atteint la perfection du tu voudrais que la puanteur des âmes mortes ne transpire pas à l’extérieur et ne corrompe pas les chairs, adorées plus que moi et employées pour toutes les prostitutions ?Et comme vous provoquerez les ulcères, vous remplirez de sang la mer et les eaux des rivières. Vous êtes déjà en train de les remplir par vos carnages, et les habitants des eaux diminuent, tués par vous, contribuant ainsi à votre faim. Vous avez tellement piétiné les dons que Dieu vous a faits pour satisfaire vos besoins matériels que la terre, le ciel et les eaux sont en train de devenir vos ennemis et vous refusent les fruits de la terre et les habitants des eaux, des fleuves, des bois, des tuez, piétinez la loi de l’amour et du pardon, versez le sang fraternel, et surtout le sang des bons, que vous persécutez justement parce qu’ils sont bons. Mais prenez garde qu’un jour Dieu ne vous oblige à satisfaire votre faim et votre soif avec le sang que vous avez versé, contre mon commandement de paix et d’ êtes rebelles aux lois que je vous ai données; rebelles contre vous seront les astres et les planètes qui vous ont jusqu’ici donné la lumière et la chaleur dont vous aviez besoin, obéissant, eux, aux règles que j’ai établies par bonté envers maladies répugnantes comme marque de votre vice; du sang dans l’eau comme témoignage de tout le sang que vous avez voulu verser, et dans celui-ci le mien; le feu du soleil pour vous donner un avant-goût des braises éternelles qui attendent les maudits; ténèbres pour vous avertir que les ténèbres attendent ceux qui détestent la Lumière; tout cela pour vous inciter à réfléchir et à vous cela ne servira à rien. Vous continuerez à tomber Vous continuerez à faire vos alliances avec le mal, préparant le chemin aux rois d’Orient’, c’est-à-dire aux appuis du Fils du semble que ce soient mes anges qui apportent les plaies. En réalité, c’est vous. Vous les voulez et vous les devenus dragons et bêtes vous-mêmes pour avoir épousé le Dragon et la Bête, de vos parties internes corrompues vous accoucherez d’êtres immondes les doctrines démoniaques absolues, lesquelles, en accomplissant de faux prodiges, séduiront les puissants et les entraîneront à lutter contre Dieu. Vous serez si pervertis que vous prendrez pour des prodiges célestes ce qui est création Maria, je te prends par la main pour te conduire au point le plus obscur du livre de Jean. Ses glossateurs ont épuisé leur science en nombre de déductions pour s’expliquer et expliquer aux foules qui est la grande Babylone’. Avec une vision humaine, à laquelle les chocs provoqués par des évènements souhaités ou arrivés n’étaient pas étrangers, ils ont donné le nom de Babylone à plusieurs comment se fait-il qu’ils n’aient pas pensé que la grande Babylone’ est toute la Terre ? Je serais un Dieu Créateur bien petit et limité si je n’avais créé que la Terre comme monde habité ! D’un battement de ma volonté, j’ai suscité des mondes et des mondes du néant et je les ai projetés, poussières lumineuses, dans l’immensité du Terre, dont vous êtes si fiers et si férocement jaloux, n’est qu’une de ces poussières tournant dans l’infini, et pas la plus grande. Mais certainement la plus corrompue. Des vies et des vies pullulent dans les millions de mondes qui font la joie de votre regard dans les nuits sereines, et la perfection de Dieu vous apparaîtra quand vous pourrez voir, avec la vue intellectuelle de l’esprit réuni à Dieu, les merveilles de ces Terre n’est-elle pas la grande prostituée qui a forniqué avec toutes les puissances de la terre et de l’enfer, et les habitants de la Terre ne se sont- ils pas prostitués, corps et âme, pour triompher dans le jour terrestre ?Oui, c’est comme ça. Les crimes de la Terre ont tous des noms de blasphèmes, comme la Bête avec laquelle la Terre et ses habitants se sont alliés pour triompher. Les sept péchés se tiennent comme un horrible ornement sur la tête de la Bête qui transporte la Terre et les terriens aux pâturages du mal, et les dix cornes, nombre métaphorique, illustrent les infinies scélératesses commises pour obtenir, à n’importe quel prix, ce que veut sa féroce Terre n’est-elle pas trempée du sang des martyrs, enivrée de cette liqueur sainte qui, bue par sa bouche sacrilège, s’est muée en elle en philtre d’ivresse maudite ? La Bête qui la porte, résumé et synthèse de tout le mal commis d’Adam à nos jours pour triompher dans le monde et dans la chair, traîne à sa suite ceux qui, en l’adorant, deviendront rois d’une heure et d’un royaume maudit. En tant qu’enfants de Dieu, vous êtes rois, et votre règne est éternel. Mais vous devenez rois d’une heure et d’un royaume maudit lorsque vous adorez Satan, qui ne peut vous donner qu’un triomphe éphémère payé au prix d’une éternité d’ Bête dit Jean fut et n’est pas. Il en sera ainsi à la fin du monde. Fut, parce qu’elle a existé vraiment; n’est pas, parce que moi, le Christ, je l’aurai vaincue et ensevelie, car alors elle ne sera plus nécessaire aux triomphes du Terre n’est-elle pas assise sur les eaux de ses mers et ne s’en est-elle pas servie pour nuire ? De quoi ne s’est-elle pas servie ? Peuples, nations, races, confins, intérêts, aliments, expansions, tout lui a servi à forniquer et à exécuter de vastes homicides et des trahisons comme celle de Judas. Ses propres enfants, qu’elle a nourris du sang du péché, accompliront la vengeance dé Dieu sur elle, la détruisant, se détruisant, portant la somme des crimes contre Dieu et contre l’humanité au nombre parfait qui exige que je tonne mon Assez !’À cette heure-là, le sang des martyrs et des prophètes bouillira, fumant d’une odeur agréable à mon trône, et les mottes de la terre, lesquelles ont recueilli les gémissements de ceux qu’on a tués par haine pour moi et leurs derniers tressaillements, jetteront un grand cri fait de ces saints gémissements et, secouées de convulsions d’angoisse, elles feront trembler les villes et les maisons des humains où l’on pèche, où l’on tue, et rempliront la voûte des Cieux d’une voix qui réclame justice sera faite. Je viendrai. Je viendrai parce que je suis Fidèle et Véridique. Je viendrai donner la paix aux fidèles et saint jugement à ceux qui ont vécu. Je viendrai avec mon Nom dont je suis seul à connaître le sens et dont les lettres contiennent les principaux attributs de Dieu dont je suis Partie et Gesù [Jésus en italien] Grandeur, Éternité, Sainteté, Unité. Écris Cristo Charité, Rédemption, Immensité, Sagesse, Trinité, Omnipotence de Dieu condensée dans le nom du Verbe fait homme. Et s’il te semble qu’il manque quelque attribut, dis-toi que la Justice est comprise dans la sainteté, car celui qui est saint est juste, la Royauté dans la grandeur, la Création dans l’omnipotence. Les louanges de Dieu sont donc proclamées dans mon saint, dont le son terrifie les démons. Nom de vie qui donnes Vie, Force, Lumière à quiconque t’aime et t’ qui est la couronne sur ma tête de vainqueur de la Bête et de son prophète, lesquels seront pris, enfoncés, submergés, ensevelis dans le feu liquide et éternel dont la morsure féroce est inconcevable au sens sera alors le temps de mon Royaume de la Terre. Il y aura donc une trêve dans les crimes démoniaques pour donner le temps aux humains de réentendre les voix du ciel. Une fois écartée la force qui déchaîne l’horreur, de grands courants spirituels descendront comme des chutes de grâce, comme des rivières d’eaux célestes, pour dire des paroles de les hommes resteront sourds, comme ils n’ont pas recueilli au cours des siècles les voix isolées, à commencer par celle du Verbe, qui ont parlé de bien, toujours sourds excepté ceux qui sont marqués de mon signe, mes amis bien-aimés, résolus à me suivre — sourds aux voix de beaucoup d’esprits, aux voix semblables au ruissellement des eaux qui chanteront le nouveau cantique pour guider les peuples à la rencontre de la Lumière et surtout de leur Jésus, Parole éternelle. Lorsque la dernière tentative sera achevée135, Satan viendra pour la dernière fois et il trouvera des disciples aux quatre coins de la terre, et ils seront plus nombreux que les grains de sable de la ! Christ ! Oh ! Jésus qui es mort pour sauver l’humanité ! Seule la patience d’un Dieu peut avoir tant attendu, avoir tant fait et avoir obtenu si peu sans retirer son don aux humains et les faire périr bien avant l’heure établie ! Seule ma patience qui est amour pouvait vous attendre, tout en sachant que, comme du sable qui filtre à travers un crible très fin, quelques rares âmes seraient venues à la gloire parmi la masse qui ne sait pas, qui ne veut pas passer à travers le crible de la Loi, de l’Amour, du Sacrifice pour parvenir jusqu’à à l’heure de ma venue, quand, en qualité de Dieu, de Roi et de Juge, je viendrai pour rassembler les élus et maudire les réprouvés, en les jetant là où l’Antéchrist, la Bête et Satan seront déjà pour l’éternité, après la victoire suprême de Jésus Christ, Fils de Dieu, Vainqueur de la mort et du mal, à mes élus qui ont su rester vivants’ dans la vie, vivants dans l’esprit en attendant notre heure de triomphe, je donnerai la possession de la demeure céleste, je me donnerai moi-même sans cesse et sans dois tendre à cette heure-là, Maria. Appelle-la et appelle-moi de toutes les forces de ton esprit. Voilà, déjà je viens quand une âme m’appelle. Avec le Bien-aimé qui, de cette terre, vit la gloire de l’Agneau,Fils de Dieu, la gloire de son Jésus qui est ton Jésus, dis avec chaque battement de ton cœur Viens, Seigneur Jésus’. ”***Je suis une loque, une pauvre petite loque. Je n’ai que l’âme qui baigne dans la sa dictée, Jésus me fait comprendre que, lorsqu’il dit Terre, il veut dire monde pris au sens, non pas de globe de poussière et d’eau, mais plutôt d’union de personnes. Je ne sais si je m’explique bien. Lorsqu’il dit Terre, il entend, si je peux m’exprimer ainsi, personne morale, et quand il dit terre, il veut dire simplement planète composée de mottes, de monts, d’eau. Coupable la première, innocente la pour cela qu’il peut affirmer sans se contredire que le sang des martyrs est devenu poison pour la Terre qui l’a bu par ses habitants avec une colère sacrilège et l’a versé par ses puissances d’état avec un abus blasphématoire du pouvoir temporel; tandis que la terre-globe, tournant dans l’espace d’éther, a bu avec respect et accueilli avec amour le sang des martyrs et les convulsions de leur agonie, et présente les unes et l’autre à l’Éternel, en lui demandant, maternelle et compatissante, qu’il n’ait pas été versé et qu’elles n’aient pas été souffertes pour rien et que justice leur soit suis contente d’avoir eu l’explication directe du Livre que j’aime tant, mais je vous [2] assure qu’humainement je suis défaite. J’ai l’impression d’être une chose pressée, vidée. Je n’ai plus rien au dedans de moi après avoir tant derniers jours, écrasée par les grandes voix qui résonnaient au fond de moi, je ne pouvais supporter le bruit humain, et j’en ai tant eu autour de moi ! J’ai souffert énormément, prise entre les entraves ordinaires de la vie et les exigences surnaturelles du C’est fait. Et maintenant je dis “Un peu de repos, sinon la pauvre écrivailleuse de Jésus va finir par se briser comme une machine qui a été trop utilisée”. À vous maintenant pour la copie. Cependant, quand vous m’apporterez le fascicule, rapportez-moi aussi ce cahier. J’ai moins de mal à corriger si j’ai le manuscrit sous les yeux. Autrement, comment vais-je faire pour me rappeler et ajouter les mots qui manquent ? Qui se les rappelle ? Je vais vous le rendre après.[1] Voir la dictée du 20 août.[2] Elle s’adresse au père et seconde mort, première et seconde résurrectionLe 22 août 1943 Au lieu de cela, il y a encore à dire. Jésus dit “Avant de clore ce cycle, il faut parler des deux première commence au moment où l’âme se sépare du corps et paraît devant moi pour le jugement individuel. Mais ce n’est qu’une résurrection partielle. Plus qu’une résurrection, on pourrait l’appeler une libération de l’esprit de son enveloppe charnelle et l’attente de l’esprit du moment où il sera réuni à la chair pour reconstruire le temple vivant créé par le Père, le temple de l’humain créé à l’image et à la ressemblance de œuvre à laquelle manque une partie est incomplète et par conséquent imparfaite. L’œuvre-humain, parfaite dans sa création, est incomplète et imparfaite si elle n’est pas unie dans ses diverses parties. Destinés au Royaume lumineux ou au séjour ténébreux, les êtres humains doivent y être pour l’éternité avec leur perfection de chair et d’ parle donc de première et de deuxième résurrection. Mais qui a tué son esprit par une vie terrestre de péché vient à moi, pour son jugement individuel, avec un esprit déjà mort. La résurrection finale fera en sorte que sa chair reprenne le poids de l’esprit mort pour mourir avec lui totalement. Tandis que celui qui a vaincu la chair pendant sa vie sur terre vient à moi, pour son jugement individuel, avec un esprit vivant qui, au Paradis, augmente son potentiel de qui purgent leur peine sont aussi des vivants’. Malades, mais vivants. Une fois obtenue leur guérison par l’expiation, ils entreront dans le lieu qui est la vie. Dans la résurrection finale, leur esprit, vivant de ma vie à laquelle ils seront indissolublement unis, reprendra la chair pour la rendre glorieuse et vivre avec elle totalement, comme moi je vis avec pourquoi on parle de première et de deuxième mort et, par conséquent, de première et de deuxième résurrection. L’être humain doit parvenir à cette éternelle possession de la Lumière puisqu’au Paradis, vous possédez Dieu et Dieu est Lumière par sa propre volonté, tout comme par sa propre volonté il a voulu perdre la Lumière et le Paradis. Moi, je vous donne l’appui nécessaire, mais vous devez le vouloir suis fidèle. Je vous ai créés libres et je vous laisse libres. Et si vous pensez à quel point ce respect de Dieu pour le libre arbitre de l’être humain est digne d’admiration, vous pourrez comprendre qu’il est juste que vous n’en abusiez pas en vous en servant pour faire le mal, et juste que vous donniez au Seigneur Dieu votre respect, votre reconnaissance et votre amour..À ceux qui n’ont point transgressé la Loi divine, je dis Votre demeure au Ciel est prête, et je brûle que vous soyez dans ma béatitude’.”Source au père et à Maria pour les guider dans leur missionLe 23 août 1943 7 h du matin au Père [1] et à moi Jésus dit “Je répète à toi et au Père des mots que j’ai dits il y a vingt siècles et qui sont toujours d’actualité, et qui conviennent maintenant particulièrement à votre situation Si vous observez mes commandements, vous persévérerez dans mon amour... Je vous ai dit ces choses pour que ma joie soit en vous et que ma joie soit complète. Vous êtes mes amis si vous obéissez à mes commandements. Je ne vous appelle plus mes serviteurs, mais mes amis, parce que je vous ai fait connaître ce que j’ai entendu de mon Père. Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais c’est moi qui vous ai choisis et qui vous ai destinés à porter des fruits mutuellement et aimez-moi toujours plus. Le monde vous hait parce que je vous ai choisis. Le monde n’aime que lui-même et ses propres œuvres, et il hait ce qui porte mon Nom. Et pourtant, j’ai accompli et continue d’accomplir au monde des œuvres que personne d’autre n’a accomplies. Ceux qui me haïssent n’ont donc pas d’excuse. Mais cela doit arriver, car il est dit Tu me hais sans raison.» Ils n’ont pas d’excuse non plus pour leur obstination dans le mal, parce que si je n’étais pas venu comme Maître, ils pourraient être excusés, mais je suis venu et je viens, et on ne veut pas m’écouter. Ils n’ont donc aucune circonstance atténuante’.Je vous ordonne, avec un commandement d’amour, parce que vous êtes mes amis, de ne pas dissiper ces paroles. Servez-vous-en pour vous-mêmes et pour beaucoup d’autres âmes. Je ne les ai pas dites sans raison. Je vous les ai dites pour votre joie, ô mes amis, à qui il m’est doux de dire mes pensées les plus secrètes et de demander de l’aide afin d’être aimé de ceux qui ne savent plus aimer et qui périssent sans même se rendre compte qu’ils sont en train de veux que vous soyez dans la joie. Mais dans une joie surnaturelle, car à cause de mon amour, vous serez haïs par le monde aux yeux duquel je suis odieux. À ceux qui m’aiment, le monde donne peines et douleur. Mais ça ne fait rien. Je vous dis persévérez dans mon amour. Je serai votre disséminer ma Parole. Allez-y avec discernement et soin. Ne l’appliquez pas à tous de la même façon. Que l’Esprit de Lumière, dont on parlait hier dans la Messe, vous aide dans le choix des passages qu’il faut faire connaître et de ceux qu’il faut garder cachés pour le moment. Mon conseil est que vous fassiez un choix dans ce que j’ai dit. Il y a des passages qui, pour l’instant, ne doivent être qu’un doux entretien entre nous. D’autres ne doivent être transmis qu’à des personnes qui, en raison de leur rôle ou de leur âme, sont déjà en mesure d’être admises à certaines connaissances. D’autres passages peuvent être dits et diffusés au plus grand nombre des paroles sont toutes saintes, mais les foules ne le sont pas. Il est donc essentiel que vous soyez prudents comme des serpents pour éviter les anneaux insidieux du grand serpent qu’est l’esprit du monde, lequel étouffe et empoisonne ce qui est bon, ou le détourne de façon à ce que le bien serve de prétexte au moments que vous vivez, mes pauvres amis, sont encore plus remplis de hargne et d’esprit contraire à Dieu que le temps où je fus jugé par une poignée d’hommes que le péché avait rendus fous. Il importe donc d’être vigilants parce qu’on saisirait immédiatement le prétexte de nuire aux ennemis, d’exciter les foules à des fins impies qui se cachent sous une apparence de bonté, mais qui ne sont en réalité qu’un bouillonnement de passions et d’ambitions Parole de vérité ne doit pas servir le mensonge. Ma Parole de miséricorde ne doit pas servir les vengeances. Donc, Père sait sûrement mieux que toi comment agir. Qu’il prie donc. Priez tous les deux; l’Esprit Saint vous aidera. Rappelez-vous toujours que vous avez entre les mains des remèdes aptes à guérir les âmes, et que ces âmes sont fort mal en point du fait que les passions et les péchés les ont massacrées. Elles sont déchiquetées par les explosions internes du mal, et les coups venant de l’extérieur leur ont fait perdre tout leur sang. Elles ne sont plus qu’une plaie, complètement épuisées. Tels des médecins, vous devez avoir un toucher léger et une suprême patience pour traiter ces grandes blessées et leur transfuser la vie. Je ne peux m’empêcher de dire ce que je dis, et vous ne pouvez vous empêcher de recevoir ce que je vous dis. Néanmoins, il faut du bon sens dans l’usage de mon comme vous l’avez fait avec sœur Benigna138. Non une diffusion ouverte et retentissante, mais une lente expansion toujours plus vaste, et qui reste sans nom. Et cela pour protéger ton esprit que l’orgueil pourrait troubler et ta personne qui n’a pas besoin d’autres agitations. Quand ta main sera immobile dans la paix en attendant sa résurrection dans la gloire, alors, et seulement alors, ton nom sera une gloire que d’être persécuté à cause de mon amour. Mais j’ai si peu d’amis et de si rares porte-parole que je ne veux pas qu’ils soient dérangés ou détruits par la haine du monde. J’ai pitié des âmes et je protège les porteurs de ma parole comme moi-même, plus que pas vous imaginer que vous obtiendrez grand-chose avec mes paroles. Elles tombent sur des âmes presque entièrement mortes. Mais nous devons, jusqu’au bout, tenter de sauver les cœurs. Nous avons été formés à cet effet, mes frères, mes sœurs. Faisons donc respirer l’oxygène pur aux âmes qui succombent à l’asphyxie du inonde, des sens, de l’argent. Nous accomplissons notre œuvre. S’ils restent des rochers sans vie, tant pis pour t’ai parlé avec des mots d’il y a vingt siècles, parce qu’ils sont toujours actuels et doux comme alors, car je suis éternel et fidèle, et vous qui vous succédez dans les siècles êtes toujours mes apôtres du temps présent, mes amis, les exécuteurs de la volonté du Père et de mes vous donne ma Paix, ô mes enfants bénis ![1] Le père Migliorini confesseur de Maria Valtorta Source Curie humanité parfaite et spiritualité imparfaiteLe 24 août 1943 À propos de Madame Curie [1]Jésus dit “Ce sont des créatures humainement parfaites. En elles, tout a atteint à la perfection, excepté leur esprit qui a régressé toujours plus jusqu’à devenir un embryon d’ ont un génie parfait, un sérieux parfait, une honnêteté parfaite, une humilité parfaite. Mais tout est humainement parfait. Leur vertu est une flamme qui ne réchauffe pas. C’est un feu froid. Il n’a pas de valeur pour moi. Je préfère une spiritualité imparfaite à une humanité si grande splendeur de perfection humaine est comme la luminosité de cent, de mille lampes. Elles produisent de la lumière; c’est indéniable. Mais c’est une lumière artificielle, laquelle, advenant une panne du moindre mécanisme, meurt aussitôt, et il n’en reste rien. Tandis que l’esprit, même imparfait, est toujours un petit soleil vivant de sa propre lumière, jaillie de la Grâce qui réside en lui. Je parle de l’esprit vivant, c’est-à-dire qui vit en moi, vivifié par la fait de posséder une intelligence supérieure, qui leur a permis de pénétrer les mystères de la nature, aurait dû aussi les amener à voir la puissance de Dieu et son existence, dont l’être est inscrit dans toutes les choses créées. Mais rien de cela ne s’est produit. Ce sont des êtres pleins de science, mais à qui il manque le fil qui conduit à la connaissance exacte de ce qui est. Inventeurs de nouveau, mais négateurs de l’éternel; découvreurs de forces secrètes, mais indifférents à la Force des forces, Dieu. Ils ne le cherchent pas, mais au contraire, le nient délibérément. Tout au moins, ils le pour cela que la science humaine, indéniablement avancée, ne porte pas de bons fruits, mais des fruits empoisonnés. Il manque dans le cœur et dans l’esprit des scientifiques le feu de l’amour qui fait respecter et aimer Dieu, qui fait respecter et aimer le le cas particulier qui nous intéresse, cette femme ne fit aucun tort à son prochain; au contraire, elle lui fit du bien. C’est déjà beaucoup. Mais réfléchis un peu à l’importance de l’impulsion qu’elle aurait donnée à son école, à ses disciples et aux disciples des disciples si, à la fascination de son moi, elle avait uni une religiosité peux croire, ma chère âme, qu’à l’heure du jugement, de petites créatures illettrées paraîtront plus grandes que les luminaires de la science. Les premières, allumées par l’amour seront des étoiles vivantes dans mon ciel. Même si je ne les condamnais pas à cause du bien qu’elles ont fait sur le plan humain, les autres seront des corps nébuleux dans mon Paradis. Ils seront sauvés par ma miséricorde sans aucun mérite de leur part, sauvés davantage par les prières de ceux à qui ils ont fait du bien que par dis-moi préfères-tu être une petite nullité dans le domaine du savoir et m’appartenir, toute à moi dans cette vie et dans l’autre, ou aurais-tu aimé être un astre ici-bas et opaque nébuleuse là-haut ? Je connais déjà ta réponse et je te dis donc Tu as répondu sagement’Va en paix.”[1] Marie Curie 1867—1934.Source du Seigneur partout où ses frères souffrentLe 25 août 1943 Jésus dit “Pour moi, il n’y a pas de différence entre le grand qui habite ses palais et le berger qui dort sur l’herbe au milieu de son troupeau. Vous êtes tous frères et sœurs et mes enfants, et j’ai versé mon Sang pour les riches et les pauvres, les puissants et les n’applaudis donc pas à certaines différences que l’on est en train d’établir de nos jours. Je n’approuve pas les carnages, en quelque lieu qu’on les fasse. Je ne les approuve pas, car ils sont contraires à la charité et donnent de sérieuses raisons aux faibles de je n’approuve pas non plus que certains, profitant d’une situation privilégiée, se sauvent en laissant d’autres lieux sous la torture cependant que je suis là où les miens souffrent. Je suis donc là où le danger est le plus vif et le malheur imminent. Là où l’on meurt par la main de l’homme se trouve le Rédempteur qui absout et bénit.”Source et immutabilité de la vraie foiLe 26 août 1943 Jésus dit “La beauté, la puissance, la force de la Foi sont telles que vous ne pourrez en connaître la plénitude qu’au ciel. Ici-bas, vous en avez seulement un pâle reflet, même dans les âmes le plus pénétrées de Foi. Mais ce reflet est déjà assez fort pour suffire à orienter toute une vie et à la conduire tout droit à parle de la Foi. De la vraie Foi. De ma Foi. Il n’y a qu’un Dieu, il n’y a qu’un Christ, il n’y a qu’une vraie Foi, née avec l’être humain, habitant de la Terre, seule fleur du désert et de l’exil du premier homme et de la première femme et de leurs descendants; Foi qui s’est perfectionnée au cours des siècles, puisant sa plénitude dans ma venue; sceau, qui ne ment pas et qui ne peut se démentir, de la foi des patriarches et des prophètes; cette Foi dont l’Église, dépositaire des trésors du Verbe, est la gardienne, est immuable, car elle partage les attributs de son Créateur, l’immutabilité et la bien. Qu’est- ce que la Foi assurait aux pères anciens ? Ma venue, acte de charité si sublime qu’il suffit à lui-même à rendre sûrs de la présence d’un Dieu, Père du genre humain. Elle assurait la vie éternelle réservée à tous ceux qui sont morts dans le Seigneur et elle annonçait l’éternelle punition aux transgresseurs de la Loi du assurait notre Entité Une et Trine. Elle assurait l’existence de l’Esprit Saint dont émane toute lumière spirituelle ce que la Foi assure aux chrétiens, depuis vingt siècles et jusqu’à nos jours ? Les mêmes choses. Ai-je modifié la Foi, moi ? Non. Au contraire, je l’ai confirmée et je lui ai construit tout autour la citadelle de mon Église catholique, apostolique, romaine, dans laquelle se trouve la vérité que j’y ai moi-même dernier jour et au dernier humain, la Foi est et reste celle-là’. Il ne peut y en avoir une autre. Et si vous me dites que le monde évolue, je vous réponds que son évolution n’est pas un obstacle à la Foi, mais au contraire, doit vous rendre toujours plus facile de ne veut pas dire être crédule. Croire, c’est accepter et comprendre, selon la lumière de l’intelligence, ce que vous disent ceux qui n’ont jamais menti les saints de Dieu, à commencer par les patriarches. Croire, c’est comprendre à la~ lumière de la Grâce, que je vous ai apportée pleine et surabondante, ce qui reste encore obscur à l’intelligence. Croire, c’est surtout aimer. La crédulité est stupide. Croire est une chose sainte, parce que c’est avoir un esprit obéissant aux mystères du ceux qui ne changent pas leur foi. Bienheureux ceux qui restent fidèles au Seigneur. La Foi dans une créature est la Lumière sur la lumière. Les choses, toutes les choses, qu’elles soient surnaturelles ou naturelles, se dévoilent dans une lumière de vérité qu’ignorent les incrédules, et l’âme monte à des hauteurs d’amour, de vénération, de paix, de on ne peut décrire avec des paroles humaines ce qu’est la Foi dans un cœur. Et ceux qui croient ne peuvent concevoir l’abîme de terreur, de ténèbres, d’anéantissement qu’est un cœur sans la ne juge jamais tes pauvres frères et sœurs incroyants. Crois pour eux aussi. Pour réparer leurs dénis. Moi seul peux juger. Moi seul condamne. Moi seul récompense. Et je suis seul à savoir combien je ne voudrais que récompenser, parce que je vous aime. Je vous aime au point que, pour pouvoir vous sauver, je suis mort pour vous, pour vous tous. Et vous ne pouvez me donner une joie plus grande que celle de sauver votre âme, de me laisser la sauver. Et vous ne pouvez me causer une douleur plus grande que celle de vouloir perdre votre âme en refusant mon don du un peu, Maria, combien souffre ton Jésus. Ton Jésus qui voit périr les âmes comme des fleurs desséchées par un vent de feu qui de jour en jour accélère son œuvre destructrice. En vérité, je te dis que cela m’est beaucoup plus douloureux que la barbarie de la Jésus pleure, Maria. Pleurons ensemble sur les pauvres âmes qui veulent mourir. Si même nos pleurs ne les sauvent pas, les tiens seront toujours un réconfort pour ton Jésus, et pour ce réconfort, sois bénie.”Source sur le déroulement de l’ApocalypseLe 27 août 1943 Apocalypse, chapitre 13 a écritApocalypse, chapitre 1301 Alors, j’ai vu monter de la mer une Bête ayant dix cornes et sept têtes, avec un diadème sur chacune des dix cornes et, sur les têtes, des noms Et la Bête que j’ai vue ressemblait à une panthère ; ses pattes étaient comme celles d’un ours, et sa gueule, comme celle d’un lion. Le Dragon lui donna sa puissance et son trône, et un grand L’une de ses têtes était comme blessée à mort, mais sa plaie mortelle fut guérie. Émerveillée, la terre entière suivit la Bête,04 et l’on se prosterna devant le Dragon parce qu’il avait donné le pouvoir à la Bête. Et, devant elle, on se prosterna aussi, en disant Qui est comparable à la Bête, et qui peut lui faire la guerre ? »05 Il lui fut donné une bouche qui disait des énormités, des blasphèmes, et il lui fut donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux Elle ouvrit la bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer contre son nom et sa demeure, contre ceux qui demeurent au Il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre, il lui fut donné pouvoir sur toute tribu, peuple, langue et Ils se prosterneront devant elle, tous ceux qui habitent sur la terre, et dont le nom n’est pas inscrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, depuis la fondation du Si quelqu’un a des oreilles, qu’il Si quelqu’un doit aller en captivité, il ira en captivité ; si quelqu’un doit être tué par l’épée, il sera tué par l’épée. C’est ici qu’on reconnaît la persévérance et la foi des Puis, j’ai vu monter de la terre une autre Bête ; elle avait deux cornes comme un agneau, et elle parlait comme un Elle exerce tout le pouvoir de la première Bête en sa présence, amenant la terre et tous ceux qui l’habitent à se prosterner devant la première Bête, dont la plaie mortelle a été Elle produit de grands signes, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre aux yeux des hommes 14 elle égare les habitants de la terre par les signes qu’il lui a été donné de produire en présence de la Bête ; elle dit aux habitants de la terre de dresser une image en l’honneur de la première Bête qui porte une plaie faite par l’épée mais qui a repris Il lui a été donné d’animer l’image de la Bête, au point que cette image se mette à parler, et fasse tuer tous ceux qui ne se prosternent pas devant À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front,17 afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là le nom de la Bête ou le chiffre de son C’est ici qu’on reconnaît la sagesse. Celui qui a l’intelligence, qu’il se mette à calculer le chiffre de la Bête, car c’est un chiffre d’homme, et ce chiffre est six cent soixante-six. Jésus dit “Même dans l’Apocalypse, les périodes semblent se confondre, mais il n’en est rien. Il vaudrait mieux dire qu’elles se reflètent dans les temps futurs sous des aspects de plus en plus sommes maintenant dans la période que j’appelle la période des précurseurs de l’Antéchrist. Puis viendra celle de l’Antéchrist, qui est le précurseur de Satan. Celui-ci sera aidé par les manifestations de Satan, les deux bêtes nommées dans l’Apocalypse. Cette période sera pire que la période actuelle. Le Mal s’accroît toujours plus. Après la défaite de l’Antéchrist viendra une période de paix pour donner aux humains, secoués par la stupeur des sept plaies et de la chute de Babylone, le temps de se rassembler sous mon signe. L’époque antichrétienne atteindra sa puissance maximale dans sa troisième manifestation, c’est-à-dire à la dernière venue de compris ? Il faut croire, et non ergoter. En fait, tu avais compris, justement parce que tu n’ergotes pas. Les dictées ne se contredisent pas entre elles. Il faut savoir les lire avec foi et un cœur quelqu’un qui tient à faire comprendre quelque chose, je vais droit à la chose la plus importante, laquelle est ici mon royaume. Car dans le royaume est la justification de mon Incarnation et de ma Mort. Car dans mon royaume est la preuve de mon infinie puissance, de ma bonté et de ma sagesse. Car dans le royaume est la preuve de la vie éternelle, de la résurrection de la chair, de mon pouvoir de conséquent, lorsque j’ai parlé pour expliquer l’Apocalypse, j’ai presque toujours couronné les points individuels expliqués avec mon jugement, mon triomphe, mon règne, la défaite de Satan en lui-même et dans sa créature et ses bien et vous verrez qu’il n’y a pas de dit ce que j’ai dit.”Source connaissance éternelle de Dieu et l’immolation du Christ de toute éternitéLe 28 août 1943 SpoilerJésus dit “Lorsque je dis que je suis l’éternel Immolé’ [1], je n’exprime pas un nouveau concept. Ceux qui furent le plus près de moi, Pierre et Jean, expriment le même concept. Tous ceux qui méditent sur les œuvres du Père, du Fils et de l’Esprit ne peuvent en avoir un vous vous étonnez que Dieu, sachant toute chose dans son intelligence infinie, ait créé l’homme, et vous vous demandez si Dieu savait ce que l’homme ! Oui, il le savait ! Le Dieu Unique en Trois Personnes n’ignore rien ! Tous les évènements de l’Univers la naissance et la mort des planètes, la formation et la désagrégation des nébuleuses, la vie et la mort sur les astres lancés dans l’espace, les cataclysmes, les déflagrations, tout est connu éternellement par l’Éternel. Et il connaît aussi éternellement tous les évènements de la Terre, un des millions des mondes créés par Dieu, celui que vous connaissez bien car vous en êtes les il connaît éternellement tous les évènements de l’être humain en tant qu’habitant de la Terre. Avant qu’Adam ne fût, Dieu savait qu' Adam pécherait. Et qu’après lui pécherait, pendant des millénaires, la race d’Adam. Pas un péché des humains, pas une vertu ne sont inconnus à notre Sagesse, soit au moment où ils arrivent, soit dans un temps tellement anticipé qu’il n’a aucune commune mesure avec les limites de votre temps, en remontant les siècles des millénaires jusqu’au non-être du temps, à l’ ton regard, ô Maria, dans notre éternité. Plonge-toi dans ce signe de comme si tu fixais le regard sur un ciel très pur et si tu imaginais qu’au-delà de l’azur, qui semble être la limite, il y ait encore et encore de l’espace, espace infini, toujours plus haut... Un tourbillon d’éther, un gouffre d’azur qui, plus tu montes et plus devient profond, un gouffre sans fond. Son azur, qui pourtant est, n’est autre chose que son non-être en tant que substance consistante. Son azur consiste en d’incalculables millions de kilomètres d’éther dans lequel dansent les mondes créés par mon éternité est comme cela. Elle est ! Quand commença-t-elle ? Jamais ! Quand finira-t-elle ? Jamais ! Combien de temps durera-t-elle ? Toujours ! Depuis quand dure-t-elle ? Depuis toujours !Jamais. Toujours. Médite sur l’incommensurable puissance que contiennent ces deux petits mots appliqués à la perfection. Pas votre toujours’ relié à votre courte vie, lequel ne dure même pas le temps d’une vie. Pas votre jamais’ sujet à de si rapides démentis. Mais notre toujours’ et notre jamais’ qui ne connaissent aucune diminution et revêtent notre n’est occulte pour Dieu. Rien. Et alors, direz-vous, pauvres humains, pourquoi Dieu a-t-il créé l’être humain ?Oh ! Quel inutile pourquoi ! Vous voudriez peut-être juger l’œuvre de Dieu ? Faire le procès de ses actions ? Quand vous serez dans la gloire, vous comprendrez tous les pourquoi mystérieux. Vous lirez, avec le regard de l’esprit libre, des pages que vous ignorez maintenant, que vous voulez en vain feuilleter maintenant, tombant ainsi, par votre futile orgueil de fourmis qui veulent percer une montagne de marbre, dans les erreurs les plus de mystères l’Univers a encore pour vous ! Vous êtes plongés dans le mystère. Mystère de Dieu. Mystère des pourquoi de Dieu. Mystère de la seconde vie. Mystère des lois cosmiques. Mystère des rapports entre votre planète et les autres mondes. Mystère des rapports entre les vivants de la terre et ceux qui ont déjà passé à la seconde curiosité humaine et le besoin de votre âme de se joindre de nouveau à ses origines suscitent en vous de saintes inquiétudes et d’autres qui ne le sont lorsqu’elles vous poussent à bien agir par le désir d’approfondir le mystère et l’union avec le surnaturel, afin de vous sentir moins exilés du Royaume de l’esprit et de vous rendre toujours plus aptes à comprendre les paroles spirituelles et à mériter la vie spirituelle qui atteint la perfection dans l’autre vie, dans ma saintes lorsque vous voulez, en écartant la belle et simple Foi, imiter Adam et connaître ce qu’il ne vous est pas utile de connaître pour le moment, violant le secret, forçant des portes célestes, dérangeant les repos paradisiaques, franchissant des barrières est mal, mes enfants. Croyez-le. Laissez à votre Dieu l’initiative de vous instruire sur les mystères de l’au-delà. Il sait jusqu’à quel point il peut vous introduire dans le secret qui réside au-delà de la mort. Fiez-vous à votre Père et Maître. Ne souhaitez pas irrespectueusement aller outre la frontière. Ne souhaitez pas plus que ce que Dieu veut. Ayez du ceci vaille aussi pour tous ceux qui ne se contentent pas de ce que j’ai dit et qui veulent en savoir plus. Croyez-vous que si cela avait été souhaitable pour vous de savoir, j’aurais fait perdre la mémoire aux trois ressuscités de l’Évangile ? Et pourtant, pas un d’entre eux ne dit ce qu’il y a de l’autre côté. Même pas moi, Verbe du Père et sagesse infinie, ne vous ai révélé le mystère de la mort et d’autres dont la connaissance n’est point nécessaire à votre sanctification, mais au contraire lui est plus haut que connaître. Croire, c’est aimer. Je le dis de nouveau [2]. Croyez donc que si Dieu vous a créés, ce fut dans un élan d’amour. Croyez-le avec amour afin de répondre à un tel avec un septuple amour, croyez que je suis justement appelé l’éternel Immolé, car avant même que le temps ne fût, j’étais destiné à être immolé pour vous holocauste n’a pas commencé avec ma vie corporelle. Non. Il était avant que je ne devinsse chair dans le sein de la Vierge. Il n’a pas commencé avec l’expulsion d’Adam. Non. Il était avant qu’Adam n’eût péché. Il n’a pas commencé quand le Père dit Faisons l’être humain’. Non. Il était avant cette pensée holocauste, accompli par la deuxième Personne de Notre Sainte Trinité, est comme une palpitation au centre du cœur éternel de notre Etre, depuis toujours. Depuis toujours, comprends-tu ? Éternel comme nous sommes éternels. Tout prévu et tout pré ordonné, suis l’éternel Immolé, la Victime éternelle, celui qui transfuse son Sang en vous pour vous guérir des maladies des fautes, celui qui, avec ce Sang, vous ressoude à Dieu, celui qui vous donne toutes les certitudes de la foi et de l’espérance et vous nourrit de sa charité pour que puissiez croire, vivre en Dieu, vous sanctifier au moyen de la Parole qui ne meurt pas et qui ne permet pas que meure celui qui se nourrit d’ en moi, mes amis, et demandez-moi la grâce de croire toujours davantage. La lumière de la foi et celle de la charité vous permettront de voir toujours plus clairement votre Dieu, votre Jésus, dès cette vie.”[1] Dans la dictée du 17 août.[2] Déjà dans la dictée du 26 [/color]Valeur méritoire de l'obéissance à DieuLe 29 août 1943 Samuel 15, 22-23Samuel répliqua Le Seigneur aime-t-il les holocaustes et les sacrifices autant que l’obéissance à sa parole ? Oui, l’obéissance vaut mieux que le sacrifice, la docilité vaut mieux que la graisse des révolte est un péché comme la divination ; la rébellion est une faute comme la consultation des idoles. Parce que tu as rejeté la parole du Seigneur, lui aussi t’a rejeté tu ne seras plus roi ! » Jésus dit “Voyons ensemble ce point des Rois L’obéissance vaut plus que les sacrifices, faire attention est plus important que d’offrir le gras des béliers; car la rébellion est comme un péché de magie, ne pas vouloir s’assujettir est comme un péché d’idolâtrie’ I Rois 15, 22L’obéissance. La vertu que vous ne voulez pas pratiquer. Vous naissez et, aussitôt que vous pouvez manifester un sentiment, c’est un sentiment de rébellion contre l’obéissance. Vous vivez dans la désobéissance. Vous mourez encore dans la désobéissance. Le baptême efface le péché originel, mais il n’élimine pas la toxine que laisse le été au fond le péché originel ? Une désobéissance. Adam et Eve voulurent désobéir au Père Créateur, aiguillonnés à ce déni d’amour par le suprême Désobéissant, qui devint démon pour avoir refusé l’obéissance d’amour au Dieu suprême. Ce poison couve dans votre sang, et seule une volonté constante de votre part le rend impuissant à faire un tort mortel à votre ô mes enfants, qu’y a-t-il de plus méritoire que vous puissiez faire ? Regardez est plus facile de faire un sacrifice ou une offrande, de pratiquer une œuvre de miséricorde que d’être constamment obéissants à la volonté de Dieu. Elle se présente à vous de minute en minute comme eau qui coule et passe, apportant d’autres vagues d’eau et d’autres encore. Et vous êtes comme des poissons plongés dans la volonté de Dieu qui vous glisse dessus. Si vous voulez en sortir, vous en mourez, mes enfants. Elle est votre élément vital. Et pas une goutte qui ne provienne d’une raison d’amour. c’est faire la volonté de Dieu. Cette volonté dont je vous ai enseigné à demander l’accomplissement avec le Pater Noster et que je vous ai enseigné à pratiquer par la parole et par l’exemple, jusqu’à la pas obéir et se révolter, c’est commettre un péché de magie, dit le livre. En effet, que faites-vous en ne vous soumettant pas ? Vous repoussez Dieu en repoussant sa volonté. Vous le répudiez en tant que père et Seigneur. Mais comme le cœur de l’être humain ne peut rester sans adorer quelque chose à la place du vrai Dieu que vous repoussez, vous adorez votre moi, votre chair, votre orgueil, votre argent; vous adorez Satan dans ses plus vives manifestations. Vous devenez donc idolâtres. Et de quoi ? De dieux effroyables qui vous gardent esclaves, et esclaves venez, chers enfants de mon amour venez sous le joug paternel qui ne fait point mal, qui n’opprime pas, qui n’avilit pas, mais qui, au contraire, vous soutient et vous guide et vous assure de parvenir au royaume bienheureux où il n’y a plus de monde, qui veut désobéir, ne sait pas que cet acte d’obéissance suffirait à le sauver. Revenir au sillon que nous trace Dieu, suivre sa voix, obéir, obéir, retrouver la maison du Père qu’on a voulu fuir pour une chimère de fausse dignité, retrouver la main du Père qui bénit et guérit, retrouver le cœur du Père qui aime et ô mes enfants, que, pour vous redonner la grâce perdue, deux Etres très bons, très purs, durent consommer l’Obéissance suprême. Le salut du genre humain débuta, dans le temps, par le fiat’ de Marie devant mon archange, et se termina par le consummatum’ de Jésus sur la croix. Les deux actes d’obéissance les plus douloureux et les moins obligatoires, car moi et ma Mère étions au-dessus de la nécessité d’expier le péché par l’ qui n’avons pas péché, avons racheté votre péché en obéissant. Et vous ne voudriez pas, pauvres enfants, imiter votre Maître et obtenir miséricorde par l’obéissance qui est une preuve d’amour et de foi ?Cette fleur spirituelle de l’âme est plus belle et plus appréciée que les églises elles-mêmes que vous m’élevez en remerciement, et que tout autre ex-voto, car cette fleur, née sur terre dans le cœur de l’homme, fleurit éternellement au Ciel pour votre gloire.”Source dépassement des épreuves par la foi et avec l’aide des sacrementsLe 30 août 1943 Tobie 2, 18Nous sommes enfants des saints, et nous attendons cette vie que Dieu doit donner à ceux qui ne lui retirent jamais leur fidélité. Jésus dit “Que ta réponse, que ce soit au prochain qui s’étonne et te fait remarquer l’apparent abandon de Dieu à ton égard, ou au tentateur qui veut te persuader que tout ton sacrifice ne t’obtient aucun soulagement de Dieu, soit la même que celle du vieux leur diras, comme à toi-même Nous sommes enfants de saints et nous attendons cette vie que Dieu donne à ceux qui ne perdent jamais leur foi en lui'.Enfants de saints et appelés à la même pas fille de Dieu, Maria ? Et qui est plus saint que ton Père ? Si lui, qui est le Saint des saints, veut tant de douleur pour toi, c’est signe que cette douleur a pour but une joie proportionnée à la douleur, c’est-à-dire une joie immense, une joie sans qui arrive à croire fermement que tout ce qui lui arrive a sa source dans l’amour et produit une joie éternelle est en sécurité comme à l’intérieur d’une forteresse. Elle ne peut périr. Elle souffre, mais sa douleur est surnaturelle et porte des fruits surnaturels de un peu de temps et la joie viendra. Encore un peu de temps et je viendrai. Je viendrai sans les limites que je dois imposer maintenant à la rencontre pour l’adapter à ton humanité. Je viendrai de Dieu à l’âme, c’est-à-dire librement, complètement. N’aie pas peur. Tu verras alors combien plus belle est ma demeure que tu ne l’as vue dans tes rêves et imaginée par la pensée. Tu verras alors que t’unir avec moi, laissant un corps qui est un piège pour l’âme et un constant danger, se fera sans perds jamais la foi en ton Jésus. Je suis près de toi et tu le sens. Mais ne refuse aucun des secours que j’ai mis a votre disposition. La voie surnaturelle dans laquelle tu marches ne t’exempte pas de parcourir la voie commune à toutes les créatures qui vivent dans l’ huile t’a délivrée et, d’esclave de l’Ennemi, t’a faite fille de Dieu. Une huile t’a faite milicienne du Christ. Qu’une huile te fasse partager le Royaume. L’âme qui entre dans la gloire devient reine. Et pour les rois, tu l’as lu, il fallait l’ veux que tu effaces même les ternissures des péchés passés. Quand l’heure viendra, tu dois venir à ma rencontre, vierge sage et prévoyante, avec les ornements qui conviennent aux douleur est une grande absolution quand on souffre avec sainteté. Mais, je le répète, même pas ma caresse ne doit te faire penser que tu es exempte des devoirs de tout le monde. La perle cachée, que seul Jésus connaît, ne doit être aucunement différente, aux yeux du monde, de ses sœurs qui sont moins transformées que toi en pierre précieuse par volonté du Seigneur.”Source manifestations actuelles, fruit de la corruption interne et du mauvais usage des dons de DieuLe 31 août 1943 Jésus dit “Il est inutile de se laisser saisir d’horreur face à certaines manifestations actuelles. Elles sont le fruit de votre l’ai dit C’est du cœur que sortent les pensées mauvaises et les mauvais sentiments, et ce sont eux qui contaminent’. J’ai dit aussi que chaque être humain se reconnaît à ses œuvres et que, comme on ne peut cueillir des fruits sucrés sur un prunier sauvage, ainsi on ne peut tirer des actes honnêtes de quelqu’un dont l’intérieur est malhonnête. La malhonnêteté ne consiste pas seulement à voler, à mentir, à nuire au malhonnêteté que de manquer à ses devoirs envers Dieu, de lui voler ce respect aimant que l’être humain doit à son Créateur. C’est malhonnêteté que de se servir de ses dons pour de mauvaises actions. Tous ses dons, et en particulier le don de la vieMaintenant regarde et juge par toi-même le mauvais usage que vous faites de la vie que vous donne le Père. Regarde et juge le mauvais usage que vous faites de votre corps dans lequel respire l’âme, temple réservé à Dieu, où réside l’esprit qui devrait se consacrer à comprendre la Loi de Dieu, comme le cœur devrait s’occuper à l’aimer et à la lieu de cela, que faites-vous ? Vous résistez aux voix du Seigneur, aux souhaits du Seigneur, aux commandements du Seigneur, à la volonté du Seigneur. Tels des béliers sauvages, vous opposez votre dureté et votre révolte — deux cornes bien pointues — à chaque invitation de Dieu. Vous vous ruinez, mais vous continuez à vous vous dites chrétiens ? Non, vous ne l’êtes pas. Moi, le Christ, je ne vous ai pas enseigné la révolte, la désobéissance, la luxure, la cruauté, l’idolâtrie. Je vous ai enseigné tout le contraire. Je vous ai montré comment vous servir de la vie, je vous ai expliqué que vous êtes les temples de Dieu qui veut vivre en vous, qui aime vivre en vous bien plus que dans les temples somptueux, lesquels ne sont faits que de pierre et de Dieu ne veut pas de ces demeures faites par la main de l’homme. C’est vous qu’il veut, vous qu’il a faits de sa main, vous qui êtes des temples de sang et d’âme, vous que mon Sang a revêtus de pourpre immortelle et purifiés comme de précieux autels. Voilà ce que Dieu veut pour revenir vivre dans une paix aimante avec persistez pas sur le dur chemin que vous avez entrepris et qui vous mène à la ruine. Soyez de vrais chrétiens et non des chrétiens en paroles seulement. Que mon signe soit vraiment gravé dans les fibres vivantes de votre cœur, non sur le fronton des temples vides où vous ne venez pas prier ou vous y venez l’âme troublée par toutes vos vaines préoccupations et les fermentations de vos instincts votre cœur à l’Amour, mes enfants. C’est cela qui vous manque le plus. Vous n’avez pas de charité envers Dieu, envers le prochain, envers vous-mêmes. Oui, envers vous aussi, car vous tuez votre jamais que les tentations sont inévitables, mais elles ne font pas le mal. Le mal, c’est vous qui le faites quand vous leur cédez. Et ne dites pas qu’elles sont plus fortes que vous. Non. Le Père donne en fonction de ce que vous pouvez donner. La tentation exige 10 de force pour qu’on y résiste ? Dieu vous en donnera 10 et même plus. Le problème, c’est que vous ne cessez de désirer céder au mal. Et que peut alors Dieu si vous détruisez les forces divines par votre volonté perverse et si vous vous abandonnez au baiser de la tentation ?Ce faisant, vous mettez votre âme dans un étau mortel, et c’est d’une âme malade ou mourante que sortent ces sentiments qui vous étonnent. Mais il n’en peut être autrement. L’odeur fétide de la mort émane d’un corps corrompu. Les manifestations du péché proviennent des âmes corrompues.”Source Christ, Cyrénéen de Maria, et Marie, sa VéroniqueLe 1er septembre 1943 Jésus dit “Non, tu n’es pas seule. Tu as ton Jésus près de toi comme bien peu l’ont, car s’il est vrai que je suis près de tous mes enfants par ma Grâce, c’est auprès d’un très petit nombre que je suis présent de la façon dont je le suis avec toi et que j’ai utilisée en voyant ta très pénible condition générale. Je sais jusqu’où peut aller la résistance d’un être et, étant donné que le fardeau de douleur que tu dois porter est écrasant, j’y ai suppléé par des moyens extraordinaires que je réserve à bien peu d’ me souviens de mon besoin d’aide aux heures tragiques de ma Passion. Et ce que j’ai désiré pour moi alors, je veux que mes deux fois semblables l’aient aussi. Semblables car ils sont mes disciples, semblables parce qu’ils subissent la passion et sont n’es pas seule. Tu m’as pour Cyrénéen et tu as ma mère pour Véronique. Marie est le modèle des orphelines et elle se souvient de tes tourments d’orpheline comme je me souviens des tourments de mon sainteté ne supprime pas la douleur. Marie dans sa sainteté immaculée souffrit cruellement à la mort de ses parents qu’elle ne put consoler de ses baisers. Tu vois comme tu lui ressembles ? Dans son âme si parfaite, que seul Dieu surpasse, Marie sut aimer et souffrir comme nul autre, car la sainteté, étant le perfectionnement de toutes les bonnes sensibilités du cœur, elle apporte une augmentation de la capacité d’aimer et de souffrir, d’autant plus grande que l’âme est plus sainte. Et l’âme de Marie était suprêmement bien, je te donne cette Femme, à qui ne fut épargnée aucune douleur et personne comme elle ne méritait davantage d’en être exemptée, puisqu’elle était immaculée et donc libre du poids de la souffrance causée par la faute d’Adam cette Femme qui a versé tant de larmes pour tant de deuils et qui s’est vu enlever père, mère, époux et Fils par la mort, je te la donne pour Véronique et je te la donne pour le mois du cœur transpercé de Marie et de l’Exaltation de ma Croix. Ne refuse pas d’être semblable à la Transpercée et à l’Immolé.”Source soleil et vigneron de l’âme pour les vendanges divinesLe 2 septembre 1943 Jésus dit “Le raisin est d’autant plus sucré qu’il est plus mûr, et il mûrit d’autant plus vite qu’il reçoit plus de soleil. Le maître de la vigne ne cueille pas son raisin pour en faire du vin s’il n’a pas bien mûri, et pour qu’il mûrisse, il élague et taille ses vignes de sorte que le soleil puisse descendre et circuler parmi les grappes et faire des grains verts et surs autant de perles de sucre le raisin restait comme il est en avril, c’est-à-dire quand la vigne est belle de toutes ses feuilles nouvelles et de ses petites grappes en fleur, ou même comme il est en juin, quand la vigne est pleine de sarments flexibles et de grappes bien formées, il ne servirait à rien, excepté à réjouir la vue. Mais en automne, après beaucoup de soleil et de nombreuses tailles, le raisin est beau d’une autre manière et, en plus d’être beau, il est utile aux suis le soleil et vous, mes chères âmes, vous êtes la vigne où doit se préparer le vin éternel. Je suis le soleil et aussi le vigneron. Je vous entoure et vous inonde de mes rayons et vous mortifie pour que vous donniez des sarments chargés de vrais fruits, et non des vrilles futiles qui ne servent à faut laisser le soleil et le vigneron travailler votre âme à leur guise. Il faut, ma Maria, imiter, imiter beaucoup la grappe qui n' a aucun mot de protestation, ni de gestes de résistance à l’égard du soleil ou du maître de la vigne, mais, au contraire, se laisse découvrir pour mieux recevoir les chauds rayons, se laisse soigner avec les produits appropriés, se laisse arranger sans aucune réaction. Elle devient ainsi toujours plus grosse et plus sucrée, un vrai prodige de jus et de aussi doit désirer le soleil et l’œuvre de l’éternel Vigneron d’autant plus que s’approche pour elle l’heure des divines vendanges. La grappe rétive et malade qui n’a pas voulu devenir mûre saine et sucrée, et qui s’est cachée pour ne pas être soignée, n’est pas destinée à la cuve mystique. Mais, au contraire, la grappe qui n’a pas eu peur des cisailles et des remèdes, et qui a docilement sacrifié ses goûts pour moi, cette grappe-là devient digne de mes suis le Vendangeur et tu es ma grappe. Les vendanges approchent. Augmente tes efforts pour absorber le plus que tu pourras de moi. Je deviendrai en toi liqueur de vie éternelle. Augmente tes actes de générosité pour seconder l’œuvre de ton vigneron aimant. Celui-ci, ton Jésus, ne veut rien d’autre que de faire de toi une grappe digne d’être placée au pied du trône de bien douce chose que d’avoir Jésus pour Maître, Maria, mais une chose qui devient parfaite quand on assimile tout l’enseignement du Maître.”Source Maria” exhortation à prier MarieLe 3 septembre 1943 Jésus dit “Bienheureuses les lèvres et les contrées où l’on dit Ave je te salue. Du plus petit au plus grand, de l’enfant au parent, de l’inférieur au supérieur, tous sont tenus, de par la loi de la courtoisie humaine, de prononcer souvent cette salutation respectueuse, pleine d’égards ou amoureuse selon les circonstances. Mes frères et sœurs ne peuvent refuser cet acte d’amour révérenciel à la Maman parfaite que nous avons au Maria. Je te salue, Marie. C’est une salutation qui purifie les lèvres et le cœur parce qu’on ne peut dire ces mots, de façon réfléchie et sincère, sans se sentir devenir meilleur ! C’est comme si on s’approchait d’une source de lumière angélique et d’une oasis de 1ys en te salue, la parole de l’ange qu’il vous est permis de dire pour saluer Celle que saluent avec amour les Trois Personnes, l’invocation qui sauve, ayez-la toujours sur les lèvres. Mais pas comme un mouvement machinal qui exclut l’âme, mais bien comme un mouvement de l’esprit qui s’incline devant la royauté de Marie et s’élève vers son cœur de vous saviez dire avec un esprit véritable ces mots, même seulement ces petits mots, vous sériez meilleurs, plus purs, plus charitables. Parce que les yeux de votre esprit seraient alors fixés sur Marie, et sa sainteté entrerait dans votre cœur à travers cette contemplation. Si vous saviez les dire, vous ne seriez jamais affligés. Car elle est la source des grâces et de la miséricorde. Les portes de la miséricorde divine s’ouvrent, non seulement sous la poussée de la main de ma Mère, mais à son simple le dis une deuxième fois bienheureuses les lèvres et les contrées où l’on dit Ave Maria. Mais où on le dit comme il se doit. Car s’il est vrai qu’on ne se moque pas de Dieu, il est aussi vrai qu’on ne trompe pas qu’elle est la Fille du Père, la Mère du Fils, l’Épouse de l’Esprit Saint, et que sa fusion avec la Trinité est parfaite. Par conséquent, elle possède la puissance, l’intelligence et la sagesse de son Seigneur. Et elle les possède dans leur plénitude d’aller à Marie avec l’âme souillée par la corruption et la haine. Elle est une Mère pour vous et elle sait panser vos blessures, mais elle veut voir en vous au moins le désir d’en quoi sert de se tourner vers Marie, la Très Pure, si aussitôt que vous avez quitté son autel et fini de prononcer son nom, vous allez commettre le péché de la chair ou proférer des blasphèmes ? À quoi sert de se tourner vers Marie, la Compatissante, si tout de suite après, ou en même temps, vous avez la rancune au cœur et, sur les lèvres, des malédictions envers vos frères et sœurs ? Que peut faire pour vous cette Salvatrice si vous détruisez, de votre volonté perverse, votre salut ?Tout est possible à la miséricorde de Dieu et à la puissance de Marie, mais pourquoi risquer la vie éternelle en attendant d’obtenir la bonne volonté de se repentir à l’heure de la mort ? Ne serait- il pas bon, puisque vous ne savez pas quand vous serez appelés à mes portes, d’être les vrais amis de Marie pendant toute la vie et avoir ainsi la garantie d’être sauvés ?Car, je le répète, l’amitié avec Marie est une source de perfection parce qu’elle inspire et transmet à l’âme les vertus de l’Amie élue, que Dieu n’a pas dédaignées et qu’il vous a accordées comme couronnement de l’œuvre rédemptrice de son Fils. Moi, le Christ, je vous ai sauvés par la douleur et le sang ; Marie, elle, par la douleur et les pleurs, et elle voudrait vous sauver par son amour et son sourire.”Source Seigneur est avec toi” l’union parfaite de Marie avec Dieu Le 5 septembre 1943 Jésus dit “Le Seigneur est avec toi’.Le Seigneur est toujours avec l’âme qui est dans la grâce. Dieu ne s’éloigne même pas quand le Tentateur s’approche. Dieu s’éloigne seulement quand la créature cède au Tentateur et corrompt son âme. Alors Dieu se retire, car il ne peut cohabiter avec l’Ennemi. Il se retire et, comme un Père, non dédaigneux mais affligé, il attend que vienne la contrition dans le cœur de la créature et qu’elle renoue le lien d’amour avec le voudrait toujours être avec vous. Si tous vos anges, aussi nombreux que les étoiles dans le ciel, pouvaient vous saluer avec les paroles Le Seigneur est avec toi’, la joie de votre Seigneur serait complète, puisque nous désirons être avec vous et nous vous avons créés pour était avec Dieu et Dieu était avec Marie. Les deux perfections s’attiraient et s’unissaient dans un incessant mouvement d’affection. La perfection infinie de Dieu descendait, avec une joie inconcevable à vous mortels, pour posséder cette créature. La perfection humaine de Marie, seule fille de parents humains qui ait jamais été parfaite, se lançait à la rencontre de la perfection divine pour trouver le moyen de être avec Dieu était la vie de Marie et, à l’heure atrocement déchirante du Calvaire et du Sépulcre, quand les Cieux se refermèrent sur le Mourant et la Transpercée, la privation de Dieu fut. des sept épées, la plus brûlante et la plus tranchante, touche suprême à l’édifice de douleur exigé par la atteint le sommet de la douleur totale de Gethsémani à la neuvième heure; Marie a atteint le sommet de la douleur, totale en elle aussi, même si elle n’a pas été matériellement crucifiée, du Calvaire au moment de la Résurrection. Et cette suprême douleur n’a qu’une cause la privation de l’union avec devrait être la même chose pour vous aussi. Mais désormais, l’être humain trouve pénible l’union avec nous et il ne sent pas combien il est misérable lorsqu’il est privé de nous. Malheur, cécité, folie, mort, voilà ce qu’est la perte de l’union avec votre Seigneur. Et vous n’y pensez jamais !Si vous perdez quelques monnaies, un objet, la santé, un emploi, un animal, vous vous mettez en branle pour les retrouver et vous employez tous les moyens humains et surnaturels pour y réussir. Oui, pour trouver quelque chose de limité et de caduc, vous savez prier. Mais quand vous perdez Dieu, vous ne le cherchez pas. Vous ne vous adressez pas à mes Saints pour qu’ils vous aident à retrouver la voie de Dieu, vous n’employez pas les soins humains pour freiner vos impulsions. La perte de l’union avec Dieu vous paraît une chose de peu d’importance. Et c’est la chose ne se sépara jamais de Dieu. Leurs esprits restèrent fondus en une étreinte d’amour qui eut son couronnement au Ciel. Cette union fut la principale force de Marie, en tant que fille d’Adam, car elle y trouvait la cuirasse pour se rendre intouchable à la morsure du n’est pas que celui qui est avec Dieu ne voie pas le mal, lequel recouvre, tel un vêtement crasseux ou une maladie répugnante, tant de créatures. le voit, même qu’il le voit avec une plus grande netteté que beaucoup d’autres, mais cette vue ne le corrompt pas. Le mal n’entre pas par les yeux pour chatouiller les instincts qui couvent dans la chair ou les mauvais penchants de l’esprit. Cela n’arrive que chez ceux qui, séparés de Dieu, ont l’Ennemi pour hôte en qui est uni à Dieu est saturé de Dieu, et tout ce qui n’est pas Dieu reste à la surface, tel un petit vent qui ride légèrement la surface de l’esprit et n’entre pas bouleverser l’intérieur. Ce n’est pas tout. Celui qui est uni à Dieu, vraiment uni à lui, au lieu d’absorber l’extérieur en lui, propage son intérieur sur ses proches, c’est-à-dire qu’il propage le Bien, c’est vraiment comme cela celui qui est avec Dieu a un pouvoir de rayonnement, bien plus puissant que celui de beaucoup de corps de l’univers sur lesquels l’esprit humain a peiné et élevé un monument d’orgueil. Et surtout, il a un pouvoir surnaturellement utile, puisque celui qui porte le Saint des saints en soi, et vit de lui, le communique aux autres. C’est cela qui fait dire C’est un saint’.Marie a possédé l’union avec Dieu à la perfection, et elle a tendu de toutes ses forces à se fondre à lui toujours davantage. On pourrait dire que Marie s anéantit en Dieu tant elle vécut seulement de dit Marie trouva en cela la principale force pour se rendre intouchable’. N’allez pas comprendre les choses de travers. Marie, la très humble, n’osait pas le moins du monde se penser la créature parfaite. Elle ignorait son destin et sa nature immaculée. Elle connut le mystère aux paroles de Gabriel et dans l’étreinte nuptiale avec l’Esprit Éternel. Mais, durant sa jeunesse, période pleine de pièges, elle trouva la force, je le répète, dans l’union avec Dieu. Elle voulut la trouver à tout prix car elle aurait préféré mourir cent fois plutôt que de sortir un seul instant du halo de voudrais que mes bien-aimés en particulier, puis les autres, au lieu de s’adonner à un grand nombre de pratiques plus ou moins pieuses, tendent à la pratique souveraine de l’union avec moi. La prière, la vraie, vous serait alors facile, le cœur enflammé, le corps chaste, la pensée honnête tout en vous deviendrait saint et bon, et la Terre connaîtrait des jours nouveaux où les anges pourraient saluer les humains avec ces mots Le Seigneur est avec vous’.”Source entre toutes les femmes” chef-d’œuvre de la création, rédemptrice du genre humain Le 6 septembre 1943 Jésus dit “ Tu es bénie entre toutes les femmes’.Cette bénédiction, que vous dites mal ou pas du tout à Celle qui par son sacrifice a commencé la Rédemption, résonne sans cesse au ciel, prononcée avec un amour infini par notre Trinité, avec une charité brûlante par ceux que notre sacrifice a sauvés et par les chœurs des anges. Le Paradis tout entier bénit Marie, chef-d’œuvre de la création universelle et de la miséricorde si toute l’œuvre du Père pour créer la Terre du néant n’avait servi qu’à accueillir Marie, l’œuvre créatrice aurait eu sa raison d’être, car la perfection de cette créature est telle qu’elle est un témoignage, non seulement de la sagesse et de la puissance, mais de l’amour avec lesquels Dieu a créé le au lieu de cela, la création terrestre ayant donné Adam et k race d’Adam, Marie témoigne de l’amour suprêmement miséricordieux de Dieu envers l’être humain, parce qu’à travers Marie, Mère du rédempteur, Dieu a opéré le salut de genre humain. Je suis le Christ parce que Marie m’a conçu et donné au me direz qu’en tant que Dieu, je pouvais surmonter la nécessité de prendre chair dans le sein d’une femme. Je pouvais tout, c’est vrai. Mais réfléchissez à quelle loi d’ordre et de bonté se manifeste dans mon anéantissement dans une enveloppe faute commise par l’humain devait être expiée par l’humain et non par une divinité non incarnée. Comment la Divinité, Esprit incorporel, aurait- elle pu racheter par le sacrifice d’elle-même les fautes de la chair ? Il était donc nécessaire que moi, Dieu, paye du supplice d’une Chair et d’un Sang innocents, nés d’une innocente, les fautes de la chair et du intellect, mes sentiments, mon esprit auraient souffert à cause de vos fautes de l’intellect, des sentiments, de l’esprit. Mais pour être la rédemption de toutes les concupiscences, inoculées en Adam et sa progéniture par le Tentateur, l’Immolé pour elles devait être doté d’une nature semblable à la vôtre, rendue digne d’être offerte à Dieu en rançon par la Divinité cachée en elle, telle une pierre précieuse d’une valeur surnaturelle infinie cachée sous une gaine ordinaire et est ordre et Dieu ne viole et ne violente pas l’ordre, excepté dans des cas très extraordinaires que son intelligence juge utiles. Ce n’était pas le cas pour ma ne devais pas seulement effacer la faute, du moment où elle fut commise au moment du sacrifice, et annuler les effets de la faute chez ceux qui allaient venir en les faisant naître, comme Adam avant qu’il ne la commît, dans l’ignorance du mal. Non. Je devais, par un sacrifice total, réparer la Faute et les fautes de toute l’humanité, donner à l’humanité déjà disparue l’absolution de la faute, à l’humanité vivant à ce moment-là et à l’humanité future le moyen qui l’aide à résister au mal et à se faire pardonner le mal que sa faiblesse l’induirait à sacrifice devait donc présenter toutes les qualités nécessaires, et ça ne pouvait être que le sacrifice d’un Dieu fait homme,hostie digne de Dieu, moyen compréhensible à l’humain. En outre, je venais apporter la mon humanité n’avait pas existé, comment auriez-vous pu croire, vous, mes pauvres frères qui avez du mal à croire en moi qui vécus pendant trente-trois ans sur terre, homme parmi les hommes ? Et comment pouvais-je apparaître, déjà adulte, à des peuples hostiles ou ignorants, les persuadant de ma nature et de ma doctrine ? Je serais alors apparu aux yeux du monde comme un esprit qui aurait pris l’aspect d’un homme, mais non comme un homme qui fût né et mort en versant du vrai sang par les blessures d’une vraie chair comme preuve de son humanité et cela comme preuve qu’il était Dieu retournant à sa demeure pas plus doux pour vous de penser que je suis votre véritable frère et que je partage le destin des créatures qui naissent, vivent, souffrent et meurent, que de penser que je suis un esprit au-dessus des nécessités humaines ?Il était donc nécessaire qu’une femme m’engendrât selon la chair, après m’avoir conçu au-dessus de la chair, puisque l’Homme-Dieu ne pouvait être engendré d’aucun mariage de créatures, quelque saintes qu’elles fussent, mais seulement de l’union entre la Pureté et l’Amour, l’Esprit et la Vierge créée sans tache afin d’être matrice de la chair d’un Dieu, la Vierge dont la pensée était la joie de Dieu avant même que le temps ne fût, joie du Ciel, salut de la Terre, fleur de la Création plus belle que toutes les fleurs de l’Univers, astre vivant en comparaison duquel semblent éteints les soleils qu’a créés mon soit la Femme pure destinée au soit la Femme désirée de la Trinité qui anticipait par son désir l’instant de se fondre à elle dans l’étreinte du trine soit la Femme victorieuse qui écrase le Tentateur sous la blancheur éclatante de sa nature soit la Vierge qui ne connaît que le baiser du soit la Mère devenue telle par sainte obéissance à la volonté du soit la Martyre qui accepte le martyre par pitié de vous soit la Rédemptrice de la femme et des enfants des femmes, qui annule Ève et s’insère à sa place pour porter le fruit de la vie là où l’Ennemi a semé la bénie, trois fois bénie pour ton oui, ô Mère, qui as permis à Dieu de garder la promesse faite à Abraham, aux patriarches et aux prophètes, qui as réconforté l’Amour, accablé de devoir être punisseur et non sauveur, qui as soulagé la Terre de la condamnation qu’Ève lui avait bénie, bénie pour ta sainte humilité, pour ta charité brûlante, pour ta virginité intouchée, pour ta maternité divine, multiple, éternelle, vraie et spirituelle, Mère qui de ton amour et de ta douleur engendres sans cesse de nouveaux enfants pour le royaume de ton de grâce et de salut, génératrice de la divine miséricorde, génératrice de l’Église universelle, sois éternellement bénie pour ce que tu as accompli, comme tu étais éternellement bénie pour ce que tu allais sainte, sainte Prêtresse qui as célébré le premier sacrifice et préparé avec une partie de toi-même l’Hostie à immoler sur l’autel du sainte, sainte Mère qui ne m’as pas fait regretter le Ciel et le sein du Père, car en toi j’ai trouvé un autre paradis non dissemblable de celui où la Triade accomplit ses œuvres divines; Marie qui fus le réconfort de ton Fils sur la terre et la joie du Fils au ciel, qui es la gloire du Père et l’Amour de l’Esprit.”Source le fruit de tes entrailles” gloire et douleur de Marie Le 7 septembre 1943 Jésus dit Béni soit le fruit de tes entrailles’.La maternité divine et virginale fait que Marie n’est surpassée que par Dieu. Mais ne vous arrêtez pas à contempler uniquement la gloire de Marie. Pensez à ce qu’il lui en a coûté pour obtenir cette gloire. Celui qui regarde le Christ dans la lumière de la résurrection et ne médite pas sur le Rédempteur mourant dans les ténèbres du Vendredi Saint n’est qu’un sot. De même, celui qui pense à la gloire de Marie et ne médite pas sur la façon dont elle parvint à la gloire n’est qu’un sot. Le fruit de son sein, moi, le Christ, Verbe de Dieu, a déchiré son n’allez pas comprendre mes paroles de travers [1]. Je ne l’ai pas déchiré humainement. Elle était au-dessus des misères humaines; sur elle ne pesait pas la condamnation d’Ève, mais elle n’était pas au-dessus de la douleur. Et la grande douleur, douleur insigne, souveraine,absolue, est entrée en elle, avec la violence d’un météore qui fond du ciel, à l’instant même où elle connut l’extase de l’étreinte avec l’Esprit béatitude et la douleur ont serré le cœur de Marie en un seul nœud au moment de son fiat’ suprême et de ses noces très chastes. La béatitude et la douleur se fondirent en une seule chose, tout comme Marie ne faisait plus qu’un avec Dieu. Elle était appelée à une mission de rédemptrice et, dès le premier instant, la douleur surpassa la béatitude. Celle-ci vint à son à l’Esprit de sagesse, son esprit eut la révélation de l’avenir qui était réservé à sa créature et dès lors, il n’y eut plus, pour Marie, de joie au sens habituel de ce chaque heure qui passait, pendant que je me formais, puisant la vie à son sang de vierge-mère — et caché au fond de ses entrailles, j’avais d’inénarrables échanges d’amour avec ma Mère — un amour et une douleur sans pareil se levaient, telles les vagues d’une mer orageuse, dans le cœur de Marie et la fouettaient de leur cœur de ma Mère connut la morsure des épées de la douleur du moment où la Lumière, quittant le centre du Feu Unique et Trin, pénétra en elle, amorçant l’Incarnation de Dieu et la Rédemption de l’humanité; et cette morsure s’accrut, d’heure en heure, pendant la sainte gestation au cours de laquelle le sang divin s’élaborait d’une source de sang humain, le cœur du Fils battait au rythme du cœur de la Maman, la chair éternelle se formait avec la chair immaculée de la douleur fut plus grande au moment où je naquis pour être Lumière dans un monde de ténèbres. La béatitude de la mère qui embrasse son enfant se transforma chez Marie en la certitude de la Martyre qui sait que le martyre soit le fruit de tes Mais à ces entrailles qui méritaient toute la joie destinée à un Adam sans faute, j’ai dû donner toute la douleur. Et pour vous. Pour vous la peine d’affliger Joseph. Pour vous l’accouchement dans une telle désolation. Pour vous la prophétie de Siméon qui lui tourna la lame dans la plaie, renforçant et aiguisant la morsure de l’épée. Pour vous la fuite en terre étrangère, pour vous les anxiétés de toute une vie, pour vous les soucis de savoir que j’évangélisais des castes ennemies qui me persécutaient, pour vous l’effroi de la capture, le tourment des multiples tortures, l’agonie de mon agonie, la mort de ma été recueilli sur le sein qui m’avait porté avec une piété qui ne pouvait être plus grande; mais, en vérité, je vous dis que, entre mon cœur, privé de mouvement vital et lacéré par le coup de lance, et celui de la Mère très affligée qui me tenait sur ses genoux, il n’y avait aucune différence de vie et de mort. Le cœur de Marie et son sein avaient été tués comme moi, l’Innocent, avais été miracles reliés à la Rédemption, connus ou inconnus, manifestes pour tous ou révélés à quelques privilégiés, ajoutez celui-ci le fait que la vie a continué en Marie par œuvre de l’Éternel après que son cœur fut brisé par et pour le genre humain comme celui du Fils, son qui ne connaissez pas et ne voulez pas supporter la douleur, pouvez-vous imaginer quelle fut celle de la Bénie, de l’Immaculée, de la Sainte, de porter en elle un cœur lacéré, mort, abandonné, et de voir replié sur son sein un corps sans vie, martyrisé, ensanglanté, livide, lequel avait été le corps du Fils, la chair de sa chair, le sang de son sang, la vie de sa vie, l’amour de son esprit ?Vous m’avez eu parce que, trente-trois ans avant moi, Marie a accepté de boire le calice de l’amertume. Sur le bord de la coupe que j’ai bue dans des sueurs de sang, j’ai trouvé la saveur des lèvres de ma Mère, et ses pleurs amers étaient mélangés au fiel de mon sacrifice. Et, croyez-moi, la chose qui m’a coûté le plus fut de la faire souffrir, elle qui ne méritait pas la douleur. L’abandon du Père, la souffrance de ma Mère, la trahison de l’ami qui contenait toutes les trahisons futures, voilà les choses les plus atroces de mon atroce supplice de Rédempteur. Le coup de lance de Longin dans un organe désormais insensible à la douleur n’est rien en voudrais que, pour la douleur qui a déchiré ma Mère pour vous, vous lui donniez de l’amour. Un grand amour, très tendre, l’amour des enfants envers la plus parfaite de toutes les mères, la Mère qui n’a pas encore fini de souffrir, pleurant des larmes célestes sur les enfants de son amour, lesquels répudient la maison paternelle et se font les gardiens de bêtes immondes, les vices, au lieu de rester des enfants de roi, enfants de si l’on peut établir une norme, sachez que moi, Dieu, je n’estime pas me diminuer en aimant d’un amour infini, plein de vénération, ma Mère dont je vois la nature immaculée, œuvre du Père. Mais je me souviens aussi de sa vie martyrisée de Co-Rédemptrice sans laquelle je n’aurais pas été Homme parmi les humains et votre Rédempteur éternel.”[1] Comme cela pourrait se produire pour la dictée du 23 de la Vierge souriante et silencieuse Le 8 septembre 1943 Jésus dit “Ceci est pour toi seule. J’ai dit les autres choses pour tous, pour contenter le le monde est trop sourd et trop corrompu pour entendre parler de Marie. Il ne mérite pas ce toi, pour ta fête, je donne l’intuition secrète de la beauté de Marie, son sourire, son silence. Ces choses peuvent sembler de peu de poids. Elles ont une valeur a attiré des millions de créatures par ses armes suaves. Elle a évangélisé avant moi par son silence réservé et son indescriptible sourire. Il lui suffisait d’apparaître pour que s’apaisent les paroles aigres ou impures, pour que tombent les rancœurs et se calment les regard purifiait, son silence élevait, son sourire instruisait. Nazareth en resta longtemps parfumée après son départ. L’Église naissante se consolida en vertu de son silence et de son sourire plus éloquent que tous les mots, car à travers eux transparaissait le visage de Dieu et la vérité de sa ne te demande que de regarder et d’imiter ma Mère qui est aussi la tienne. Grandis en beauté spirituelle afin de lui ressembler, apprends d’elle le silence qui parle à Dieu et de Dieu, et le sourire qui enseigne la foi, la générosité, la toujours ma douce Mère pour la voir nettement à l’heure de la mort. Celui qui meurt en Marie possède Jésus Marie et reçois ma paix. Il ne faut rien d’autre pour être heureux.”Depuis hier, je vois la Vierge, et la beauté de cette vision souriante et silencieuse dépasse la capacité humaine de la le cadeau de Jésus pour ma mission du “petit Christ” aimer et transmettre la Parole Le 10 septembre 1943 L'ecclésiaste 12, 9-1409 Qohèleth ne fut pas seulement un sage, il a encore enseigné son savoir au peuple. Il a pesé, scruté et serti lui-même un grand nombre de Qohèleth a cherché et trouvé de belles sentences, il a écrit des mots justes et Les paroles des sages sont des aiguillons et les recueils de dictons, des clous bien plantés – présents d’un incomparable Prends garde, mon fils, à n’y rien ajouter. Écrire de nombreux livres est une tâche sans fin. À trop étudier, le corps s’ Pour conclure ces paroles, et tout bien considéré, crains Dieu et observe ses commandements. Tout est là pour l’ Dieu mettra en jugement toutes les actions, tout ce qui est caché, bon ou Jésus dit “Ma fille, lisons ensemble les derniers versets de l’Ecclésiaste. S’il était très sage, je suis la Sagesse de Dieu. Donc, infiniment supérieur à lui. Mais comme lui, j’instruis mon peuple. Je l’instruis depuis vingt siècles. J’ai commencé l’instruction par ma Parole et je l’ai continuée à travers la parole de mes serviteurs parmi les plus instruits de mon peuple, j’ai des disciples de prédilection pour qui le Maître devient plus qu’un maître, un ami, et avec les richesses d’un roi, leur ouvre les portes aux trésors des confidences et des révélations. Je prends par la main ces bien-aimés et je les amène avec moi dans le tréfonds des secrets et je les rends aptes à recevoir ma Parole, que je donne avec une ampleur réservée à mes nouveaux petit Jean, je te confie ma Parole. Transmets-la aux maîtres afin qu’ils s’en servent pour le bien des créatures. Elle vient du Pasteur Unique, du bon Pasteur qui a écrit la vérité de sa Parole avec son chef du monde ou un génie de la Terre confient à un fidèle un drapeau sacré ou un précieux secret, lorsqu’ils transmettent une consigne ou la formule d’une invention, avec quel respect sacré le fidèle les porte ou les transmet ! Mais je suis beaucoup plus qu’un chef et qu’un suis Dieu, Verbe et Sagesse du Père, votre Seigneur et Rédempteur. Ma Parole ne sert pas seulement à donner un bien terrestre, mais à donner le bien qui ne meurt pas, la vie éternelle. Il n’y a donc rien de plus sacré et de plus précieux que ma l’âme à genoux, et que ton amour soit l’encens qui purifie ton cœur qui la reçoit, ta main qui l’écrit, ta bouche qui la répète, ton œil qui la lit. Vis en ange et en prêtre, puisque je t’ai accordé d’entendre ce qu’entendent les anges et ce que répètent les prêtres. Et vis de plus en plus en victime, car c’est le sacrifice qui ouvre les oreilles de l’esprit, et c’est le sang qui lave la langue qui parle du Seigneur. En ces jours qui précèdent la fête de la Croix, j’ai un immense besoin d’âmes crucifiées. Fais-moi la charité de souffrir pour moi. Crois en ton Jésus ! Si je pouvais retourner sur la croix pour vous, comme j’y retournerais volontiers ! Mais je ne le peux pas. Et dans tout ce sang ennemi qu’avec une haine fratricide l’homme verse sur la terre, il manque mon Sang que je ne peux plus verser de la croix pour vous. Pendant que je transforme les espèces du pain et du vin en Corps et Sang du Christ sur les autels de la Terre — trop peu nombreux et trop peu entourés d’âmes qui prient vraiment — vous, mes chères petites victimes, chères fleurs de mon jardin, substituez-vous au Rédempteur et donnez-moi votre corps comme hostie de propitiation pour les péchés du monde. Ma fille, ne cherche rien de plus, je dis aussi avec l’Ecclésiaste. Et que veux-tu de plus que la mission d’être un petit Christ à la place de ton Jésus ? Et que désires-tu de plus grand que ma Parole ? Dieu est simple. Plus tu te rapprocheras de Dieu et plus tu deviendras simple. Tu sentiras toujours plus en toi l’ennui et la vanité de la science humaine, même de celle qui se tourne vers Dieu, mais qui est écrite par l’être humain. Plus Dieu te parlera et plus tu souffriras du son aigre et acerbe des paroles humaines comparé au ton très doux et surnaturel de ma Parole. Ne te fatigue pas avec beaucoup de doctrines, ne t’embarrasse pas de trop de règlements. Sois simple et libre. Qu’il n’y ait sur toi que le joug léger qui n’est pas un poids, mais une aile le mien. Il n’y a qu’une chose à faire pour venir à moi sans erreur celle que conseille l’Ecclésiaste, mais que je modifie comme suit Aime Dieu et observe ses commandements’. Je ne dis pas Crains’, je dis Aime’. L’amour est bien au-dessus de la crainte et il est plus sûr pour arriver à son but. La crainte est pour ceux qui sont encore loin de Dieu, pour ne pas s’égarer comme des œillères empêchent la bestialité enfermée en l’humain de prendre le dessus à chaque ombre chimérique qui tente de la séduire. Mais pour ceux qui sont déjà près de Dieu, surtout pour ceux qui sont dans les bras de Dieu, c’est l’amour qui doit servir de guide. Dieu portera en justice toutes vos actions. Mais il est naturel que les actions inspirées par l’amour ne soient jamais complètement mauvaises et telles qu’elles dégoûtent le Seigneur. Elles porteront le signe de vos limitations humaines, mais il sera recouvert de l’emblème resplendissant de l’amour qui annule les fautes et rend les actions des humains agréables à Dieu. Voilà, ma fille. Tandis que le monde est rempli d’un vacarme homicide et que la haine déborde des cœurs, nous deux qui nous aimons, dans le silence et la paix, parlons d’amour. Et rien ne réjouit ton Jésus autant que ces petites Béthanies où je suis le Maître qui se repose et qui enseigne à une Marie amoureuse qui le regarde et l’écoute avec tout son amour. Hier tu n’as pas pu écrire ce que je t’ai dicté ? Ça ne fait rien. Ne te fais pas de souci. La semence de ces paroles est en toi quand même. Quand je le voudrai, je la ferai germer. Et elle sera encore plus belle. Sois toujours bonne et patiente. Je te donne ma paix. Source édition par Anayel le Dim 29 Mai - 1800, édité 1 fois
Car j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger, j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire» Matthieu 25 ne s'arrête pas avec la parabole des talents, mais c'est immédiatement suivit par le passage ci-dessous qui n'est pas une parabole mais qui est directement connecté aux trois paraboles précédente que nous avons lu.
Jésus parlait à ses disciples de sa venueQuand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres il placera les brebis à sa droite, et les chèvres à sa gauche. Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite 'Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde. Car j'avais faim, et vous m'avez donné à manger; j'avais soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais un étranger, et vous m'avez accueilli; j'étais nu, et vous m'avez habillé; j'étais malade, et vous m'avez visité; j'étais en prison, et vous êtes venus jusqu'à moi!' Alors les justes lui répondront 'Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu? Tu avais donc faim, et nous t'avons nourri? Tu avais soif, et nous t'avons donné à boire? Tu étais un étranger, et nous t'avons accueilli? Tu étais nu, et nous t'avons habillé? Tu étais malade ou en prison. Quand sommes-nous venus jusqu'à toi ?' Et le Roi leur répondra 'Amen, je vous le dis chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces petits qui sont mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait.' Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche 'Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges. Car j'avais faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'avais soif, et vous ne m'avez pas donné à boire; j'étais un étranger, et vous ne m'avez pas accueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas habillé; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité.' Alors ils répondront, eux aussi 'Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu avoir faim et soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?' Il leur répondra 'Amen, je vous le dis chaque fois que vous ne l'avez pas fait à l'un de ces petits, à moi non plus vous ne l'avez pas fait.' Et ils s'en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle.
Javais faim et vous m’avez donné à mangerToulouse, 18h30, un dimanche de mars, dans le quartier de la gare Matabiau des bénévoles de l’association la Main Tendue déchargent leur fourgonnette. En plein air abrités seulement par un auvent ils installent marmites, cocotes, thermos de the, café ou chocolat. Chaque dimanche soir de l’année, 52 semaines sur 52 des
Le Deal du moment -35% KRUPS Essential – Machine à café ... Voir le deal 299 € COMMENCEMENT. Corbeille Aller à la page 1, 2 AuteurMessageInvitéInvitéSujet le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1423 Louhan allez monte. Puré il fait frais, j’ai froid aux jambes moi. Monte ou sinon je te fait grimper moi-même si tu n’es pas encore en état… » Louhan tourna la tête vers le conducteur, ou plutôt la conductrice. Il avait la tête appuée sur l’appui-tête de son siège, il fixa Charlotte, ou Stephanie il savait plus. Du moins il n’arrivait jamais à savoir entre elle et sa sœur. Il la regarda, ba quoi il allait pas foutre le chauffage en été. Elle avait qu’à pasmettre de mini jupe pour son service. Il soupira, cherchant avec sa main la poignée. Il ouvrit la portière et sortit difficilement certe. Je peux encore monter seul chez moi…merci de m’avoir déposé » répondit-il. Il la regarda partir et s’alluma un joing. Après tous il n’était plus à ça près. Il était cinq heures du matin. Son service ayant finit à 3 heure il avait eut deux heures pour se prendre 1,6 gramme de coke, deux bouteilles de vodka et une de rhum. Puis L’une des jumelles Stewton avait décuidé de rentré chopant par la même occasion le jeune home. Pas très sympa de l’interrompre dans sa super soirée. Super soirée, quelle ironie. Il avait terminé son travail se sentant abject. Hopeless hantant ses pensées. Là c’était assez dur de penser à la jeune fille. Allumant une clope il monta les escaliers un à un. Assez lentement pour pouvoir encore tenir debout. L’appartement n’était pas fermé. Heureusement car il n’aurait jamais réussit à rentrer dedans. Il alluma juste une lampe près du canapé, pour ensuite aller à la salle de bain. Il regarda son reflet défoncé, ses traits tirés, ses joeus creusées. Oui il était bien un junkie comme tous le monde le pensait. Il prit trois cahcets censé faire passer le mal de tête. Lui il voulait juste faire passer l’alcool le mal de tête lui permettait de pas trop se concentrer sur un autre mal. Il but ce verre abject. Grimaçant il retourna à son visage. Quelques secondes plus tard il du se précipiter vers les toilettes pour régurgiter quelques verres voir une bouteilles au moins d’alcool. Il s’essauya la bouche reprenant des médicaments. Puis il repartit dans le salon. Zippo en main il alluma un joing. Il fixa cette porte close. Tristan. Où es-tu ? Je ne t’ai jamais demander de revenir car je sais que tu es avec elle. Que vous êtes ensemble…mais j’ai tant besoin de toi. Pourquoi tu peux pas être là. Je peux rien faire…je sais pas comment faire Il tourna la clef dans la serrure, la porte s’ouvrant doucement. Le noir total. Il fit un pas, l’ambiance étrange. Un cadre lui faisant face. Deux jeunes hommes, quasiment semblabes. Assis sur du bitume, riant , amusé d’une blague commune sans doute. Le même regard, les mêmes tatouages. Louhan peu reconnaissable, des tatouages en moins, une vie en plus dans ses yeux. Le jeune homme s’approcha de ce souvenirs, cette pièce recouverte de photos, de souvenirs. Avec une guitare posé sur une banquette abimée. Louhan s’approcha de cette banquette, jouant quelques accords. Il posa cette guitare, s’allongeant dans cette pièce qui encore une fois lui rappelait le passé. Ses yeux se fermèrent peu à peu, son visage crispé par Tristan se mélangeant avec Hopeless… InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1444 J'avais faim. Depuis combien de temps je n'avais pas mangé ? J'avais l'immense flemme de me faire à manger. Deux jours ? Oui, sans doute. Ça faisait deux jours que je n'avais pas mangé correctement ce qui pouvait se voir. Mon corps tremblait doucement, alors que mes pas résonnèrent. J'étais la seule, dans la nuit totale et j'avais peur. Peur du noir. Mais pas que du noir non plus. Peur de ce qui allait se passer avec Louhan, car j'étais bien décidée à aller le voir, de nouveau quitte à ne rien lui dire. Seulement le regarder, vivre. Je voulais seulement le voir. Son regard bleu et son sourire provocant. Je voulais seulement voir ça. Lui. Louhan. Ce doux prénom qui faisait si mal, qui me rendait malade autant qu'il me tuait. Louhan. Mes pas accélèrent, je stressais comme une grosse malade dans la nuit. Dn plus, j'entendais des voix d'hommes. Or, je ne pouvais courir, car je n'en avais pas la force. Et Louhan qui habitait dans un quartier qui craint. Un jour, j'allais lui crever les yeux pour avoir habité ici. Son immeuble était là. Je montais les marches, doucement. Fatiguée. Il était tard. Ou plutôt tôt. Je ne savais pas à quelle heure finissait Louhan alors j'étais venue chez lui, tard. Il était cinq heures du matin surement. Je baillais, doucement. Il fallait que je le vois. Maintenant. Dernier étage, la porte de son appartement. Je toquai doucement. Pas de réponse. Je toquai une nouvelle fois. Pas de réponse. J'enclenchais la porte, dieu merci elle était ouverte. Louhan, tu es là? » demandais-je d'une petite voix, timidement. Pas de réponse non plus. Une porte était ouverte, cette porte close qui m'intriguait. Allais-je me faire tuer et découper en petit morceaux par la suite ? Tant pis. J'entrouvris la porte, délicatement. Il était là, allongé sur le sol, les yeux fermés. Il était beau, terriblement beau. Je souris, peu de temps, avant de grimacer. Il aurait dû m'entendre, là. Pourquoi ne bougeait-il pas ? Effrayée, je m'approchais de Louhan en vitesse, le secouant. Louhan, tu me fais quoi là ? » Ne le voyant pas ouvrir les yeux, je le secouais, encore. Il commençait sérieusement à me faire peur. Je pris peur, sans savoir pourquoi. Il était là, ne répondant pas. Je levai la tête, regardant autour de moi et vu une photo, de deux garçons. Je ne les voyais pas bien, tant pis. Je m'en foutais à vrai dire. Parce que Louhan ne répondait toujours pas et que mon cœur se serrait de plus en plus. Répond moi, Louhan bordel ! Répond moi ! InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1750 A travailler, à se droguer et à boire il allait un jour finir par crever. Il le savait mais arès tous, tous le monde finissait un jour par mourir. Et Louhan était persuadé qu’en mourrant il rejoindrait Tristan. Pourquoi ne pas le rejoindre dirctement ? Ce serrait facile à vrai dire, une voiture qui va trop vite, un saut dans le vide, une corde, trop de coke, trop d’alcool. Il avait le choix, trop de choix. Mais à chaque fois qu’il y avait pensé, à chaque fois qu’il avait vouluit le faire. Il y avait ce souvenir. Cette dernière nuits, ensemble, rien que tous les deux. Et Tristan lui faisant juré de vivre pour deux, cette promesse sceller par leur lèvres se collant l’un à l’autre pour échanger le même air, un air plein de tabac. Alors il ne pouvait le faire, car aussi bizarre que cela pouvait paraître c’était Tristan qui depuis des années le forçait à pas aller jusqu’à l’overdose. Même mort il le forçait à ne rien faire de trop absurde. Alors pourquoi ne l’avait-il pas forcer à ne pas tomber amoureux de cette fille ?Louhan s’était endormit sur ce canapé, la guitare de Tristan posée à terre, dans cette univers qui pouvait sans doute le ramener au temps où il n’y avait pas encore tous ces souvenirs. Où il y avait juste le présent et l’interrogation de savoir se qu’ils ferraient le lendemain tous les deux. Il était défoncé, bien soule aussi. Il aurait vraiment du mal le lendemain matin. Ca présageait un mal de tête féroce. Mais pour le moment il avait sombré dans les bras de Morphé. Il n’entendit pas sa porte s’ouvrir. Ca pouvait être dangereux, n’importe qui pouvait pénétrer son appartement mais il y avait peu de chose à voler vu que cette pièce était toujours fermée. Il ne la sentit pas approcher. Comment l’aurait-il pu ? Il se sentit alors secouer. Pourtant il n’arrivait pas à réagir. Trop dans son sommeil. Qu’on le laisse tranquil. Il voulait juste dormir mince. Il ne bougeait pas. Pourtant il fut tellement secoué, reconnaissant cette voix affolé. Il sortit peu à peu de son sommeil. Puré impossible de dormir tranquil. Il repoussa un peu Hopeless essayant de retrouver ses souvenirs, se qui se passait. Il refit vite surface néanmoins. La voyant la face à lui. Que faisait-elle ici ? Pourquoi était-elle là ? Pourquoi venait –elle le voir comme si il avait une réel importance ? C’est alors qu’il repéra où ils étaient. Le lieu. La chambre. Que faisait-elle ici ? Louhan pourtant apaisé resota sur ses jambe où du moins d’abord en mode assis il se leva rapidement. Dégages…qu’est-ce que tu fous ici ? Sort !!! » Sa voix furieuse brisant le silence. Il la prit par le bras, la forçant à se tirer de cette pièce. Il la tira violament vers la sortit. Un remake de la scène où un jour il était en manque mais peut-être en plus furieux. Il claqua la porte de la pièce derrière lui. Cachant son visage dans ses mains. C’est alors qu’il réalisa se qu’il avait fait, il réouvrit la porte sortant dans le salon. Sur une Hopeless qui n’avait pas bougé. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 1845 Et s'il venait à mourir. Nan mais c'est vrai quoi, il avait un mode de vie plutôt étrange. S'il venait à mourir comment je ferai moi ? C'était égoïste, je le savais, mais là, à ce moment même, je ne voulais pas m'imaginer vivre sans lui, sans ce putain de regard bleu qui avait envahit mon esprit sans oser en repartir. Il était là, graver et je ne pouvais m'en passer. Non. Jamais. C'est pour ça que j'étais présente, chez lui dans cette pièce étrange à le secouer de toutes mes forces alors que mon cœur lui, ne battait plus. Il ouvrait les yeux lentement et je soupirais. Quel con ! Il emmargea peu à peu sautant sur ses jambes se levant rapidement. Dégages.. Qu'est-ce que tu fous ici ? Sors ! » Me prenant par le bras, il me faisait mal. Il m'avait jeté comme une vulgaire chose à la porte. Je ne compris pas. Il était dans la pièce et moi aussi. Ce qui me laisserai le temps de trouver une excuse bidon pour ma présence ici. Fouillant dans mon sac, je trouvai son débardeur. Bingo, j'allais m'en sortir. Il ouvra la porte, doucement. Il était vraiment horrible. Enfin, pas physiquement horrible mais, ses yeux étaient tellement rouges, sans vie. Pire que quand nous nous étions vus au bar. Il avait du se droguer, après. Encore. Je soupirais lentement. Pourquoi m'était-il sa vie en danger, ainsi ? Et pourquoi la drogue ? Je sais pas, il y a de nombreuses autres choses dans le monde. Pourquoi ça ? Ne tenait-il vraiment pas à vivre ? Un de ces jours il allait en crever, chose que je ne voulais pas. Absolument pas. Je m'approchais de lui, dangereusement, sortant son débardeur de mon sac. Je voulais te rendre ça.. » dis-je d'une petite voix, lui tendant. Nous étions à quelques centimètres, il ne bougeait pas. Je soupirai, le posant sur la petite table alors que je n'avais pas bougé. Non. Toujours cette même proximité entre nous deux. Enivrante, mais surtout vertigineuse. J'avais la tête qui tournait, les jambes qui tremblaient. Instinctivement, je m'accrochai à Louhan - ce ne fut pas la meilleure idée de ma vie - trop faible pour attraper quelques choses d'autres. Mais qu'est-ce qui m'arrivait ? Pourquoi étais-je devenue si faible, si tremblante d'un seul coup ? Ma tête se posa lourdement sur l'épaule de Louhan, j'essayais de la relever. Aucune réponse de ma tête devenue trop lourde. J'aurais dû édition par Hopeless J. Shinedown le Dim 27 Juin - 2235, édité 1 fois InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2118 Je voulais te rendre ça.. » Louhan la regardait, la face à lui. Elle avait quelque chose dans ses mains. Louhan regarda un instant le bout de tissu. Puis il remonta le regard vers Hopeless sans rien dire. Comprennant alors que c'était un de ses débardeurs, il n'en eut pourtant pas grand chose à faire. Elle le posa sur la table basse, sans bouger d'un pas. Elle était là. Si près de lui. L'observant comme un animal de foire. Il ne comprennait pas. Il allait bien, qu'elle le laisse tranquil. Il allait bien, qu'elle s'en aille. Il allait bien, pourquoi revenait-elle pour troubler cette paix instorée par la drogue. Nan pourtant elle était là. Après tous se qui s'était passé comment pouvait-elle être là? Il la regardait essayant de savoir comment réagir. Mais son cerveau encombré par du coton semblait plus savoir. Etait-ce la drogue? Où alors simplement qu'il ne savait plus comment se comporter. Un sience s'installa entre eux. Pesant, Louhan ne disait rien. Dos à la porte qu'il avait refermé. Face à elle, si proche de lui et pourtant si loin en même temps. Que devait-il faire? Comment pouvait-il effacer ces images de sa tête? Comment pouvait-il faire confiance à une fille qui disait l'aimer mais qui avait coucher et eut une relation de couple avec un autre? Merci... tu aurais pu le garder mais c'est...sympa » répondit-il au bout d'un moment. Sa voix calme et posé, une voix blanche de toute émotions. son cerveau refusant de comuniquer autre chose. Quel heure était-il? N'avait-ce été qu'un rêve? Tout ce qu'il avait vut ces dernières heures n'avait-il été qu'un cauchemard? Pourtant tous semblait si réel, si proche, si douloureux. C'était cette douleurs qui lui broyait la poitrine qui lui montrait que c'était réel. Et il se haissait que seulement une fille puisse le mettre dans cet état?. Quoi c'était pas la fin du monde? Ce n'était qu'une fille. Non ce n'était pas qu'une fille. C'était cette fille , et elle remettait tout en cvause, elle faisait tous remonter. Il la regarda, que devait-il lui dire? Car il en avait aucune idée. Néanmoins elle avait une sale tête, pas autant que lui certe. Mais elle avait l'air crevé et affamé. C'était facile à deviner car la jeune fille mangeait comme dix d'habitude et que là il vit rapidement . Il la regarda toute trace de colère refoulé. Tu veux manger quelque chose? » InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Dim 27 Juin - 2343 Le silence, c'était ça le pire. Aucun bruit, seulement son souffle et le mien. Trop proche, beaucoup trop proche. L'idée de l'embrasser me vint à l'esprit, mais je la rembarrai aussitôt, c'était une mauvaise initiative, car je ne savais pas comment il allait réagir si jamais je venais à toucher ses lèvres. Ses lèvres qui m'appelaient sans le savoir. Ses lèvres que je regardais un bon moment, avant de plonger mon regard dans le sien, vide. D'habitude si provocant, si joueur. En trois petits mots, il avait perdu ce qu'il était. Ce garçon si sûr de lui. Trois petits mots qui avaient changé ma vie. Trois petits mots qui avaient relancé mon cœur, pour mieux le briser. Pourtant, je n'avais pas de quoi avoir le cœur brisé, mais savoir Louhan souffrir à cause de moi, ça me tuait. Je n'étais qu'une fille parmi tant d'autre. Pourquoi moi ? Pourquoi m'avait-il dit ça à moi ? Pourquoi pas à une autre, une fille plus simple, une fille qui lui ressemble, une fille qui aurait pu trouver les bons mots pour le faire revenir. Une fille qui aurait pu l'aimer sans le faire souffrir, car je l'aimais oui, mais au final il avait mal. Ça se voyait. Il n'avait jamais été aussi froid avec moi, jamais aussi distant. Je regrettai ces nuits simples mais douces dans ses bras, sans ces trois mots. Sans sentiments. Sans rien. Merci... Tu aurais pu le garder mais c'est.. Sympa. » il me répondit, enfin. La voix dénué de sentiments. Si distant. Je soupirais. Sentir son odeur à longueur de temps ? Autant directement sauter d'un pont, ce serait plus simple. Sa peau était si lisse, si dure, si.. Rah non, je devais m'interdire de divaguer ainsi. Mon ventre gargouillant et sans le vouloir je m'accrochais légèrement à Louhan. Tu veux manger quelque chose ? » Je le regardai, serrant les lèvres et souris intérieurement. C'était déjà bien, il ne me haïssait pas jusqu'à me faire mourir de faim. Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » dis-je en rougissant, timidement. Pourquoi je rougissais ? Je ne savais pas. Mais je rougissais, souriant bêtement, ne le regardant plus dans les yeux. Je me reculai et le suivis dans la cuisine, m'asseyant sur la première chaise qui se trouvait dans la pièce, beaucoup trop faible et fatigué pour faire un pas de plus. J'avais seulement envie de manger là. Manger Louhan ? Encore plus mais bon, ça, c'était une autre histoire. Baillant, je croisais mes bras et posa ma tête dessus, regardant Louhan se débrouillait à me préparer un truc de mangeable. Je souris. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1108 Euh, oui je veux bien, s'il te plait.. » Il hocha la tête sans un mot. Il la regarda, elle lui sourit doucement rougissant. Il la regarda sans rien dire. Ce truc qu'il aimait tant, sa réserve que faisait qu'elle rougissait tous le temps, ce sourire timide. Il aurait voulut lui ordonner d'arreter ça, ça faisait trop mal. Mais il n'en fit rien. Il tourna les talons allant vers la cuisine. Il tourna juste avant la clef dans la cerrure. Toujours autant fuireux qu'elel y ai n'ajouta rien. La cuisine, toujours avec ce bordel continuel. Louhan se nourissait peu, il avalait des fruits, des céréals, du lait et du café. Pas de viande, ni rien d'autre. La drogue servait à la combler l'estomac lorsqu'il avait trop faim. Il l'entendit s'assoir sur une chaise; il ne vérifia pas. Non moinbs il la voyait moins son coeur semblait imploser. Il ouvrit le frigo, bière, vodka, fruit, bière et encore bière. Il trouva auissi un paquet de clope. Surprit il le posa sur le haut de son frigo avant de renfermé la porte, ouvrant un placard il en sortit un paquet de céréal, il tendit aussi du pain. Débarassant légèrement la table des paquet de clopes, cendrier, livre et fait divers il lui posa ça devant elle. Puis lui donna un bol et des couverts. Il y avait rien dans son appartement; mais en même temps il y avait peu souvent des invités à faire manger ici. Il y a pas grand chose d'autre.. si tu veux des fruits sert toi dans le frigo» L'einforma -t-il levant à nouveau les yeux vers elle. Etrange sa présence ici, là sans se toucher, sans ce petit truc, sans être se passa une main dans ses cheveux court, sortant un verre il le remplit d'eau y plongeant de nouveau un médicament. Si il finissait pas drogué il finirait addict aux médocs. Il le laissa se diluer dans l'eau, sortant une clope. Il partit chercher son zippo. Le voyant sur le meuble, il se rappela quelques jours plutôt Hopeless jouer avec, l'allumant avec joie. Il détourna les yeux allant chercher un autre briquet dans un meuble. Puéril peut-être mais rien que cela faisait mal. Il revint dans la cuisine, Hopeless devait être fatiguée vu sa tête. Quoi? Que devait-il faire? Pouvait-il jouer encore longtemps ce rôle d'être serviable malgré tous ça. De ne pas lui crier dessusn de ne pas la détester. Non il ne pourrait pas rester longtemps mais il savait qu'il ne pourrait pas non plus la détester. C'était impossible tous simplement. Il s'accouda à l'évier, les yeux posé sur la table. Silencieux, le bruit de son médoc efervescent rompant juste le silence. Pas de musique pour une fois. Il posa du tabac sur sa feuille et roula une cigarette. Silencieux avant de la porter à ses lèvres l'allumant. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1200 Que pouvais-je faire pour le rendre de nouveau normal ? Pour pouvoir glisser ma main dans la sienne, pour pouvoir toucher ses lèvres, si parfaites ? Je ne savais pas quoi lui dire, encore moins quoi faire. Pourtant, il allait falloir que je trouve, car ce silence était pesant et je voulais tout régler. Je voulais être avec lui, le voir sourire. Le voir vivre et en découvrir un peu plus sur sa vie, petit à petit et non pas sur cet être distant et maladroit. Celui qui souffrait en silence, mais qui se trahissait par son regard. Je pourrais tout donner pour rester dans son regard, pour voir cette étincelle de provocation qui lui était fidèle. Or à cet instant, il n'y avait plus que de la peine, de la haine et de l'amertume. Je ne voulais pas qu'il me déteste, je ne voulais pas qu'il ai une fausse imagine de moi. Et pour ça, je devais parler. Mais pas maintenant, moi, il déposa un paquet de céréales et du pain. Puis un bol et des couverts. Il y a pas grand-chose d'autre.. Si tu veux des fruits sert toi dans le frigo. » Il regarda en ma direction, je fuyais son regard trop bleu. Merci.. » soufflais-je doucement, lui souriant en coin. Une fois qu'il eu détourner le regard, je le regardais à mon tour. Il était beau, encore plus quand il se passait la main dans les cheveux. Une fois de plus, mon cœur rata un battement. Je versai des céréales dans le bol, mâchant lentement. Même le fait de voir ce bol et ces céréales me rendaient nauséeuses. Ils me rappelaient un matin, où j'avais dormi chez lui et que nous avions déjeuné ensemble, aussi banalement qu'un couple normal. Je me souviens que ce matin-là, j'avais souri, pour rien. J'avais souri, car ce banal je voulais en faire mon quotidien, avec lui. Je le regardais bouger, à l'instant même, allant chercher un briquet surement. Le bruit de son médicament qui se diluait dans l'eau me paru bruyant. Serait-ce parce que ce silence était trop étouffant ? Je n'osais même pas mâcher ayant peur que cela fasse trop de bruit. Avalant une nouvelle cuillère, je baissais le regard. Il était là, adosser à l'évier, le regard fixait vers la table. J'avalai difficilement, m'apprêtant à parler. Écoute Louhan je.. Je suis désolée. Demain, j'irai parler à Nathaniel parce que, même si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. » Ton si beau regard bleu, pensais-je. Et que, même si ça ne mène à rien, même si ça ne ressemble à rien, même si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'être avec toi, même si c'est dur, même si c'est impossible. Je veux être avec toi. » Je terminai ma phrase, le regard sur le bol. Je n'avais pas envie d'affronter son regard et je craignais ses mots. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1440 Les seuls bruits qui brisaient le silence étaient ceux de son médicament et les céréals de Hopeless. Rien de plus. Louhan fumait en silence, fixant cette table sans rien dire. Qu'est-ce qui était à dire? Il prit un cendrier plus loin et y déposa la cendre sans ce soucier du reste. Une voiture passa à vive allure dans la rue en bas. Il n'y pretta pas attention. Ils se faisaient face, pourtant incapable de se parler. Rien, il n'y avait rien à dire. autant pour Hopeless que pour lui. Il sentait cette atmosphère tendue. Écoute Louhan je.. Je suis désolée. Demain, j'irai parler à Nathaniel parce que, même si tu risques de le nier, je sais que ça te fait mal au fond, ton regard te trahit. ... Et que, même si ça ne mène à rien, même si ça ne ressemble à rien, même si ça se terminera mal, je.. Je veux essayer. Essayer d'être avec toi, même si c'est dur, même si c'est impossible. Je veux être avec toi. » Louhan releva la tête. Elle ne le regardait pas. Elle avait les yeux posé sur son bol. Il ferma les yeux, la machoire serrée. Pourquoi retourner le couteau dans la plaie? Mais si il se répétait qu'entre lui et Hopeless rien ne pourrait se passer, quel était donc ce truc que lorsqu'elle termina sa phrase il ressentit? Il secoua légèrement la tête, comme si il voulait s'éclairicr les pensées. Non rien ne pourrait fonctionner, il la détruirait. Il préférait se détruire lui plutôt qu'elle car au finale ça serrait se détruire tous les deux. Il tendit la main vers son verre, le faisant tourner entre ses mains il le regarda. L'eau moitié blanche. Il le porta à ses lèvres et but le liquide d'un coup. Grimaçant il reposa le verre dans l'évier. Restant adosser au rebords de l'évier. Tu devrais rester dormir ici cette nuit...ma voiture et resté sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres à pieds à cette heure là... donc tu peux dormir dans ma chambre. » dit-il. Sa voix neutre, brisant le silence. Calme, serein. Ca lui couptait d'agir comme si de rien était mais s'était ainsi. De plus il avait vraiment besoin de dormir pour voir se que cela ferrait les idées moins embrouillées. Il souhaitait juste que cela ne soit pas pire, que la douleur ne soit pas plus intense. Il avait parlé sans faire par de se qu'avait dit Hopeless. Il se remit debout, écrasant sa cigarette. Et tu verras demain ce que tu ferras... ou pas » continua-t-il. Ne voulant rien dire de plus. Il prit son paquet de clope, et une bouteille de bière fraîche. Passant dans sa chambre il prit juste un oreillé pour lui; laissant le reste à Hop'. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1516 Il était là, adosser à l'évier, à ne pas bouger. Il me rendait nerveuse. Beaucoup trop nerveuse. Portant une nouvelle cuillère à ma bouche, mon ventre commençait lentement à cesser de me bruler. C'était bon de manger. Le bruit des céréales croquant dans ma bouche retentissait dans la cuisine. Louhan bu son médicament, grimaçant. Je souris doucement. Tu devrais rester dormir ici cette nuit.. Ma voiture est restée sur le parking du bar et c'est dangereux que tu rentres à pied à cette heure là.. Donc tu peux dormir dans ma chambre. » il avait dit ça, d'une façon tellement neutre. Dormir dans sa chambre, sans lui. Je grimaçais, mangeant une dernière bouchée de céréales. De plus, il n'avait pas fait attention à ce que j'avais dit.. L'avait-il au moins entendu ? Je soupirais. Et tu verras demain ce que tu feras... Ou pas. » Il passa à côté de moi, ne disant rien de plus. Il m'agaçait, dans sa manière d'être. J'avais envie de le frapper tellement fort pour qu'il revienne, pour qu'il soit de nouveau normal ». J'étais fatiguée, c'était vrai. Mais dormir dans sa chambre, sans lui, ça me faisait encore plus mal au ventre que lorsque j'avais faim. Je me levai, déposant mon bol dans l'évier. Je n'avais pas la force à faire ma maniaque ce soir. Passant dans le couloir, le regardant. Je soupirai et entra dans sa chambre, ne fermant pas la porte. Je n'avais pas envie de sentir cette solitude encore plus s'accrocher à moi la nuit. Je déboutonnai mon jean, le glissant le long de mes jambes et le laissa là, par-terre. Sa chambre sentait Louhan et c'était horrible. Je me mis sous les draps, mettant un bras sous l'oreiller, montant mes jambes pour les rapprocher de mon ventre. J'avais froid, je me sentais mal et son odeur me tuait. Dn plus, son oreiller sentait vraiment lui. Je fermai les yeux, doucement, une larme coula le long de ma joue. Je pleurais silencieusement. Je voulais être dans ses bras pour me réchauffer, je voulais le sentir inspirer, puis expirer. Je voulais qu'il me sert, tellement fort pour oublier. Oublier tout cela et cette pièce étrange. Il me collait à la peau, tout le temps. Dans ma tête, c'était des flashs qui n'arrêtaient pas de barrer le chemin à mon sommeil. Je le voyais, dans ce lit, souriant. Je le voyais, dans ce lit, m'embrassant. Instinctivement, je passais mes doigts sur mes lèvres, souriant. Un sourire qui devait plutôt ressembler à une grimace. Essuyant mes larmes, je remontais les draps par-dessus mon visage. Au moins eux, me protégeraient des cauchemars. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1529 Louhan la laissa dans sa chmbare. Il fut surprit de ne pas entendre la porte se fermer. allant vers son canapé il vit qu'elle l'avait laissé entre-ouverte. Il soupira, venant s'assoir sur le canapé. Fixant cette télé, pencher en avant, ses coude posé sur ses genoux. Il ne savait plus quoi faire. Il n'entendait aucun bruit provenant de la chambre. Dormait-elle? Il n'en savait rien. Il aurait aimé aller la voir, la regarder, refaire les mêmes gestes comme avant. La regarder dormir, caresser son visage, ses lèvres, jouer avec ses cheveux. La sentir se blottir dans ses bras. Louhan se mordit la lèvre. Ressentant cette même sensation que plutôt dans la soirée, dans la réserve du bar. Il porta son index à sa joue caressan sa peau humide. Pourtant il ne les fit pas disparaitre, sa tête basculé en avant, fixant ses genoux. Pourquoi ça faisait si mal? Il voulait la voir. L'avoir que pour lui. Mais quelque chose le retenait. Il resta un long moment comme ça, avant de s'allonger sur son canapé, pied nue, en jeans et tee-shirt. Il du s'assoupir un bon moment, dans un demi sommeil. Continuant d'entendre les bruits de la rue, mais ne pouvant réagir. ans un état comateux. Il du rester ainsi quelques heures. Peut-être réouvrit les yeux, la nuit dsparaissait peu à peu à sa fenêtre. Il regarda le plafond, se levant alors péniblement. Retournant dans cette chambre si fondamental pour lui, il regarda la guitare. La frolant avec ses doigts. Etait-ce tous ces secrets qui les avaient éloigné? Etait-ce que Louhan n'avait jamais voulut se confier qui l'avait poussé dans les bras de son frère? Il en savait rien et ça le tuait. De pas savoir se qu'il avait fait. Il regarda des papiers, des lettres sur le bureau en désordre. La pièce pourtant la plus rangée de l'appartement. Il regarda la plus vieille. Serrant les dents. Il retourna dans le salon, ne s'arretant pas vraiment. Pénétrant dans sa chmabre. Elle dormait. Elle était là. Les draps froissé sur elle, elle était là si belle dans son sommeil. Il vint s'assoir sur le lit, se prenant la tête entre ses mains. Il la regardait sa respiration douce, calme par le sommeil. Il avança doucement sa main. Que lui avait-elle fait pour le rendre ainsi? Si démunit face à elle. Il caressa sa joue doucement. Il se releva alors, laissa juste cette lettre près de son visage. Et tourna les arriva dans le salon, ouvrant la fenêtre il l'enjambea allant sur le minuscule balcon. S'en était pas un, mais la place avant la barrière de fer forgée pouvait servit de balcol. Il s'assit dessus, passant ses jambes entre les barres de fer, ses pieds dans le vide. Regardant la ville déjà réveillé il alluma une cigarette. Pourquoi faisait-il cela? Pourquoi donner à Hopeless toutes les piècespour le détruire? Elle avait déjà réussit une fois. Avec peu de chose elle y était parvenu. pourquoi recommencé pour que se soit pire? Mais si il devait le regretter, regretter son geste, si il devait la regretter autant que se soit jusqu'au bout. Et sinon, sinon demain, après-demain ce serrait des jours nouveau. Il était peut-être temps depuis maintenant cinq années. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1615 J'étais bien là. Dans mes pensées il était là, à côté de moi, m'embrassant. En vrai c'était son odeur qui me rendait ainsi, qui me faisait sourire alors que je ne devrais pas. J'étais bien, entre la nuit et le jour, entre la mort et la survit. Entre deux ponts. Je dormais à moitié sans vraiment le vouloir. Je sentais les bras de Louhan autour de moi, ses lèvres sur les miennes. Mon imagination me jouait des tours, mais elle eut les moyens de le faire pour de bons. Un champ. Un champ de tulipes rouges qui reflétaient dans les yeux de Louhan. J'étais en plein rêve, un doux rêve. Il était là, devant moi ses lèvres dessinaient un sourire. Le sourire de l'autre fois, le sourire qu'il avait eu quand sa carapace s'était brisée. Je me voyais, courir en riant de bons coeurs. J'échappais à Louhan qui essayait de me retenir. Un, deux, trois. Il me sauta dessus, m'attrapant les bras. Je lui souris, il me sourit. Nos lèvres se touchèrent et des papillons vinrent autour de nous, nous portant. Nous étions seuls et avions l'air heureux. Oui, ce rêve était magique. Ce rêve était bien loin de notre triste réalité. Je sentais une pression sur ma peau et bougea légèrement. Les pas de celui qui venait de me sortir de mon sommeil s'éloignèrent. Je baillai en silence, étirant mon bras. Il tomba sur une feuille. J'ouvrai les yeux, un peu. Le jour ce levai. Quelle heure était-il ? Aucune idée. Je pris le bout de papiers soigneusement et ouvrais les yeux, peu à peu, pour la lire. Je me demandais pourquoi elle était là, d'ailleurs.. Une larme coula le long de ma joue, je déposais la lettre contre le lit, délicatement. Je compris alors. Tout s'éclaircissait. Sa façon d'être distant, son penchant pour la drogue et ses tatouages, qu'il n'avait jamais voulu m'expliquer. Je comprenais aussi l'importance de sa guitare, que j'avais vu hier ou aujourd'hui dans cette pièce, bizarre. Je comprenais tout, peu à peu et avait mal pour lui. Était-ce vraiment son frère ? Ou une grande marque d'affection ? Dans les deux cas, il avait perdu son meilleur ami et je ne pouvais imaginer sa souffrance. C'était comme ne plus avoir Polly à mes côtés, une chose que je ne voulais pas me levais brusquement, cherchant Louhan. Il n'était plus sur le canapé. Je regardais partout et enfin, je le trouvai. Il était là, sur les barres de fer de l'extérieur, les jambes dans le vide. Je m'approchais de lui, doucement. Je passai mes bras autour de sa taille, posant ma tête contre son dos, fermant les yeux. Merci.. » soufflais-je doucement. Ma voix du matin était horrible. Je serrai un peu plus mon étreinte, sentant son corps collait au mien. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1811 Louhan avait beau avoir passé cinq ans à fuir cette réalité. A ne plus y penser et à la cacher aux autres, il avait finalement été rattrapé. Il aurait pu ne rien lui dire, faire comme avant, lui pardonner. Mais pardonner, comment pouvait-il le faire? Lui qui donnait si peu sa confiance, lui qui savait qu'il ne pouvait que compter sur lui. Hopeless avait bien montrer qu'il avait raison de ne faire confiance à personne. Mais faire confiance à personne c'était la perdre elle. Et quelque chose lui disait qu'il ne le supporterait pas. On lui avait voler Tristan, il n'avait pas eut son mot à dire. C'était injuste mais il n'avait rien pu y faire. Alors que Hop' , Hopeless on lui donnait la possibilité d'être avec elle. On lui donnait toute la cartes en main, alors comment pouvait-il après dire et crier à l'injustice? Non il devrait assumer ses choix, et il savait qu'il ne pourrait pas assumer celui de la perdre. Nan il ne pouvait pas lui pardonner, mais ils pouvaient tous recommencer. Après tous ils étaient tous les deux en regarda sa cendre tomber dans la vide, et plus bas, beaucoup plus bas sur le sol. Il était au dernier étage, si il avait sauter il se serrait tué. Ses yeux dans les vagues il détourna son regards de ces pensées morbides. Regardant le ciel qui devenait plus clair à l'horyzon. Il avait de la chance de sa salle de bain on voyait le couché de soleil de son salon le levé. Il n'avait pas à se plaindre. Mais il n'était jamais en état pour les contempler ni l'un ni l'autre. Il n'en voyait pas l'utilité à vrai dire. Il regardait les toits, les oiseaux qui se réveillaient et déjà en bas les gens qui passaient. Il la sentit alors, il ne l'entendit pas arriver mais la sentit derrièrelui. Il sentit ses mains autour de sa taille, frissonnant légèrement il la sentit dans son dos. Merci... » Il ne dit rien, s'appuyant contre la poitrine de la brune. Il posa sa tête sur l'une de ses épaules, ses yeux continuant de fixer l'immensité de l'horyzon. Il porta la cigarette à ses lèvres expirant ensuite la fumer. Là, assis, sentant la jeune fille dans son dos. Et il savait que plus rien ne serrait facile, mais qu'au moins elle serrait là. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1841 Je n'osais pas bouger. J'étais bien, malgré avoir légèrement froid. Contre lui, son odeur parcourant mes narines, souriant. Je pouvais enfin le toucher, de nouveau le prendre dans mes bras. Il me faisait penser à un enfant auquel on venait de lui retirer son jouet préféré. Sauf que son jouet n'en était pas un mais son meilleur ami et que ça l'avait encore plus endurcit que de perdre un simple jouet. Les morceaux du puzzle se reconstituèrent. Enfin. Enfin il s'était ouvert à moi. Enfin je comprenais pourquoi. Enfin. Cet homme que j'embrassais à ce moment même alors qu'il avait les jambes dans le vide avait beaucoup trop souffert. Au fil des mots, je m'en étais rendue compte. Je voulais partager sa douleur pour lui retirer, un peu. Pour lui retirer cette peine qui devait le déchirer. Je posa mes lèvres contre sa nuque, doucement, desserrant mes bras autour de sa taille. Je reculai, titubant et m'affalai contre le canapé, baillant longuement. J'étais fatiguée, encore. Je posa ma tête contre l'oreiller que Louhan avait prit hier soir et le regarda, toujours. Je n'avais plus peur de le regarder, aussi bizarrement cela soit. Je n'avais plus peur d'oser l'affronter. C'était horrible de se dire que maintenant que je connaissais sa faiblesse, je pouvais lui tenir tête. Je m'en voulais de penser ainsi, comme une salope, mais lui aussi connaissait l'une de mes faiblesses, mon frère. Je fermai les yeux, doucement. Je ne dormais pas, j'avais juste besoin de fermer les yeux, la lumière m'aveuglait. Je repensais à cette lettre. J'avais tellement de question à lui poser. Mais pas maintenant. Pas maintenant qu'il venait de s'ouvrir à moi. Je bailla, encore une fois, c'est court. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 1956 Louhan sentit les lèvres de la jeune fille dans son cou. Il la laissa faire. Conscient qu'il lui faudrait du temps pour retrouver cette confiance et oublié peu à peu ce qui s'était passé. Il la laiss afaire puis la sentit se décoller de son dos. Il resta un moment dans la même position face à la ville. Puis il tourna la tête vers l'intérieur de son appartement. Il vit qu'Hopeless avait élu domicile sur son canapé, allongée. Elle avait prit son oreillé et avait les yeux fermé bien qu'elle ne semblait pas totalement endormie. Louhan écrasa sa cigarette. Il se leva restant en équilibre sur le bords de sa fenêtre. Pied nue entre le vide et son appartement. Cela aurait été si simple de sauter du coté de la ville. De s'envoler vers un autre endroit. Il avança son pied et sota. attérisant sur le parquet sans bruit. Il regarda l'heure de la cuisine. neuf heure et demie. C'était déjà le lendemain. Demain était aujourd'hui. Pourtant le jeune homme se sentait aussi crevé que la veille. aussi vide d'énergie. Bien qu'il se doutait que le problème n'était pas que Hopeless mais surtout la nuit qu'il venait de passer. Il observa la jeune femme sur le canapé. S'approchant il l'a prit dans ses bras un demi sourire aux lèvres. Avec souplesse il la issa près de lui et se dirigea vers sa chambre. Oui il était neuf heure mais ce n'était pas pour cela ques'était l'heure de se lever. Loin de là posa la brune sur sopn lit, puis s'allongea à coté d'elle. Ce lit jamais fait, cette chambre jamais rangé, cet appartement qu'Hopeless détestait tant. elle n'avait cessé de lui répéter. Elle détestait venir ici dans ce quartier "mal famé" comme elle disait. Lui il l'aimait son appartement, il aimait son quartier et ses habitudes. Louhan bailla légèrement, se sentant totalement épuisé. Comme si il n'avait pas dormit depuis des jours et des jours. Il regarda la jeune femme, ne sachant plus comment agir avec elle. retrouver les anciens gestes... Il ota son tee-shirt te son jeans. Le soleil se levait alors que lui comptait bien ne pas l'imiter. Se rallongeant sur son lit il attira Hopeless à lui. Déposant un baiser dans sa nuque, sur sa nan j'aime et moi aussi c'est court / InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2047 J'avais cours aujourd'hui, à dix heures même, mais je n'allais pas y aller, autant que je n'allais pas quitter Louhan maintenant. Dans quatre vingt ans peut-être, mais pas maintenant. Non. Je voulais être avec lui, lui apprendre à vivre sans souffrir. Lui apprendre comment moi-même je vivais. En souriant au bonheur de la vie, tout simplement. Je n'ai jamais dit que c'était facile, au contraire, mais il faut savoir se satisfaire de peu pour construire son avenir. Un avenir avec des risques, des bas et surtout des hauts, parce qu'il fallait se réjouir d'être en vie alors que d'autres sont partis bien trop vite. Comme son meilleur le sentais s'approcher, son odeur le suivait, mais je n'avais pas la force d'ouvrir les yeux. Je sentais ses bras, autour de moi, me soulever. Je souris contre lui. Je m'accrochai à lui, alors que nous traversions son appartement pour aller dans sa chambre, je suppose, puisqu'il me posa sur un meuble mou, j'ouvris les yeux, un peu. Il enlevait son tee-shirt, puis son jean. Je souriais, comme une enfant heureuse. Son corps était bien foutu, n'empêche. Louhan s'allongea à côté de moi, m'attirant vers lui. Ses lèvres se posèrent dans ma nuque, me provocant un tas de frissons puis sur ma clavicule. Je soupirais légèrement, sans m'en rendre compte et souris. Doucement, j'avançais mon visage vers le sien, hésitant. Devais-je l'embrasser ou non ? Allait-il me rejeter ou pas ? Je regardais ses yeux, puis ses lèvres. Puis ses yeux et encore ses lèvres. Nos souffles se mélangeaient, doucement. Son souffle chaud et brutal avec le mien. Je me poussais légèrement pour pouvoir enfin le toucher, glissant ma main contre son torse, remontant doucement vers sa nuque pour finir par caresser sa joue, tendrement. Ça faisait horriblement bien, de se sentir en vie, seulement parce que je venais de l'embrasser. Timidement, comme une enfant. Nos lèves, ensembles. Pour toujours, car je n'allais pas le laisser partir, pas maintenant qu'il s'était ouvert, qu'il m'avait ouvert son cœur. Pas maintenant qu'il était nu, face à moi, moi la fille trop pure, mon son parfait contraire qui l'aimait, beaucoup plus qu'elle ne l'aurait souhaité. C'était fou comme je l'aimais. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Lun 28 Juin - 2151 Louhan avait mit sa tête sur pause, son coeur brulant sur off et tous le reste aussi. Pourquoi penser? Il ne savait pas lui même se qu'il voulait , enfin si. Il voulait être avec elle. Mais il ne savait plus quoi penser. Alors pourquoi continuer à essayer de le faire ? Il avait donc décidé de ne plus se poser de question. Et s'est ainsi qu'il conduisit Hopeless dans sa chambre. Elle était à deux doigts de sombrer dans le sommeil. Il la déposa sur le lit, rétirant alors son tee-shirt et son jeans. Seulement en boxer il s'approcha e la jeune fille l'attirant à lui. Il déposa un baiser dans son cou, respirant son parfum avec envie. Il la sentit bouger léèrement et lui sourire. Un sourire qui retournerait n'importe quel mec. Sauf que s'était lui qui était là, dans ce lit. Lui qui pourtant n'avait plus confiance en eux. Mais en voyant ce sourire, si timide ,si incertain. Il comprennait qu'il avait beau ne plus y croire, Hopeless semblait vouloir le faire pour deux si il baissait un jour les bras. Il la vit se rapprocher de visage si proche, leur souffle s'entremélant. Louhan la regardait sans bouger, appuyer sur sa main. Il ne bougeait pas, il la regardait. Ses yeux faisant l'aller-retour entre ses yeux si marron et énivrant, et ses lèvres si attirante. Il la regarda s'approcher, sentant sa main venir caresser son épaule, sa joue. Puis enfin, enfin leur lèvres se touchèrent doucement. Louhan la laissant alors l'embrasser. Alors que doucement, il commença à reprendre surface. Passant alors doucement sa main dans les cheveux de la jeune fille il répondit à son baiser. Comprenant qu'il ne pouvait rien faire de plus pour la repousser. Non il ne pouvait le faire c'était impossible. Pourquoi donc continuer à jouer au c**? Il l'attira un peu plus à lui, profitant de son parfum tandis qu'il savourait finalement ce baiser. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2236 Son regard bleu, parfois rouge, parfois vide, parfois étincelant ou provoquant. De toutes les manières que son regard soit, son regard était ma priorité, ma première pensée. Dépendante de lui, autant de ses lèvres que de sa peau collée à la mienne. Autant que lui avec moi. Maintenant tout pouvait se faire, parce que je pouvais enfin imaginer me réveiller dans ses bras le matin et prendre le petit-déjeuner avec lui, comme un couple banal. Je pouvais enfin imaginer lui prendre la main, l'embrasser dans la rue, me serrer contre lui lorsque j'aurais froid et même rester des heures avec lui s'il le fallait dans nos rues de San Fransisco. S'il baissait les bras, s'il déprimait, je pourrais être avec lui et lui dire que tout ira bien, lui redonner espoir et goût à la vie, car désormais ce sera logique. Je pouvais maintenant imaginer être sa petite amie et lui, mon petit copain, car même si nous sommes différents, même si nous venons de deux mondes opposés, je l'aimais plus que je ne l'aurai souhaité, je l'aimais quitte à ne plus jamais parler à mon frère. Nos lèvres étaient scellées, délicatement, comme la première fois qu'on s'était embrassé. Doux et destructeur. La première fois, il avait brisé mon âme pure et désormais, il brisait mon monde, mes pensées. J'étais sous son emprise, totalement envoûtée. Il me colla un peu plus à lui doucement, pendant que nos visages s'écartèrent, laissant nos souffles communiquaient à nouveau. Un sourire vint se dessiner sur mes lèves et je caressai délicatement sa peau, du bout des doigts, parcourant sa bouche, sa mâchoire, descendant. Je caressai son bras, le droit, passant sur ses tatouages, ceux dis dans sa lettre. J'embrassai timidement le nom qui apparaissait sur son bras. Baillant, je revins me caler dans ses bras, dans ses bras qui réchauffaient mon corps de glace. L'embrassant une dernière fois, je fermai les yeux ensuite alors que je sombrais rapidement dans un sommeil lourd et profond, me laissant fondre contre lui. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 30 Juin - 2247 Louhan avait bel et bien comprit qu'aujourd'hui plus rien ne serrait facile. Que pendant un temps tous serrait si difficile, si beau et si chiant. Il le savait, il s'y était engagé. S'engager avec Hopeless s'était tous recommencer, revenir à zéro, arréter le reste, tirer un trait sur le passé. En était-il capable? Le voulait-il vraiment? Il l'ignorait mais maintenant s'était fait. La machine était enclenchée et plus rien ne permettait de faire machine arrière. A présent plus rien ne serrait pareil. Seul le futur pourrait dire si oui ou non cela avait été une bonne continua d'embrasser Hopeless. Jusqu'à ce qu'elle sépare leur lèvre. Qu'ils reprennent leur souffle, qu'il voit ce sourire sur ses lèvres à elle. Il sentit sa main caresser son bras, il posa ses yeux bleu sur les doigts qui frolaient sa peau. voyant les lèvres approcher de son bras. Il ne se recula pas. Il garda quelque temps encore ces yeux posé sur ce prénom. Tristan, où es-tu? Il fut interromput dans ses pensées par un baiser d'Hopeless. Il y répondit puis la sentti se blottir dans ses bras. Elle ferma les yeux. Louhan reposa sa tête sur l'oreillé. La brune à ses cotés ne tardant pas à respirer calmement signe qu'elle dormait. Louhan reposa de nouveau son regard sur son bras. Trista. Le regardait-il? Où était-il? que faisait-il? Etait-il fière de lui? Louhan leva les yeux vers le plafond. Au dela du toit un ciel sans fin, et peut-être quelque part dans l'infinit son meilleur ami, sa vie, celui qui lui avait tout apprit même se qu'était l'amour. Celui qui grâce à lui, aujourd'hui, Louhan était avec Hopeless pour le meilleur ou pour le pire... InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1436 J'ouvrai les yeux, lentement. Depuis combien de temps dormais-je ? Assez pour avoir le cerveau brumeux. Assez pour me sentir molle de la tête aux pieds. Assez pour avoir chaud bien qu'en étant en simple tee-shirt. Je le sentais, contre moi. Sa respiration contre ma nuque. Je souris délicatement. C'était agréable de me réveiller dans ses bras, chauds et protecteurs. Je me tournai doucement, face à lui, sa respiration frappait contre mon nez. Je me collai à lui, un peu plus, glissant ma tête dans le creux de sa nuque. Je l'embrassai délicatement, remontant vers sa mâchoire, touchant ses lèvres. Cela ne le réveilla pas. Une vraie marmotte ce gars. Je l'embrassai à deux nombreuses reprises, attendant qu'il se réveille sous le léger choc de mes baisers sur sa peau. Son bras droit était passé par-dessus mon corps, venant rapprocher nos deux êtres. Je l'embrassai encore une fois et il y répondit doucement. Ses paupières s'ouvrirent, laissant place à son regard bleu endormi. Ma main vint caresser son dos, de manière tendre, comme pour ne pas le brusquer de son réveil. Bien dormi ? » lui soufflais-je doucement contre ses lèvres. Il était adorable quand il se réveillait et avait des airs d'enfants, d'enfants perdus qu'on voudrait aider par tous les moyens. Une nouvelle fois, je collai mes lèvres aux siennes sans me poser de questions, sans réfléchir au pourquoi du comment de nos disputes passées. Il était là, moi aussi. Quoi de plus important ? Ses lèvres étaient enivrantes, horriblement enivrantes. Je fondais dans ses bras, c'est court. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Jeu 1 Juil - 1521 Louhan finit par se laisser gagner par le sommeil. Glissant dans les bras de Morphé sans émettre la moindre résistance. Il se laissa aller dans ce gouffre sombre et réparateur. Loin des interrogations, des problèmes. Loin des disputes, loin de toux. Juste peuplées de créatures bizarres, de situations étranges, de rêves dérangeants mais non réel. Louhan ne sut combien de temps avait-il dormit. Dehors il faisait toujours jour, c'était peut-être déjà l'après-midi. S'étant couché le matin assez tard cela ne serrait pas choquant qu'en effet cela soit l'après-midi. Il fut réveillé, tiré de son sommeil par de doux baisers. Au début glissant entre rêve et réalité il n'arriva pas à discerner qui était quoi. Puis peu à peu il émergea Il sentit les lèvres de Hopeless appuyer légèrement plus fort. Un réveille comme celui-ci on ne pouvait demander mieux. Il répondit dopucement à son baiser, ouvrant peu à peu ses paupières. Le soleil agressant ses pupilles endormies. Il cligna des yeux quelques fois faisant enfin acte de présence dans la réalité. Bien dormi ? » Il la regarda un demi sourire aux lèvres bien que Louhan était pas le genre à sourire comme un con même sous l'effet de l'amour. Il ferma de nouveau els yeux fronçant les sourcil et étouffant un baillement. ouai...j'ai connus pire...et toi? » demanda-t-il au bout d'un moment. Bon Louhan et les conversations du matin s'était pas toujours frais et génial. Les seules conversations assez longues qu'il avait pu avoir avaient était avec Maïween mais cela finissait tuojours en engueulade et départ violent. Louhan caressa le visage de la jeune fille avant de s'éloigner de ses bras. Et essayant de vraiment se réveiller alla dans la salle de bain. Envie du matin, pisser et prendre un médicament. Il aperçut son reflet dans le miroir et soupira en se passant de l'eau dessus. Puis il sortit de la salle e bain, chopant son briquet au passage il voulut prendre une cigarette lorsque son regard se posa sur un joing, il fut surprit qu'il soit d&éjà près. Il le prit et l'alluma; revenant dans la chambre avec Hopeless. Il avait au passage prit un bol de céréals pour Hopeless et lui apporta. Le glissa sur la couverture il s'allongea à ses cotés. Sur le dos faisant volé la fumer vers le aussi désolé xD InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 7 Juil - 1631 Même comme il dormait, Louhan était beau. Mais ce qui était encore plus beau chez lui, c'est que sans le savoir il avait un visage d'ange. Certes, il était carré, dur. Mais non, moi je le voyais comme doux et simple. Un visage dont je ne pouvais plus me passer. Sous la pression de mes baisers, il émergea. Enfin. Je l'accueilli dans le monde des réveillées, un grand sourire aux lèvres, l'embrassant une dernière fois. Même quand il avait la tête dans le brouillard, Louhan était terriblement sexy.. Comment faisait-il ? Ouais.. J'ai connus pire.. Et toi ? » Je lui souris, doucement, caressant délicatement son torse. Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Ces paroles étaient terriblement franches et je rougis, une énième fois face à lui. Si être naturel me rendait dans un tel état, je n'étais pas sortie de l'auberge expression pourrie, certes. Ses mains caressèrent mon visage, avant qu'il ne quitte mon étreinte d'enfant et il sortit de la chambre. Prenant une inspiration, son odeur entrait dans mes narines, une nouvelle fois bien qu'elle ne soit pas revint, un joint à la bouche. Ça ne sentait pas pareil que d'habitude. Il glissa un bol de céréales sur le lit que je pris, me relevant. Ce gars savait tout de moi, comme le fait que j'étais une grosse-bouffe surtout le matin. Lui, allongé en train de fumer. Je finis mon bol avant qu'il ne finisse son joint, ce qui me surpris. J'allais finir grosse, si ça continuait. Je posai le bol par terre, attendant sagement qu'il ne fisse de fumer, le regardant en souriant bêtement. Comme une enfant. Je me mis sur lui lorsqu'il finit son joint, l'embrassant à pleine bouche. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de répondre à mes baisers. » J'avais toujours peur qu'il ne me rejette, l'embrassant à nouveau, goûtant à ses lèvres, son haleine au goût bizarre. Je grimaçai. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1318 Je ne peux que bien dormir dans tes bras. » Louhan avait juste sourit. Que dire de plus à ceci? Rien, il n'y avait rien à dire. Aucune réfléxion piquante dont il était maître, aucune méchanceté. Non juste un plaisir amusé de voir que la fille qu'il aimait, la fille qui avait tant gagner en lui, prenait tous simplement du plaisir à être avec lui. rien que sa présence la comblait, que dire que souhaiter de plus? Il la vit rougir, et s'échappa dans la salle de bain pour ne pas non plus tomber dans le truc cliché des matins en amoureux. Il avait beau avoir fait des efforts. Depuis les dernières heures avoir franchit un cap énorme. Il ne pouvait pas pour autant changer d'un coup et axepter tous. Nan il y avait des choses qui encore resterait. La drogue, son coté "je m'en fou", les soirées, l'alcool, sa vie. Oui il ne pouvait pas y rénoncé, c'était ça qui lui avait permit de tenir durant toutes ces années. Donc il ne pouvait pas se stoper d'un coup. Il l'aimait oui. Comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinéma et passons... Non il savait qu'il l'aimait, pas que pour son corps, par que pour son coté revèche et tétue, ni son coté borné et collante. Non il l'aimait car elle était Hopeless tous simplement car elle formait un tout et car malgré tous, malgré ce qu'il avait apprit la veille. Elle était bien plus pure et angélique que lui et n'importe quel acte commit par elle ne changerait cette certitude. Il en était bel et bien amoureux de cette fille s'était installé sur le lit, fumer son joing. Décompressant lentement, de toute cette pression accumulé depuios la veille. Il avait envie de partir aux Caraïbes. Il était entrain de se demander combien sa devait couter et si il devrait prendre juste des jeans et maillots de bain, ou alors pull en laine. Oui en effet Louhan était vraiment pas le mec ordinaire à s'épiloguer sur une fille, sur l'amour et la dichotomie de la haine à l'amour. Non il était déjà loin et s'était sa manière de ne pas se laisser sumrger par tous ces sentimentssi nouveaux, si terrifiant mais si bon au fond. Il termina son joing, l'écrasa dans le cendrier posé sur le matela à ses cotés. Il ferma une seconde les yeux puis le réouvrit sentant un poid plume sur lui. Il sourit amusé réouvrant ses paupières. Sentant les lèvres de Hop' venir s'emparer des sienne. Il se laissa faire par les maisn et les lèvres de la jeune femme. De sa copine. Non, tu n'as pas le droit de me repousser, tu as seulement le droit de rester immobile et de répondre à mes baisers. » Il rit, il s'ésclafa en la regardant qui lui tenait les bras. Il sourit à ceci et répondit néanmoins à ses baisers. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose? Avec cette froce de moineau? » répondit-ilm au bout d'un moment. Il enroula ses jambes autour des fines hanches de la jeune fille. Puis d'un coup de bassin il la souleva et la fit tourner. Se retrouvant sur elle, la tenantpar les poignets. Un sourire machiavélique aux lèvres. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Il sourit venant l'embrasser dans le cou, mordillant doucement sa peau tiède et si enivrante. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Ven 9 Juil - 1836 Mon professeur de Littérature allait me tuer demain et surement me demander pourquoi je ne lui avais pas fait l'honneur de ma présence. Je pourrai lui dire la vérité. Lui dire que j'étais avec mon copain » - rien que le fait de le prononcer mentalement me fit frissonner - car la veille, je me suis endormie chez lui, beaucoup trop fatiguée pour rentrer chez moi. Et pourquoi j'avais été fatigué ? Parce que j'avais passé ma soirée à lui courir après, pour lui expliquer ma relation étrange avec mon frère. Oui, j'aurais pu le dire, mais non, je n'allais pas le faire. Je lui dirai seulement que et bien, je n'avais pas entendu mon réveil sonner ce qui n'était pas faux d'un sens, car je ne l'avais même pas mis. Il tira sur son joint, une nouvelle fois, pendant que les céréales craquaient sous mes dents. J'avais tout le temps faim, j'étais un estomac ambulant, bon à manger tout ce que je pouvais trouver. Même manger Louhan me paraissait possible. Je déposai mon bol, attendis qu'il finisse de fumer et lui grimpa dessus délicatement. Je ne comptais pas non plus l'écraser. Mes lèvres se scotchant aux siennes une énième fois. Louhan Canteberry, tu es ma drogue. L'attrapant par les mains, je lui souris. Tu te figures que tu es en position de m'ordonner quelque chose ? Avec cette force de moineau? » En un rien de temps, il se retrouva sur moi, m'attrapant les poignets en souriant. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime être un moineau. » Boudant, je ne pus dire non lorsqu'il déposa ses lèvres dans mon cou. C'est pas bon de jouer avec le feu...» Je me mordis alors la lèvre inférieure. Et c'est toi qui dit ça ? » soupirais-je, étouffant un rire. Je le laissai m'embrasser, me mordre, me lécher, me manger, dans ses bras, je me laissais complètement aller. Je glissai mes jambes derrières les siennes, nos lèvres se caressèrent, nos langues se cherchèrent pour enfin se trouver. J'adorai être dans les bras de ce garçon aux yeux bleus. J'adorai être dans les bras de mon copain. InvitéInvitéSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi Mer 14 Juil - 1827 Louhan ne fichait jamais grand chose de ses ournées. Il lisait, il se baladait ou décuvait tranquillement. Il n'avait rien d'autre à faire que se qu'il voulait donc ne risquait pas de devoir rendre des comptes à qui que ce soit. Bien qu'il avait peut-être des potes à aller voir. Mais la présence de Hopeless lui faisait oublier toute vie réelle. Il ne pouvait pas lui en vouloir, il se doutait bien qu'elle n'avait pas l'intention de lui faire oublier le reprit le dessus lorsqu'il la vit se pencher sur lui pour le bloquer. Il en rit et en quelque secondes se retrouva sur elle. C'est bien connu que les femmes te sont soumises, n'est-ce pas ? Et merci pour la comparaison, j'aime être un moineau. » Louhan explosa de rire, ne pouvant se contrôler. Puis la voyant bouder il commença à déposer de doux baisers dans son cou. Bloquant toujours ses maisn avec les siennes. Ce n'est quand même pas ma faute si mon charme légendaire vous soumet toutes, si?.. Toi tu es encore mieux tu es hyper sexy comme moineau... » souffla-t-il sachant très bien qu'il était pas très franc ses sentiments le rendant moins objectif. Non même sans être dingue de Hope' on ne pouvait que la trouver sexy. Il l'embrassa de nouveau. Sa langue venant courir sur sa peau si délicieuse. Il l'entendit rétorquer. Et c'est toi qui dit ça ? » Il revint à ses lèvres plongeant ses yeux bleu sérieux dans le regard de la jeune femme. Il bloqua ses deux mains avec l'aide d'une seule des siennes. De l'autre il remit une mèches de cheveux brun à sa copine. Je préfère que ce soit moi alors qui y joue alors... » dit-il. Puis il sourit de nouveau chassant ce petit air sérieux de ses yeux. Il la sentit enrouler ses jambes autour des siennes; il se mordilla la lèvre envieux. Ses lèvres plongeant à la recherche de celles d'Hope'; leur langues se trouvant rapidement. Tandis qu'habitué, sa main libre venait caresser la peau de la jeune fille sous son désolé Contenu sponsoriséSujet Re le doux souvenir amer de toi et moi le doux souvenir amer de toi et moi Page 1 sur 2Aller à la page 1, 2 Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille
Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli» Neuchâtel: Près de 500 catholiques sont attendus le 29 mai au Forum diocésain 2010 Neuchâtel, 20 mai 2010 (Apic) Près de 500 catholiques venant des cantons de Neuchâtel, Vaud, Genève et Fribourg sont attendus à Neuchâtel le samedi 29 mai pour le Forum diocésain 2010.
ANS – Panama City – La maison de production audio-visuelle Don Bosco IMAGE » avec siège à Kochi, Inde, a gagné le Prix du meilleur film dans la catégorie Esprit Missionnaire » au Goodness Reigns Film Festival » Festival La Bonté Règne’, un concours qui a eu lieu à Panama, dans le cadre des Journées Mondiales de la Jeunesse 2019, et qui a voulu promouvoir la création de produits artistiques et de communication avec un regard de foi. Le documentaire vainqueur I was hungry, you gave me to eat » J’avais faim et vous m’avez donné à manger raconte la poignante histoire des personnes frappées par la sécheresse à Korr, Kenya, et a, comme protagoniste, une fille avec des problèmes mentaux. En racontant l’histoire et la genèse du documentaire, le metteur en scène, le salésien indien P. Jiji Kalavanal, a dit Je suis allé à Korr, au Kenya, l’an dernier, pour réaliser un documentaire sur la sécheresse qui a frappé cette région désertique. Korr est une station missionnaire dans la Province de l’Afrique Est, dans un désert désolé, sur la route vers Marsabit. Quand j’y suis arrivé, c’étaient deux ans qu’il ne pleuvait, à Korr, et les gens et les animaux n’avaient rien à manger ni boire. Un jour nous sommes allés pour distribuer de la nourriture dans un village éloigné. Alors que nous étions en cours de la distribution, une fille, mal habillée et qui avait deux enfants avec elle, attira mon attention. C’était une fille avec des problèmes mentaux. Cette scène m’a ému, j’avais les larmes aux yeux pendant que je la filmais. Au soir, au cours des opérations de routine pour sauver les reprises sur un disque rigide et pour revoir ce que j’avais tourné dans la journée… J’ai revu ces images, agrandies, qui ont, de nouveaux frappé mes yeux… Ses lèvres sèches, les sédiments de saleté et le regard pénétrant dans ses yeux… Je me suis vu obligé à raconter son histoire. J’avais été invité à faire une vidéo générique sur la situation de la mission à Korr, mais maintenant je n’avais plus l’intention de tourner un documentaire semblable. Grâce à la collaboration du P. Thomas Anchukandam, SDB, nous avons corrigé et fait des petits changements dans le scénario, mais qui font une grande différence. Le résultat est la vidéo J’avais faim et vous m’avez donné à manger’ ». Le documentaire est en réseau, à l’adresse
35Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli; 36 j'étais nu, et vous m'avez vêtu; j'étais malade, et vous m'avez visité; j'étais en prison, et vous êtes venus vers moi. 37 Les justes lui répondront: Seigneur, quand t'avons-nous vu avoir faim, et t'avons-nous donné à manger; ou avoir
9 juin 2016 4 09 /06 /juin /2016 1113 J’avais faim et vous m’avez donné à manger »… De quelle faim ? de présence, de parole partagée, de ses,de nourriture terrestre comme spirituelle ! L’homme ne se nourrit pas seulement de pain mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu Mt 4,4 Pauvreté rurale un état des lieux La pauvreté dans les campagnes revêt différents aspects. Certes, le manque de nourriture est rare chez les agriculteurs, mais certaines familles ayant beaucoup travaillé se retrouvent, à cause de la crise de l'élevage notamment, dans l’impossibilité d'offrir à leurs enfants les études qu'ils aimeraient faire, ou de renouveler une voiture arrivée depuis longtemps à bout de souffle. Chez ces personnes on trouve souvent un état de découragement et de révolte important Tant travailler et ne plus arriver a assumer l'essentiel ! ›› Les agriculteurs retraités ont vécu la modernisation de l’agriculture sans pour autant en bénéficier. Pour ceux encore en activité, le suicide reste malheureusement trop souvent la seule issue envisagée. Il existe une autre forme de pauvreté, nouvelle celle-ci des couples avec des enfants jeunes, louent souvent de vieilles maisons en campagne. Ils occupent en général un emploi précaire qui leur permettrait de vivre décemment si seulement ils étaient inventifs et bons gestionnaires. Les bonnes pratiques traditionnelles Cultiver un potager, stocker à temps du bois de chauffage, hiérarchiser les dépenses, maîtriser la consommation d'alcool et de tabac... ›› ne sont pas forcément suivies. Résultat précarité, déprime morale, recherche de copains qui leur ressemblent au bar, incapacité de payer les frais essentiels électricité, garage, cantine scolaire... ! La descente sociale s'accélère. Des situations très différentes donc, avec des besoins d'écoute, d'attentions, et d”aides très différents aussi. Nos missions sur le terrain s'adaptent à ces situations et nous tentons, dans le respect des personnes, d'apporter des solutions matérielles, humaines et spirituelles. René et Marie Andrée Stuyk, diacre en mission auprès des agriculteurs et son épouse René Borie, diacre en mission auprès des travailleurs saisonniers Fernand Sanchez, diacre responsable du service d”écoute Published by Paroisse Sainte Marie en Agenais
Carj'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli; Jean 5:23. afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n'honore pas le Fils n'honore pas le Père qui l'a envoyé. -35% Le deal à ne pas rater KRUPS Essential – Machine à café automatique avec broyeur à ... 299 € 459 € Voir le deal La Clairière Les extérieurs Les écuries 4 participantsAuteurMessagecaroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet L'enclos Lun 28 Mai - 2157 Il était grand temps que le merveilleux cadeau de Guidonius pour mon anniversaire, rejoigne la Clairière. J'arrivais enfin aux écuries mais pensais que de la mettre un peu dans l'enclos lui ferait le plus grand bien avant de se retrouver avec Tornade. J'ouvris la barrière, lui ota les rennes et la laissa filerVa ma belle, vaJe la regardais troter, je n'en revenais toujours pas d'un si beau présentEt bien il ne me reste plus qu'à lui trouver un nom, mais je ne sais pas trop plusieurs noms me viennent à l'esprit tendresse, câline, merveille ou ...... je ne sais pas trop moi caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Lun 16 Juil - 005 *******************************************Il faisait un temps magnifique et après avoir fait un petit tour dans le jardin, Jérôme voulait aller voir les chevaux. Arrivés près de l'enclos la jument s'avanca vers moi. Je pris Jérôme dans mes brasVas y mon ange, caresse lui le museau, elle aime beaucoup........Vénusia, vient là ma belle vientVénusia avança sa tête et se laissa caresserTu vois je te l'avais dit qu'elle aimait ça, regarde comme elle se laisse faireJérôme était heureux et ne se lassait pas de la caresser caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Ven 31 Aoû - 1045 **************************************************Non loin de la maison, juste après le petit jardin, il fallait passer devant l’enclos pour rejoindre les écuries. J’étais sortis rapidement de la cuisine ne laissant pas le temps à Guido de réagir. Je savais qu’il ne laisserait pas Jérôme tout me fallait aller à l’écurie seller Vénusia et partir prévenir Aylla. Sur le chemin tout se mélangeait dans ma tête. J’avais l’impression, à la réaction de Guido que j’étais une mère indigne qui abandonnait son fils. Mais pourtant mon fils avait l’habitude d’être loin de moi, et Aylla n’était pas une inconnue, je savais qu’il aurait été bien là-bas……. Mais comment aurais-je fait à l’époque quand tout allait mal et qu’il me fallait partir ? et si je n’étais pas partis mon fils serait orphelin de mère et de père, je n’aurai pas connu Guido…… Des larmes coulaient sur mes joues, je ne savais plus…. Est-il donc plus simple de laisser partir son épouse plutôt que Jérôme ? Je pensais qu’il avait compris que nous avions besoin de nous donner du temps rien que pour nous, que depuis sa rencontre avec Jérôme, nos fiançailles, son élection aux ducales en tant que gardien du peuple, notre mariage et sa réélection en tant que procureur, nous n’avons rien eu pour nous…… ou peut-être suis-je trop exigeante ? Je continuais mon chemin vers l’écurie la vision trouble de par mes larmes qui n’avaient de cesse de bien soit, je me rendrais chez Aylla lui expliquant que cela n’était plus possible pour Jérôme et qu’à l’occasion, je prendrai Abela quelques jours guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Ven 31 Aoû - 1335 Guidonius fut rassuré en voyant que sa belle princesse n'avait pas encore eut le temps de seller son cheval. Il la rejoignit dans l'enclos, et lui posa un tendre coeur d'amour, j'ai surement encore été bien maladroit, mais je t'aime plus que tout et cette journée qui te tiens tant à coeur m'est plus qu'agréable. Pendant que tu ammene Jérome chez Aylla, je vais nous préparer un panier repas, comme celà nous aurons encore plus de temps pour nous promener et aller là ou tu aida sa belle princesse à installer Jérome pour le court voyage jusque chez Aylla. caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Ven 31 Aoû - 1923 Alors que je me dirigeais vers les écuries en passant par l'enclos, Guidonius était venu me rejoindre avec Jérôme. J'eus à peine le temps de sécher mes larmes qu'il me déposa un baiser et s'excusant d'avoir probablement été maladroitJ'avoue ne pas trop avoir compris ta réaction, que je ne savais plus que penser et que laisser Jérôme te contrariait fortement. Tu sais, il m'arrive parfois de réagir au quart de tour, et .......... non en fait, ce n'est pas la peine d'en rajouter, je n'ai pas envie de gâcher cette journée et comme tu sembles prêt à laisser partir Jérôme et bien je vais l'emmener chez AyllaGuido m'aida à seller mon cheval, à y mettre le sac puis Jérôme lui fit un énorme baiser avant que Guido l'aidais à s'installer tout contre moi Merci pour ton aide, je crois que nous sommes prêts, allons-y. Je ne tarde pas trop, je ferai au plus vite Je fis avancer Vénusia pour qu'elle sorte de l'enclos avant de la lancer au trot en direction de chez mon amie caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 1740 [Le lendemain de la réception]Je venais de subir un nouveau choc et cela ne faisait qu'un de trop. Arrivée près de l'enclos, je m'appuyais sur la barrière, levant la tête au ciel laissant là mes larmes couler. Mon coeur souffrait et je n'arrivais pas à comprendre pourquoi Aristote m'infligeais une fois de plus une telle épreuve. Notre famille n'avait-elle donc pas encore assez souffert pour que cela continue encore et encore ? Je fermais les yeux, baissant ma tête pour la poser au creux de mes mains. Cacher ce visage qui pleurait, cacher ces larmes, cacher cette souffrance qui était au fond de moi. Epouse indigne d'avoir abandonnée son époux, mère indigne incapable d'aider ses enfants... voilà sans doute ce que le Très Haut voulait peut-être me faire passer comme message. Me serais-je donc trompée à ce point là sur ma vie ? moi qui avais toujours pensé faire de mon mieux.... me voilà devant un tableau et une situation à laquelle je ne pensais jamais à avoir faire face un jour... JérômeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 1757 Jérôme avait suivit sa mère, elle était appuyé contre la barrière le visage entre ses mains et il lui semblait qu'elle pleurait. Il arriva discrètement derrière elle, puis la pris dans ses ne pleure plus, tu sais que ce n'est pas à cause de toi, tu.... tu sais que je t'aimeIl serra sa maman dans ses bras, et lui fit un baiser sur la joue. clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 1844 Maman, ne pleure plus, tu sais que ce n'est pas à cause de toi, tu.... tu sais que je t'aimeClémence arrive sur ses mots et les regarde surprise. Tout ses doutes s'envolent et une seule chose reste à son esprit, sa mère..leur mère pleure. *Pourquoi pleure-t-elle?* La petite ne comprend pas, s'avance un peu plus près et cherche des paroles rassurante, comme sa mère fait pour elle, lorsqu'elle est ne pleure pas. Je t'aime aussi, maman. Nous allons rentrer au moulin et nous serons heureux tout les trois comme avant. Tu verra, nous serons de nouveau heureux ensemble. Nous n'avons pas besoin d'eux. pensant que le problème réside dans cette nouvelle famille pour elle aussiClémence s'approche et saisit sa mère et son frère dans chacune de ses vous aime tout les deux. caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Dim 2 Nov - 2054 Des bras se resserraient autour de moi, c'était ceux de mon fils. Du revers de la main je séchais mes larmes coulant sur mes jouesMaman, ne pleure plus, tu sais que ce n'est pas à cause de toi, tu.... tu sais que je t'aimeJe serrais à mon tour mon fils dans mes bras quand une petite voix se fit entendre. Une petite voix que je n'avais plus entendu depuis deux joursMaman...Maman ne pleure pas. Je t'aime aussi, maman. Nous allons rentrer au moulin et nous serons heureux tout les trois comme avant. Tu verra, nous serons de nouveau heureux ensemble. Nous n'avons pas besoin d' voix de mes enfants se faisait douce et rassurante tout comme l'étreinte de Jérôme et la main de Clémence dans la mienne. Mais les paroles de l'un et de l'autre me renvoyait la vérité en face, vérité que je devais de ne pas pleurer je respirais un grand coup Mes enfants, mes très chers enfants... moi aussi je vous aime....tour à tour j'embrassais mon fils et ma fille sur le front, puis le lâchant je m'asseyais à même le sol, en tailleur, dos contre la barrière de l'enclos. Libre à eux d'en faire de même s'ils le souhaitaient. Habillée une fois de plus en braies, chemise et hautes bottes pour le voyage je profitais pour m'installer convenablement. Je regardais vers l'écurie, Guidonius ne nous avait pas encore rejoins, sans doute à s'occuper encore de Tornade. J'espérais silencieusement qu'il nous dévisageais tour à tour mes enfants avant de me laisser aller à dire ce qui aujourd'hui me revenait tel un retour de manivelleMes enfants.... tout ce qui vous arrive est de ma faute.....entièrement de ma faute. Je me rends compte aujourd'hui que j'ai tout gâché, que je vous ai privé de ce qui est le plus important pour des enfants... et je m'en veux Clémence... je vous ai privé de votre père, j'ai abandonné votre père ne pensant pas un seul instant aux dégats que pourraient causer cette séparation. Aujourd'hui votre père est un inconnu pour vous, et.... je ne me le pardonne famille si grande.... si nous ne la connaissons pas... c'est de ma faute. Si vous n'avez pas eu le petit frère ou la petite soeur que j'ai perdue c'est de ma faute aussi.... Je sentais à nouveau des larmes perler mais je ne pouvais les retenir tel en était le mal au fond de moi .... si quelqu'un doit en subir les conséquences, c'est moi et personne d'autre.... c'est moi qui ai divisé notre famille... c'est à moi que vous devez en vouloir. J'ai mal et j'en ai le coeur déchiré de vous avoir fait subir tout cela. Si vous saviez comme je regrette tout cela.... je ....je vous demande pardon guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Lun 3 Nov - 022 Guidonius entendit les dernières paroles de Caro en rejoignant son petit monde; il en eut un choc au coeur. Ce n'était pas ainsi qu'il voyait les choses. Il s'approca et passa ses mains autour du cou de sa belle princesse;Mon coeur, les enfants sont assez grand pour comprendre.... et tu n'es coupable de rien... les vrai coupables, nous les connaissons, ce sont ces maudits arrogants nobles qui nous ont fait tant de mal; qui ont divisé la Champagne, causé l'exil de ses meilleurs habitants, et déchiré notre couple. Nous avons subit cette épreuve du mieux que nous avons pu, et si nous nous retrouvons ici ajourd"hui, c'est bien parce que l'amour que nous avons pour nous deux, que nous avons pour nos enfants est plus fort que tout. Jérome, Clémence, venez embrasser votre mère et moi, votre père, qui ne vous ai jamais oublié, nous avons beaucoup de temps à rattraper, mais l'amour que nous avons pour vous nous aidera à le clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Lun 3 Nov - 1757 Clémence ne comprend pas pourquoi sa mère parle de famille divisé. Pour elle, sa famille a toujours été uni....tout les trois. Sa vie est dans le Béarn, ignorant tout ou presque du passé. La petite ignore l'homme qui s'avère être son père et s'adresse uniquement à sa mère, d'abord d'un ton sec qui s'adoucit peu à ne te pardonne pas...je ne te pardonne pas de nous avoir aimé pendant tout ce temps, de nous avoir élevé avec cet amour, d'avoir pris soin de nous lorsque nous étions malade, de m'avoir pris dans tes bras à chaque fois que j'étais triste. Je ne te pardonne ni tout ceci, ni tout le reste, car il n'y a rien a pardonner. laissant apparaitre un sourirePour moi tu es la meilleur des maman et Jérôme le meilleur des frères. Je n'ai jamais manqué d'amour avec vous. Voilà pourquoi je ne ressens pas le besoin de connaitre cette famille. Celle que nous formons tout les trois me suffit, il n'y a rien à regretter. Pendant tout ce temps, l'enfant a réfléchi à cette histoire de petit frère ou petite sœur..ainsi ils auraient pu être quatre, une nouvelle dès plus surprenante. Jamais elle a imaginé sa vie avec un père ou un autre membre, en tout cas elle se l'est interdit....trop de questions sans réponse et de douleur en son cœur. Elle tente d'être drôle, tout en restant puis, je suis contente qu'il en soit ainsi...autrement j'aurai eu moins de petite n'ose s'approcher pour réconforter sa mère, s'approcher d'elle l'amenant inévitablement à s'approcher également de son paroles du messir l'ont mis mal à l'aise. Si elles sont vrai, pourra-t-elle pardonner sa mère ceci? Clémence hésite, puis se ce que tu l'aime...vraiment? Est ce que l'amour de Jérôme et de moi ne te suffit plus, tu as aussi besoin du sien?La réponse lui fait peur, afin de cacher son angoisse, elle s'adresse d'un ton froid à son vous l'aimez, faite en sorte que ma mère ne pleure plus et qu'elle soit heureuse. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 021 Guidonius sourit aux paroles de sa sais Clémence, des calins, bébé tu n'en a jamais manqué, ni de ta mère ni de moi. Peut-être ne t'en souviens-tu pas, mais à 4 tu en aurrait eu toujours autant, voire plus, car nous t'aimons très fort ta mère et moi. Et puisque tu me pose la question, oui je l'aime, nous nous sommes toujours aimé d'un amour ardent, que beaucoup nous ont envié.... et qu'ils ont cherché en vain à détruire. Ne vois-tu pas comme ta mère est heureuse aujourd'hui, avec ses deux enfants et son mari comme je le suis également ?_________________ clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 125 Il sourit? Clémence n'en revient pas, surtout les dernières paroles. Elle hausse un sourcil et lui répond avec oui! Je vois ça...ma mère est très heureuse en ce moment. A tel point qu'elle se sent coupable et en pleure. Depuis que je vous ai vu, je n'ai jamais vu ma mère si heureuse. Elle croise les bras et détourne le regard.*Et cet homme est mon père!?* la petite laisse échapper un long soupir, tout en levant les yeux au ciel. *Ça promet!* caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 208 Alors que je terminais ma confession aux enfants je voyais Guidonius arriver. Plus il se rapprochait plus il pouvait entendre mes paroles et lorsqu'il posa ses mains sur mon cou, je me rendais compte que mes mots l'avaient sans doute pertubé un peu. Séchant une fois de plus mes larmes, je relevais la tête pour le regarder esquissant un léger ce qu'il me disait et il avait raison. Si tous ces malheurs nous étaient arrivés, ce n'étaient dû qu'à certaines personnes. Mais au fond de moi je m'en voulais encore d'être partis et d'avoir privé les enfants de leur père un temps. Même si tout cela était derrière nous à présent et que pour mon plus grand bonheur j'avais retrouvé l'homme que je n'avais jamais cessé d' demanda aux enfants de venir nous embrasser, mon regard se tourna vers eux, me demandant quelle réaction ils allaient avoir. Je m'attendais à ce que Jérôme dise quelque chose, mais contre toute attente c'est Clemence qui prenait la paroleJe ne te pardonne pas...Les premiers mots furent un choc et sur le moment j'avais bien cru que mon coeur allait cesser de battre, mais elle enchainait et ce qu'elle disait me touchait profondément. Je remontais mes mains et les posaient sur celle de Guidonius tout en les serrrant très fort et laissant échapper un soupir tout en écoutant ma fille. Et puis ce petit sourire qui naissait sur son visage. A présent c'est des larmes de joie qui perlaient, des larmes qui montraient à quel point ma fille me touchait de ses mots même si l'allusion à la famille et à son père me renvoie la triste vérité. Et puis ces mots concernant la perte de l'enfant. La comparaison venant d'une enfant de son âge est sans doute normale mais même si je ne lui en voulais pas, je souffrais de cette perte mais le gardais au fond de la regardais ne sachant que dire, que répondre. J'en restais bouche bée. Mais arrivait la question inattendue, comme bien souvent la plupart de ses propos. Du haut de son jeune âge elle parlait souvent comme une adulte et arrivait souvent à m' ce que tu l'aime...vraiment? Est ce que l'amour de Jérôme et de moi ne te suffit plus, tu as aussi besoin du sien?Un regard à Jérôme, à Clemence, un autre pour Guidonius avant de revenir vers ma fille en lui souriant lui répondre mais sans attendre que je ne le fasse elle enchaîna sur un ton froid à son pèreSi vous l'aimez, faite en sorte que ma mère ne pleure plus et qu'elle soit réponse de mon tendre époux était juste et j'espérai que Jérôme et Clemence en avaient saisis le sens et comprenaient vraiment que notre amour était fort et que malgré tout ce que nous avons du vivre, il n'a jamais cessé d'exister. Mais les dernières paroles de Guidonius n'avaient pas étaient compris en ce sens pour Clemence. Une fois de plus elle se retranchait derrière son apparence oui! Je vois ça...ma mère est très heureuse en ce moment. A tel point qu'elle se sent coupable. Depuis que je vous ai vu, je n'ai jamais vu ma mère si me semblait là qu'il était temps pour moi de prendre la parole et de répondre à toutes ces interrogations qui n'avaient de cesse de tourbillonner dans l'esprit de notre fille. Je regardais Clemence qui levait à présent les yeux au puce regarde-moi s'il te plait. Je vais te répondre et te dire ce que moi je votre père, je l'aime vraiment... je l'aime très fort, autant que je vous aime toi et Jérôme..... et l'amour que toi et ton frère pouvez me porter compte beaucoup pour moi. Votre amour et l'amour que peut me porter votre père, tout comme l'amour que moi je peux vous porter à tous les trois est identique. J'ai besoin de votre amour à vous trois, comme j'ai besoin moi de vous donner mon amour à tous les trois. Et si j'ai pleuré ce n'est pas parceque je ne suis pas heureuse, c'est tout simplement parceque je me rends compte que je vous ai privé de choses importantes dans votre vie. Votre père m'a demandé d'oublier ce passé et de regarder devant moi. Je fais de mon mieux mes amours, mais je pense que sans votre aide cela prendra plus de temps que prévu. J'ai besoin de vous. Toi Clemence, toi Jérôme et toi mon coeur. J'ai besoin de vous, j'ai besoin de vous savoir auprès de moi, j'ai besoin de savoir que nous ferons tout pour que notre famille, nous quatre, nous soyons heureux comme avant. Alors ma puce, oui ta maman sera la maman la plus heureuse qui soit, même si je le suis déjà de vous avoir tous les trois, là maintenant en cet endroit qui compte énormement JérômeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 2101 Jérôme avait tout écouté sans bronché, des paroles de sa mère, de sa soeur et de son père. Beaucoup d'information étaient venue d'un coup et il ne savait trop quoi penser de tout cela. Il avait au plus profond un malaise qu'il ne savait pas expliqué lui même, mais il ne voulais pas blessé sa fît un petit sourire forcé, il fit un baiser sur le front de sa soeur, sur la joue de sa mère et sourit à son à quoi il s'éloigna, en direction de la forêt. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 2151 Guidonius vit Jérome s'éloigner avec un air triste. Il se doutait depuis quelque temps que son fils n'était pas tres bien. Il alla le rejoindre pour parler seul avec je vois bien qe tout cela te perturbe beaucoup, mais tu sais, nous allons retrouver notre bonheur à tous les quatre. Ici, loin du domaine, nous y sommes plus au as grandi, Jérome, et il faut nous préoccuper de ton avenir.... y as tu songé un peu ? Tu sais que, comme Baron, j'ai besoin d'un écuyer.. et je pensais que maintenant que tu en as l'age, tu pourrais être mon ecuyer... qu'en penses-tu ? cea te ferait un bon début apprentissage des armes. _________________ JérômeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Mar 4 Nov - 2343 Jérôme vit que son père le suivait, il s'arrêta pour l'attendre. Aux paroles de son père le visage de Jérôme s'éclaira un peu.[Etre vôtre écuyer, oh oui oui, pourquoi pas , c'est une excellente prit d'un coup son père dans ses ne sais pas pourquoi, mais je me sens mal et je ne sais pas pourquoi. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Jeu 6 Nov - 1206 Guidonius serra très fort son fils dans ses bras. Il sentait bien qu'il était mal depui quelque temps . Je le vois depuis quelque temps, mon fils, et je voudrais tellement que tu sois heureux. Vois tu, ces boulversements récents ont un peu perturbé tout le monde, ta mère et moi également, c'est bien pour cela que nous avons préféré venir passer un peu de temps ici, à la clairière, ou notre bonheur n'est dérangé par rien. Ici nous allons nous retrouver tous les quatre et reconstruire ce bonheur que nous avons perdu quelque temps. _________________ clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Jeu 6 Nov - 1706 Clémence écoute sa mère et tente de comprendre ces attentes."et toi mon coeur" la petite ne peut s'empêcher de faire les gros yeux, surprise, suivit d'une grimace de dégout. Puis oubli bien vite en comprenant qu'à partir de maintenant, la famille se sera à quatre et non plus à trois, qu'elle le veuille ou frère ne dit mot et s'éloigne, la petite va pour le rejoindre, mais se fait devancer par leur père.*Pfff! Va jouer au gentil papa qui s'occupe de nous maintenant?* un dernier regard vers lui, avant d'en profiter pour s'installer au côté de sa mère et pose sa tête sur bien qu'elle ne sache pas trop avec quoi elle l' hésite un instant ne sachant comment sa mère va le prendre. Puis finit par se confier à sa celle ci, profitant que son père ne puisse l'entendre. La réaction de cet homme, lui faisant bien plus Je vais être obliger de l'appeler...papa? caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Dim 9 Nov - 1426 Jérôme sans un mot partait en direction de la forêt suivi de près par Guidonius. Je trouvais que c'était une bonne initiative. Jérôme avait besoin de retrouver la complicité qu'il avait toujours eu avec son père. Ce n'est pas ces quelques temps de séparation qui avait pu tout changer du tout au tout. Il suffisait pour ma part qu'ils puissent se retrouver seul tous les deux à parler pour que très probablement tout cela redevienne comme savais que Guidonius allait sans doute trouver les mots regard se posait alors sur ma petite fille. Ces longs mois de séparation pour elle devait lui paraître être des années et je comprenais qu'elle ait plus de mal que Jérôme. Lorsqu'elle se mis à mes côtés et posa sa question, je passais mon bras autour d'elle pour la serrer légèrement contre moiMa puce...je sais que tout cela te semble difficile et que les quelques temps de séparation te sembles une éternité et que tu as oublié une partie de cette vie à quatre..... Mais ton père reste ton père et..... oui il me semble logique et normal que tu l'appelles "papa", tout comme il est naturel pour toi que tu m'appelles "maman" ou "mère", mot que tu utilises aussi de temps en temps et qui me fait sourire parceque je sais exactement ce que cela signifie pour toiJe soulevais son menton de ma main gauche et lui souriaisTu as peur je le sais, mais tu verras que très vite tu retrouveras tout l'amour que tu as pour ton papa. Je suis certaine qu'au fond de toi tu luttes entre ce que le coeur pourrais te dicter et ce que ta petite tête te dicte aussi. Mais tu sais ma puce.... si j'ai un conseil à te donner, laisse parler ton coeur.....Je l'embrassais sur le front et lâchais ma fille pour me relever. Debout, je lui tendais ma mainAllez ma chipie adorée, viens... on va chercher nos affaires et rentrer à la maison préparer quelque chose à manger. Tu dois avoir faim non ? Moi j'ai faim .... et je pense qu'il doit en être de même pour Jérôme et papa clemenceNombre de messages 18Date d'inscription 18/10/2008Sujet Re L'enclos Mar 11 Nov - 1603 La voix de sa mère l'apaise et la rassure, même si ce qu'elle entend ne lui plait guère. Cependant, peu à peu elle se résout à appeler son père comme il se doit. Clémence prend la min de sa mère pour se relever et la lâche rapidement aux dernières paroles. "pour Jérôme et papa" , un souvenir enfoui depuis longtemps ressurgis, sa gorge se noue et se sens prête a rentrons! J'ai baissée elle reprend la main de sa mère et se concentre sur sa faim pour ne pas replonger dans se souvenir. caroAdminNombre de messages 293Date d'inscription 13/02/2007Sujet Re L'enclos Mar 11 Nov - 1931 Clemence se relevait mais je sentais que mes dernières paroles en évoquant son frère et son père l'avait troublé. Nulle envie de relever, il lui fallait digérer tout cela. D'ailleurs en pensant à digérer Clemence me confirmait bien qu'elle avait nous allions chercher nos affaires avant de nous rendre à la maison JérômeNombre de messages 10Date d'inscription 02/11/2008Sujet Re L'enclos Mer 12 Nov - 2050 Citation Je le vois depuis quelque temps, mon fils, et je voudrais tellement que tu sois heureux. Vois tu, ces boulversements récents ont un peu perturbé tout le monde, ta mère et moi également, c'est bien pour cela que nous avons préféré venir passer un peu de temps ici, à la clairière, ou notre bonheur n'est dérangé par rien. Ici nous allons nous retrouver tous les quatre et reconstruire ce bonheur que nous avons perdu quelque temps. Jérôme ne releva pas les paroles de son père, il se contenta de sourire, puis s'adressant à lui avec je suis prêt à vous servir, j'ai hâte de devenir votre pour l'heure il me semble que nous devrions rejoindre maman et clémence.[/color]Jérôme n'attendit pas de réponse, il se dirigea vers sa mère et sa soeur, qu'il avait laissé un peu plus tôt. guidoniusNombre de messages 424Date d'inscription 14/04/2007Sujet Re L'enclos Jeu 13 Nov - 110 Guidonius rentra à la suite de sa petite famille dans la clairière. Il était temps que la vie reprenne son cour dans ce havre de paix qu'ils aimaient tant avec Contenu sponsoriséSujet Re L'enclos L'enclos Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumLa Clairière Les extérieurs Les écuriesSauter vers
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Accueil Spiritualité Témoignages J’avais faim, et vous m’avez donné à manger… » Matthieu 25 35 Texte présentation Images alarmantes de longues files d’attente qui se forment dans les rues, devant les associations qui distribuent de l’aide alimentaire. La crise sanitaire de la Covid-19 a considérablement augmenté la pauvreté et plongé dans la misère des milliers de personnes. Image à la une Nom, prénom témoignage Pierre-Jean Soler, Détail sur la personne Aumônier et accompagnant spirituel salutiste Blocks Redacteur Texte Dans la Bible, chacun est invité à accueillir l’étranger, la veuve et l’orphelin Que de situations dramatiques vécues par ces sans-abri, ces mal-logés, ces mères de famille, ces étudiants, travailleurs précaires, ou encore par ces personnes âgées… Aujourd’hui, de plus en plus d’hommes, de femmes et d’enfants vivent dans une grande précarité. Les besoins sont là. Il convient d’agir. Soupe, Savon, Salut» tel était le mot d’ordre de William Booth, fondateur de l’Armée du Salut en 1878. Derrière ces trois mots s’exprimait la volonté d’apporter un repas chaud et l’hygiène nécessaire, pour que les personnes en difficulté puissent rencontrer Dieu et trouver le salut. Dans la Bible, chacun est invité à accueillir l’étranger, la veuve et l’orphelin. Les repas et les grands festins sont nombreux et sont signes d’hospitalité. Block Texte + Image Texte L’Évangile de Matthieu nous montre l’importance de prendre soin des plus faibles. Jésus dit En effet, j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger et vous m’avez accueilli ; » Matthieu 25 35 Les justes lui répondront Seigneur, quand t’avons-nous vu affamé et t’avons-nous donné à manger, ou assoiffé et t’avons-nous donné à boire ? » Et Jésus répondra Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait cela à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous l’avez fait. » Matthieu 25 37 Nourrir son corps est essentiel pour vivre. Mais n’y a-t-il pas un autre besoin vital ? Dans l’Ancien Testament, il est dit L’Homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toutes paroles de Dieu… » Deutéronome 8 3. Jésus reprendra cette citation lorsque Satan le tentera dans le désert. Luc 4 4 Texte La Bible nous invite à prendre soin du plus faible dans toutes ses dimensions Jésus a dit encore Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. » La Bible nous invite à prendre soin du plus faible dans toutes ses dimensions. Puissions-nous être animés par cette volonté d’accueillir et de restaurer l’Autre, dans son âme et dans son corps. Ledocumentaire vainqueur « I was hungry, you gave me to eat » (J’avais faim et vous m’avez donné à manger) raconte la poignante histoire des personnes frappées par la sécheresse à Korr, Kenya, et a, comme protagoniste, une fille avec des problèmes mentaux. En racontant l’histoire et la genèse du documentaire, le metteur en scène, le salésien indien P. Jiji Kalavanal, a dit Nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. 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ANS – Panama City – La maison de production audio-visuelle Don Bosco IMAGE » avec siège à Kochi, Inde, a gagné le Prix du meilleur film dans la catégorie Esprit Missionnaire » au Goodness Reigns Film Festival » Festival La Bonté Règne’, un concours qui a eu lieu à Panama, dans le cadre des Journées Mondiales de la Jeunesse 2019, et qui a voulu promouvoir la création de produits artistiques et de communication avec un regard de foi. Le documentaire vainqueur I was hungry, you gave me to eat » J’avais faim et vous m’avez donné à manger raconte la poignante histoire des personnes frappées par la sécheresse à Korr, Kenya, et a, comme protagoniste, une fille avec des problèmes mentaux. En racontant l’histoire et la genèse du documentaire, le metteur en scène, le salésien indien P. Jiji Kalavanal, a dit Je suis allé à Korr, au Kenya, l’an dernier, pour réaliser un documentaire sur la sécheresse qui a frappé cette région désertique. Korr est une station missionnaire dans la Province de l’Afrique Est, dans un désert désolé, sur la route vers Marsabit. Quand j’y suis arrivé, c’étaient deux ans qu’il ne pleuvait, à Korr, et les gens et les animaux n’avaient rien à manger ni boire. Un jour nous sommes allés pour distribuer de la nourriture dans un village éloigné. Alors que nous étions en cours de la distribution, une fille, mal habillée et qui avait deux enfants avec elle, attira mon attention. C’était une fille avec des problèmes mentaux. Cette scène m’a ému, j’avais les larmes aux yeux pendant que je la filmais. Au soir, au cours des opérations de routine pour sauver les reprises sur un disque rigide et pour revoir ce que j’avais tourné dans la journée… J’ai revu ces images, agrandies, qui ont, de nouveaux frappé mes yeux… Ses lèvres sèches, les sédiments de saleté et le regard pénétrant dans ses yeux… Je me suis vu obligé à raconter son histoire. J’avais été invité à faire une vidéo générique sur la situation de la mission à Korr, mais maintenant je n’avai uLVAkv.
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